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La Banque Alimentaire du Bas-Rhin est constituĂ©e d'une Ă©quipe de bĂ©nĂ©voles, de salariĂ©s permanents et depuis 2005 de salariĂ©s en insertion professionnelle. Ils assurent l’approvisionnement, la collecte, la distribution et la gestion de tous les produits. SituĂ©e Ă  Illkirch-Graffenstaden, dans l'EuromĂ©tropole de Strasbourg, elle dispose d’un entrepĂŽt de 2 700 mÂČ avec 3 chambres froides et 9 camions dont 8 vĂ©hicules frigorifiques qui assurent le ramassage des denrĂ©es. Plus de 2 300 tonnes de marchandises sont collectĂ©es par an. Historique de la Banque Alimentaire du Bas-Rhin La Banque Alimentaire du Bas-Rhin est une association Ă  but non lucratif. Créée en 1985 par la volontĂ© d’associations caritatives douzaine d'associations caritatives ArmĂ©es du Salut, EmmaĂŒs, Caritas-Secours Catholique, Centre Social Protestant, etc., elle s’est dĂ©veloppĂ©e de maniĂšre exponentielle, assurant dĂ©sormais 5 millions de repas par an pour prĂšs de 38 000 bĂ©nĂ©ficiaires. La lutte contre la prĂ©caritĂ© alimentaire et contre le gaspillage alimentaire sont les deux objectifs fondateurs de la Banque Alimentaire du Bas-Rhin. Dans une dĂ©marche de solidaritĂ©, l’association apporte une aide alimentaire aux personnes les plus dĂ©munies, par l'intermĂ©diaire de 110 associations, Ă©piceries sociales et Centres Communaux d'Action Sociale CCAS. La Banque Alimentaire du Bas-Rhin sert de plateforme logistique pour l’aide alimentaire sur l’ensemble du dĂ©partement elle collecte, trie et gĂšre quotidiennement des denrĂ©es alimentaires qu’elle distribue dans la foulĂ©e Ă  ses partenaires. La distribution est faite gratuitement. Elle agit Ă©galement pour l’emploi Ă  travers son Chantier d’insertion professionnelle. Depuis 2005, elle lutte contre l'exclusion en aidant des personnes en situation de prĂ©caritĂ© grĂące Ă  un accompagnement professionnel et social contrat d'insertion professionnelle. Pour connaĂźtre le fonctionnement de notre association au quotidien, voir [ici] Une banque alimentaire, c'est quoi ? [Video] A toi de jouer. La Banque Alimentaire prĂ©sentĂ©e aux enfants. [VidĂ©o] La Banque Alimentaire du Bas-Rhin fait Ă©galement partie d'une organisation territoriale regroupant les 9 Banques Alimentaires de la RĂ©gion Grand Est Banque Alimentaire des Ardennes BA08 Ă  Charleville-MĂ©ziĂšres Banque Alimentaire de l'Aube BA10 Ă  Troyes Banque Alimentaire de la Marne BA51 Ă  Reims Banque Alimentaire de Champagne-sud et Meuse BA52 Ă  Saint-Dizier Banque Alimentaire de Nancy et Meurthe-et-Moselle BA54 Ă  Nancy Banque Alimentaire de Moselle BA57 Ă  Metz Banque Alimentaire du Bas-Rhin BA67 Ă  Strasbourg / Illkirch-Graffenstaden Banque Alimentaire du Haut-Rhin BA68 Ă  Mulhouse Banque Alimentaire des Vosges BA88 Ă  Epinal Historique des banques alimentaires La premiĂšre Banque Alimentaire fut créée par John Van Hengel en 1966 Ă  Phoenix aux États-Unis. C’est Ă  lui que revient l'initiative de collecter les surplus alimentaires pour nourrir ceux qui ont faim. De nos jours, les Banques Alimentaires existent dans les principaux pays d'AmĂ©rique du Nord et d'Europe. 21 pays europĂ©ens se sont d’ailleurs rĂ©unis au sein de la FĂ©dĂ©ration EuropĂ©enne des Banques Alimentaires FEBA. La premiĂšre banque alimentaire française est nĂ©e Ă  Paris en 1984. Cinq associations caritatives Secours Catholique, EmmaĂŒs, ArmĂ©e du Salut, Entraide d’Auteuil et Entraide protestante se sont rĂ©unies suite Ă  la montĂ©e de la pauvretĂ©. Aujourd’hui, la France compte 79 Banques Alimentaires et 31 antennes dĂ©partementales ou rĂ©gionales, rĂ©parties sur l’ensemble du territoire et regroupĂ©es au sein de la FĂ©dĂ©ration Française des Banques Alimentaires FFBA. En 2020, 2 millions de personnes ont pu bĂ©nĂ©ficier de cet accompagnement ce qui reprĂ©sente l'Ă©quivalent de 212 millions de repas. Le site national des Banques Alimentaires Un rĂ©seau dĂ©sormais europĂ©en Sur le mĂȘme principe, des Banques Alimentaires se sont dĂ©veloppĂ©es dans 24 pays d’Europe et regroupĂ©es en fĂ©dĂ©rations nationales. Ces derniĂšres sont rĂ©unies au sein de la FĂ©dĂ©ration EuropĂ©enne des Banques Alimentaires FEBA. Le rĂ©seau des Banques Alimentaires europĂ©ennes est Ă©galement partenaire de GFN, the Global Foodbanking Network. Charte des Banques Alimentaires Les Banques Alimentaires reposent sur des principes fondateurs le Partage, le BĂ©nĂ©volat, le Don, la GratuitĂ©, la Lutte contre le gaspillage et le MĂ©cĂ©nat. Elles diffusent Ă©galement leur vision solidaire moins gaspiller, pour davantage partager avec les personnes en situation de prĂ©caritĂ© ». En plus de la lutte contre le gaspillage alimentaire, elles mettent un point d’honneur Ă  respecter la proximitĂ© et le devoir de neutralitĂ©, car la misĂšre n’a ni confession religieuse ni couleur politique. Elles assurent Ă©galement l’exigence de gratuitĂ© en n’achetant aucun produit, distribuent gratuitement ceux qu’elle reçoit et valorisent les produits en fin de vie, ce qui permet d’apporter une contribution non nĂ©gligeable Ă  l’anti-gaspillage et Ă  la protection de l’environnement. Les Banques Alimentaires ont un rĂŽle Ă©minemment humanitaire et proposent Ă  leurs multiples partenaires une dĂ©marche citoyenne et Ă©thique.
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InsĂ©parable de la lĂ©gende du Far West, le revolver fut au XIXe siĂšcle une arme rĂ©volutionnaire qui profita de nombreuses Ă©volutions technologiques et participa de la crĂ©ation des États-Unis. Le revolver est pour l’AmĂ©rique un objet historique, culturel et artistique mĂȘlant subtilement l’American Dream, Clint Eastwood et une trĂšs sanglante conquĂȘte de l’ouest ». Un cocktail trĂšs exotique Ă  nos yeux bene cet article est long bien qu’illustrĂ© d’images et clĂŽturĂ© par un admirable quiz final. Il ne saurait ĂȘtre plus court. Souviens-toi que tu n’as pas appris Ă  lire, Ă©crire ou marcher en 3 minutes. L’apprentissage requiert un peu d’efforts pour un rĂ©sultat souvent gratifiant tu peux Ă©galement te faire des cadeaux pour te rĂ©compenser. L’article peut aussi ĂȘtre lu en plusieurs fois
Colt Navy modĂšle 1851 gravĂ© par Gustave Young, crosse en ivoire © Pinterest Un pur produit amĂ©ricainDepuis l’invention chinoise de la poudre noire, les armes Ă  feu n’eurent de cesse de se perfectionner. Partout dans le monde, de constantes innovations et amĂ©liorations augmentaient l’efficacitĂ© de ces armes et diminuaient mathĂ©matiquement la durĂ©e de vie des types qui n’innovaient pas. Au dĂ©but du XIXe siĂšcle, voilĂ  prĂšs de 1000 ans que l’humain manipule laborieusement la poudre noire pour actionner des armes lourdes et massives, risquant rĂ©guliĂšrement sa peau Ă  vouloir dĂ©gommer celle de son voisin. Triste condition Ă  laquelle un artiste anglais, Joshua Shaw 1776 – 1860 mit fin avec beaucoup de panache et un peu de plagiat – car Shaw perfectionna l’invention de son compatriote Alexander John Forsyth 1768 – 1843 et dĂ©posa un brevet en 1822. Alors que les pistolets fonctionnaient jusqu’ici avec un mĂ©canisme Ă  silex permettant d’enflammer la poudre noire et d’éjecter le projectile, Joshua Shaw invente de petites capsules de cuivre remplies de fulminate de mercure scellĂ©es par une goutte de vernis. La capsule est disposĂ©e sur une tige creuse ou cheminĂ©e » et vissĂ©e sur la culasse. Lorsque le marteau de l’arme vient frapper la capsule, l’explosion du fulminate enflamme la charge Ă  percussion utilisant des capsules de fulminates de mercure. In Armes Ă  Feu de LĂ©gende, voir bibliographie. SystĂšme Ă  percussion utilisant des capsules de fulminates de mercure. In Armes Ă  Feu de LĂ©gende, voir bibliographie. D’une simplicitĂ© enfantine, ce systĂšme ouvrit la voie Ă  la crĂ©ation des premiers revolvers et acta ainsi la fin des pistolets Ă  silex Ă  un ou plusieurs coups. Les cartouches ne tarderont pas Ă  apparaĂźtre mais pour le moment, le tireur doit charger chaque chambre du barillet de poudre noire et d’un projectile parfois d’une bourre mais cette derniĂšre ne semble pas systĂ©matique durant les premiĂšres annĂ©es. Par ailleurs, la bourre n’a ici rien Ă  voir avec l’expression ĂȘtre Ă  la bourre », j’ai vĂ©rifiĂ©.DĂ©tail du barillet et des cheminĂ©es sur lesquelles placer les capsules. Colt Dragoon poudre noire © Drouot Online Samuel Colt 1814 – 1862 fut le premier industriel Ă  associer le concept du revolver du latin revolvere puis de l’anglais to revolve, faire tourner au systĂšme Ă  percussion. En 1831, Samuel n’est heureusement suivi par aucun conseiller d’orientation. Il a 16 ans, travaille sur un navire de la marine marchande et fabrique son premier revolver, dĂ©couvrant sa vocation qui eut Ă©tĂ© impitoyablement entravĂ©e par un conseiller malingre si notre jeune amĂ©ricain avait suivi un cursus lĂ©gende veut qu’il ait imaginĂ© son barillet tournant en observant le mĂ©canisme de verrouillage du gouvernail du navire sur lequel il se trouvait. Attribuons aux embruns le bĂ©nĂ©fice de cet Ă©clair de gĂ©nie pour le plaisir de l’histoire. Aujourd’hui, le MusĂ©e d’art de Wadsworth Atheneum conserve encore les prototypes en bois sculptĂ©s par d’un extracteur, d’un chien et d’un barillet en bois sculptĂ©s par Samuel Colt Ă  bord du Corvo en 1831. © MusĂ©e d'art de Wadsworth l’aube de sa carriĂšre flamboyante, Samuel Colt avait-il subodorĂ© que ses crĂ©ations joueraient un rĂŽle dĂ©terminant dans l’histoire des armes et dans celle des États-Unis ? Quelle que soit la rĂ©ponse, Colt essuya successivement plusieurs Ă©checs retentissants qui auraient mis Ă  terre le plus tĂ©mĂ©raire des start-uppers. Pourtant, tout bascula en 1847 grĂące Ă  l’entremise de Samuel Hamilton Walker 1817 – 1847. Le Colt Paterson – tout premier revolver fabriquĂ© Ă  partir de 1837 – avait Ă©tĂ© utilisĂ© par quelques officiers de l’armĂ©e pendant la seconde guerre sĂ©minole opposant en Floride les États-Unis Ă  des groupes amĂ©rindiens de 1835 Ă  1842. Les Texas Rangers avaient Ă©galement tĂąter de la gĂąchette de quelques armes de Colt sur leur frontiĂšre avec le Mexique aprĂšs 1823. Revolver Colt Paterson, n°3 modĂšle Belt, circa 1838. Acier, argent et bois © MET Museum Samuel Hamilton Walker, Texas Ranger de son Ă©tat et enthousiaste amateur du revolver créé par Colt s’associa avec l’armurier et dessina avec lui une nouvelle arme, le Walker Colt, dont l’armĂ©e amĂ©ricaine commanda 1000 exemplaires. Cent exemplaires supplĂ©mentaires furent destinĂ©s Ă  ĂȘtre offerts Ă  des personnalitĂ©s ayant d’importantes fonctions militaires et donc susceptibles d’obtenir pour Colt de juteux contrats. Il offrit Ă©galement quelques-unes de ces armes Ă  des pontes actifs dans le commerce des armes civils afin d’atteindre un maximum de clients potentiels. Tout comme le Colt Paterson, le Walter Colt Ă©tait un revolver simple action. Revolver Walker Colt simple action, 1847 © MET Museum Si le mĂ©canisme simple action porte par son nom l’évidence mĂȘme de la simplicitĂ©, je te sais peu familier de ce type de systĂšme. Lorsque tu as entre les mains un revolver simple action, tu seras dans l’obligation d’armer le chien Ă  la main Clint Eastwood maĂźtrise admirablement bien cette manƓuvre afin de faire tourner le barillet et ainsi aligner une chambre chargĂ©e en face du canon. Appuie sur la queue de dĂ©tente et le coup partira. Si en revanche tu es en possession d’un revolver double action, l’effort sera amoindri car en appuyant sur la dĂ©tente tu feras d’une pierre deux coups haha en armant le chien et en faisant partir le coup. C’est un mĂ©canisme que d’aucuns qualifieront de mĂ©canisme de feignasses » qui augmente nĂ©anmoins significativement la cadence de tir. En 1851, Colt prĂ©senta Ă  l’Exposition Universelle de Londres son Colt Navy, revolver simple action Ă  carcasse ouverte ce qui permettait de changer rapidement un barillet vide contre un barillet chargĂ© que le cow-boy poussiĂ©reux et dĂ©sinvolte portait nĂ©cessairement Ă  la ceinture amorçant peut-ĂȘtre, dans l’esprit dĂ©rangĂ© d’un pacifique Quaker, la crĂ©ation de la banane qui ruinera, quelques cent ans plus tard, plusieurs siĂšcles de stylisme. Le Colt Navy fut un succĂšs et valut Ă  son crĂ©ateur une commande du gouvernement britannique. Aux États-Unis, ce revolver fut un des modĂšles les plus populaires vendus aux Navy modĂšle 1841 gravĂ© par Gustave Young © Pinterest Le modĂšle Lightning conçu en 1877 fut le premier revolver double action fabriquĂ© par Colt. Revolver Colt Lightning Double Action, 1877 © Armurerie du Forestier Rapidement, un perfectionnement des munitions entraĂźna une nouvelle innovation. La seconde moitiĂ© du XIXe siĂšcle cherchait Ă  rĂ©unir l’amorce, l’agent propulseur et le projectile dans une seule munition dĂ©signĂ©e par cartouche complĂšte ». Une premiĂšre solution apparait dans les cartouches Ă  percussion annulaire dont l’amorce est contenue dans un bourrelet » anneau creux Ă  la base de la cartouche. Lorsque le percuteur frappe le bourrelet, l’amorce explose Ă©jectant de fait le projectile hors de la chambre. La manipulation de cette cartouche ne brillait pas par sa sĂ©curitĂ© puisqu’un choc suffisait Ă  arracher la main du tireur maladroit Ă  qui dĂ©jĂ  on Ă©tait bien inconscient d’avoir confiĂ© une arme. La seconde solution remporta quant Ă  elle tous les lauriers. La cartouche Ă  percussion centrale intĂ©grait l’amorce chimique au centre du culot de la cartouche et ne prĂ©sentait aucun risque douloureux, mis Ă  part, Ă©videment, pour celui qui se trouvait de l’autre cĂŽtĂ© du canon. Cette invention impacta directement l’Histoire en se passant du chargement manuel de poudre noire, le tireur gagnait un temps prĂ©cieux et pouvait Ă  loisir dĂ©charger son barillet sans se soucier de devoir passer sa soirĂ©e les mains dans la poudre Ă  prĂ©parer des barillets de rechange. L’armurier Rollin White 1817 – 1892 pensa quant Ă  lui plus loin que le simple aspect pratique de cette nouvelle invention. Alors que tous les revolvers de l’époque Ă©taient alors conçus avec des cheminĂ©es pour un chargement par la bouche, White entreprit de s’imposer sur le marchĂ© en dĂ©posant en 1859 le brevet d’un barillet perforĂ© de part en part permettant un chargement par l’arriĂšre, bien plus pratique et rapide. Smith & Wesson s’alliĂšrent avec le petit malin et proposĂšrent en 1857 leur Model 1 puis le Model 2 sorti opportunĂ©ment en 1861, premiĂšre annĂ©e de la guerre de SĂ©cession 1861 – 1865. Revolver Smith & Wesson Model 2, 1861. Crosse en ivoire © Rock Island AuctionUne fois le brevet de White expirĂ©, les armuriers produisirent tous des revolvers Ă  barillets forĂ©s. La poudre noire appartenait dĂ©sormais au passĂ© et l’avenir aux cartouches complĂštes. En 1873, le Colt Single Action Army un de incontournables de la marque et ironiquement baptisĂ© Le Pacificateur » propose un barillet forĂ© dans une carcasse fermĂ©e. Revolver Colt Single Action Army, fabriquĂ© en juillet 1873 © Rock Island Auction Ces nouvelles armes jouĂšrent un rĂŽle crucial en faveur des soldats de l’Union durant la guerre de SĂ©cession. Face Ă  une cadence de tir de 14 coups par minute et une vitesse de rechargement inĂ©galĂ©e Ă  l’époque, les effectifs des ConfĂ©dĂ©rĂ©s Ă©quipĂ©s d’armes Ă  poudre noire sont dĂ©cimĂ©s d’un quart lors de la bataille de Hoover’s Gap en 1863. Les Colt Navy qui Ă©quipaient alors les soldats de l’Union Ă©taient de prĂ©cieuses prises lorsque les soldats ConfĂ©dĂ©rĂ©s parvenaient Ă  s’en emparer. Jefferson Davis 1808 – 1889, prĂ©sident des États ConfĂ©dĂ©rĂ©s portait d’ailleurs le 10 mai 1865, jour de sa capture en Georgie, un revolver du cĂ©lĂšbre Colt modĂšle Navy 1851, calibre .36, 6 coups, poignĂ©e en noyer monobloc, cadre en acier trempĂ©, finition bleuie avec montage argentĂ© sur la sangle arriĂšre et le pontet. Ce revolver appartenait Ă  Jefferson Davis et fut saisit lors de sa capture en le 4 mai 1865 en GĂ©orgie par la Cavalerie du Michigan. À la suite de cette guerre civile d’envergure, Abraham Lincoln 1809 – 1865 put abolir l’esclavage sur tout le territoire des États-Unis, inspirant Ă  Samuel Colt un slogan emblĂ©matique de la place des armes dans la sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine Abe Lincoln a rendu les hommes libres, mais Sam Colt les a rendu Ă©gaux. Une autre variante propose Dieu crĂ©a les hommes, Samuel Colt les rendit Ă©gaux » ; on apprĂ©ciera l’humilitĂ© d’une telle assertion. Le rĂȘve amĂ©ricainQuel meilleur contexte que celui des États-Unis de la seconde moitiĂ© du XIXe siĂšcle pour donner au revolver l’écrin de la respectabilitĂ© ? Il est l’objet que nous associons immĂ©diatement aux mythiques cow-boys. Le revolver nous Ă©voque un mythe bien plus proche de l’industrie du cinĂ©ma et donc du rĂ©cit que de l’Histoire et du quotidien des gardiens de vaches. Son histoire s’appuie pourtant sur des faits rĂ©els et sourcĂ©s les revolvers Colt rencontrĂšrent un vif succĂšs aussi bien dans le monde militaire que dans la vie civile. Ils furent les armes de prĂ©dilection en particulier le Colt Simple Action Army de 1873 des colons amĂ©ricains et Ă©quipĂšrent des centaines de milliers de personnes. Peut-on imaginer un pareil phĂ©nomĂšne dans un pays europĂ©en ? Envisage un instant ton fromager qui, aprĂšs avoir soignĂ© ses bĂȘtes, installe sur l’étal du marchĂ© ses produits frais arborant, Ă  sa ceinture, un revolver. Parfaitement inenvisageable. Pourtant, les images amĂ©ricaines abondent de personnages d'un revolver Colt Single Action Army, XIXe siĂšcleLors de sa visite Ă  Londres en 1851, Samuel Colt dĂ©crit lui-mĂȘme son pays comme un vaste territoire peuplĂ© de hordes d’aborigĂšnes » contre lesquels est engagĂ© un type particulier de guerre frontaliĂšre ». L’utilisation des revolvers par les habitants des plaines, les shĂ©rifs et les cow-boys, en plus d’ĂȘtre avĂ©rĂ©e, s’apparente donc Ă  une utilisation conquĂ©rante » dans un contexte de guerre territoriale. L’idĂ©e sous-entendue par Colt est qu’il est nĂ©cessaire de botter les fesses de ces emplumĂ©s d’Indiens qui entravent la libertĂ© d’action des gentils AmĂ©ricains. Frederick Jackson Turner 1861 – 1932, historien amĂ©ricain, a d’ailleurs parfaitement dĂ©fini ce surprenant Ă©tat d’esprit qui fit bientĂŽt du revolver – et de l’arme Ă  feu en gĂ©nĂ©ral – un emblĂšme de libertĂ© et un outil de sa dĂ©fense et par extension de celle du modĂšle dĂ©mocratique amĂ©ricain. Revolver Colt Paterson, n°5 modĂšle Holster, circa 1840. Acier, argent et nacre © MET Museum Alors que les premiers immigrants arrivent au XVIIe siĂšcle par la cĂŽtĂ© est, la frontiĂšre » la zone limite de l’implantation des populations d’origine europĂ©enne est ce qui dĂ©finit le Far West, ce qui est au-delĂ  de cette zone. L’expansion tend naturellement Ă  repousser cette frontiĂšre toujours plus Ă  l’ouest Ă  mesure que les populations immigrĂ©es s’installent sur de nouveaux territoires. Ainsi, au XIXe siĂšcle, l’ouest » Ă©tait devenu synonyme de libertĂ© car ouvrant des possibilitĂ©s illimitĂ©es du point de vue des colons, tout y Ă©tait possible ou Ă  inventer. La consĂ©quence de ce mythe de la frontiĂšre fut un rejet de toute contrainte les AmĂ©rindiens Ă©tant, bien sĂ»r, considĂ©rĂ©s comme une contrainte majeure, rejet incarnĂ© par le revolver. Pour gagner sa libertĂ©, pour se libĂ©rer d’une pression quelle qu’elle soit, il suffisait d’aller plus Ă  l’ouest et d’éliminer » les contraintes. N’importe quel problĂšme pouvait dĂšs lors se rĂ©gler simplement et le nom de Pacificateur » d’un des revolvers fabriquĂ©s par Colt prend alors tout son sens
 L’ouest Ă©tait prometteur mais dangereux et pour gagner et protĂ©ger sa libertĂ©, mieux valait ĂȘtre bien armĂ©. Revolver Colt Single Action Army Peacemaker » fabriquĂ© en 1891 Ă  Hartford dans le Connecticut. Crosse en ivoire et revĂȘtement en nickel. © Ancestry Guns Puisque le revolver fut aussi banalisĂ© aux États-Unis au XIXe siĂšcle que ne le sont les coach de vie aujourd’hui un de ces deux objets de consommation est plus stupide que l’autre, sauras-tu le reconnaĂźtre ?, quoi de plus naturel que de voir ces objets fabriquĂ©s Ă  grande Ă©chelle ? Encore une fois, Sammy Colt fait figure de prĂ©curseur. Ce fervent partisan de la standardisation ne fit pas qu’en vanter les mĂ©rites et l’appliqua dans ses manufactures Ă  si grande Ă©chelle et de maniĂšre si performante que son exemple eut un impact consĂ©quent sur les industries amĂ©ricaines et notamment sur celles fabricant des engins agricoles, des machines Ă  coudre, des bicyclettes, des locomotives ou encore des automobiles. Ce mode nouveau de production rationalisĂ© et la standardisation des piĂšces lui permirent de rĂ©pondre rapidement Ă  de grosses commandes amĂ©ricaines ou europĂ©ennes. Cette standardisation industrielle offrait encore l’avantage de rĂ©parer plus facilement et Ă  moindre coĂ»t une arme abĂźmĂ©e. Il proposera mĂȘme d’amĂ©liorer d’anciens modĂšles grĂące aux barillets amovibles, un peu comme lorsque tu fais la mise Ă  jour de ton tĂ©lĂ©phone, il suffisait d’appuyer sur un bouton pour installer une nouvelle version. Ce mode de production moderne permit Ă©videmment de limiter les coĂ»ts de production en offrant aux clients une arme fiable, prĂ©cise, aisĂ©ment rĂ©parable et peu onĂ©reuse en 1862, Colt vendait ses armes au prix 20$ en moyenne sachant qu’un ouvrier gagnait Ă  la mĂȘme Ă©poque environ 6$ par semaine pour environ 60h de travail. Samuel Colt vendait ses armes Ă  quiconque Ă©tait en mesure de le payer ce qui valu Ă  certains belligĂ©rants de perdre l’avantage de l’effet de surprise face Ă  l’ennemi. Colt alimenta gĂ©nĂ©reusement et avec un Ă©gal sĂ©rieux les deux principales parties adverses engagĂ©e dans la guerre de CrimĂ©e 1853 - 1856 Ă  savoir les Russes et les Britanniques. Revolver Colt, 3e modĂšle Dragoon, circa 1853. Acier, laiton, or et bois. Un revolver jumeau fut offert par Colt au tsar Nicolas Ier de Russie en 1854 et se trouve maintenant au MusĂ©e de l’Ermitage de Saint-PĂ©tersbourg © MET Museum Tout comme Rockefeller 1839 – 1937 ou aujourd’hui Kim Kardashian, Samuel Colt incarne l’American Dream et lui donne mĂȘme son emblĂšme. Industriel parti presque de rien, ayant enchaĂźnĂ© les Ă©checs avant de connaĂźtre la richesse et la gloire grĂące au revolver, Colt en banalisant le revolver, en le rendant accessible, mit Ă  portĂ©e de main bien plus qu’une arme Ă  feu. Il rendit accessible, palpable l’espoir d’un avenir glorieux. Il nourrira d’ailleurs cette image prophĂ©tique ; Ă  Hartford Connecticut oĂč Ă©tait installĂ©e son usine, il fit construire un quartier nommĂ© Coltsville pour loger ses employĂ©s Ă  qui il donna accĂšs Ă  une bibliothĂšque et un centre communautaire. Les entreprises en lien avec l’industrie des armes Ă  feu bĂ©nĂ©ficiĂšrent Ă©galement du succĂšs de Colt l’acier fournit par Thomas Firth fait Ă©cho au succĂšs de l’armurier et chacun dans leur domaine, ils tirĂšrent profit des transferts de technologies allant de l’Europe vers les États-Unis. L’effervescence industrielle de cette Ă©poque n’est finalement qu’un des reflets du mythe de la FrontiĂšre, de la ConquĂȘte de l’ouest oĂč tout semble possible. Un autre dĂ©tail de la production de Colt est rĂ©vĂ©lateur sur les premiĂšres armes fabriquĂ©es, la gravure ornementale du barillet est standard. DĂ©tail du Revolver Colt Pocket de 1849 prĂ©sentant sur le barillet une gravure standard figurant une diligence et des voleurs ainsi que des motifs d’enroulements © Live AuctioneersSamuel Colt, prĂ©curseur du design industriel, tient Ă  ce que ses armes rĂ©putĂ©es les plus efficaces au monde aient une ligne reconnaissable et surtout une Ă©lĂ©gance formelle. L’attrait visuel est pour lui capital chacun de ses clients doit pouvoir ĂȘtre fier de son revolver, de son efficacitĂ© et de la libertĂ© qu’elle lui offre. De lĂ  Ă  lier armes Ă  feu et patriotisme, il n’y a qu’un pas
Un objet d'artLe goĂ»t de Colt pour les matĂ©riaux, les couleurs et la dĂ©coration de ses armes n’est pas propre Ă  ce seul armurier. Depuis toujours, les armes n’étant pas dĂ©volues Ă  un usage militaire Ă©taient ornĂ©es et / ou gravĂ©es. Depuis leur naissance en Asie jusqu’à leur plus rĂ©cente Ă©volution en Europe, les armes Ă  feu furent des objets de haute technologie rĂ©servĂ©es au pouvoir et Ă  une Ă©lite ayant les moyens de se les offrir. Au sein de ce cercle trĂšs fermĂ©, les armes Ă©taient comme n’importe quel objet, un support propre Ă  reflĂ©ter le statut social du propriĂ©taire. Les musĂ©es regorgent d’armes d’apparat fabuleuses, couvertes d’or, d’argent, de pierres prĂ©cieuses parfois et souvent parfaitement inutilisables. Il n’y a donc rien de surprenant Ă  ce que Colt ait naturellement souhaitĂ© orner ses revolvers. Ce qui l’est davantage c’est cette volontĂ© de standardiser l’ornementation qui renvoie, en partie, Ă  ce fantasme du rĂȘve amĂ©ricain. Pourtant, il est avĂ©rĂ© que Colt et ses confrĂšres proposaient, en plus des gravures standards Ă  l’eau-forte, des armes finement gravĂ©es au burin et qu’ils conservaient en stock, ce qui sous-entend qu’ils s’attendaient Ă  ce qu’on leur en fasse la demande. Revolver Colt, modĂšle Police 1862, circa 1868. Acier, or et laiton. © MET Museum Les pistolets Kentucky avaient dĂ©jĂ  ouvert la voie Ă  ce type de demande dans la seconde moitiĂ© du XVIIIe siĂšcle puisqu’il est attestĂ© que les armuriers amĂ©ricains faisaient parfois appel Ă  des orfĂšvres pour embellir les Ă©lĂ©ments en fer des armes. Les motifs Ă©taient souvent grossiers mais ils eurent le mĂ©rite d’engager une tradition de gravure sur armes aux États-Unis. Lorsque Colt produisit en masse les premiers revolvers en acier, la demande de graveurs spĂ©cialistes fut immĂ©diate. En plus de la gravure standard de plusieurs modĂšles, Colt s’attacha les services d’un graveur considĂ©rĂ© aujourd’hui comme le maĂźtre de la gravure d’armes au XIXe siĂšcle aux États-Unis et dont les Ɠuvres atteignent aujourd’hui des centaines de milliers de dollars en salles de vente Gustave Young 1827 – 1895. ImmigrĂ© allemand dĂ©barquĂ© en AmĂ©rique en 1846, le jeune Gustave trouva rapidement un emploi dans la manufacture de Colt. Les graveurs experts et travailleurs du mĂ©tal sont alors une main d’oeuvre recherchĂ©e moins pour rĂ©aliser d’élĂ©gants motifs que pour crĂ©er les matrices nĂ©cessaires Ă  la production d’armes Ă  feu. Roy Jinks, historien officiel de Smith & Wesson dĂ©taille Le graveur avait pour mission de dĂ©couper les matrices d’estampages des lettres et des chiffres, d’effectuer les tailles en diamant sur les chiens ainsi que celles des roues et platines portant le nom de l’armurier et permettant de faire tourner le barillet. La gravure et l’incrustation d’or Ă©taient secondaires, conçues pour augmenter les revenus. Gustave Young se dĂ©marqua rapidement de ses collĂšgues et Colt flairant le talent dĂ©dia cet ouvrier Ă  l’unique ornementation de ses commandes luxueuses. De formation classique europĂ©enne, Young conserva les goĂ»ts de sa premiĂšre Ă©cole. Les motifs qu’il grave sont influencĂ©s par l’art dĂ©coratif europĂ©en dont il continua de s’abreuver grĂące Ă  de nombreux livres de motifs et d’ornementation qu’il conservait dans son atelier. La chose n’était pas originale car ce type de rĂ©pertoire publiĂ©s en Allemagne dans les annĂ©es 1840 se retrouvait dans tous les ateliers de graveurs sur armes. Les graveurs puisaient aussi dans les images qui les entouraient au quotidien journaux illustrĂ©s, piĂšces de monnaie et billets de banques, estampes ou livres d’images, tout Ă©tait bon pour nourrir l’imagination et le talent de ces artisans. [Clique pour agrandir] DĂ©tail du barillet du revolver Colt Modele 1 sidehammer, 1855, gravĂ© par Gustave Young © Rock Island Auction [Clique pour agrandir] Revolver Colt Modele 1 sidehammer, 1855, gravĂ© par Gustave Young © Rock Island Auction Sur ce Colt Modele 1 Sidehammer de 1855, Young fait montre de tout son talent avec cette gravure en repoussĂ© le motif est tracĂ© Ă  la pointe au revers de la plaque et apparaĂźt en relief sur l’avers figurant un homme, deux revolvers Ă  la main des Colt Ă  n’en pas douter et affrontant pas moins de cinq AmĂ©rindiens belliqueux ce fut, aux dires des colons, une regrettable constante chez ces gens-lĂ  dont trois gisent Ă  se dĂ©marqua par la grande finesse et la complexitĂ© de ses motifs d’enroulement de feuilles qui se dessinaient sur un fond pointillĂ© extrĂȘmement serrĂ©. Son travail laborieux et minutieux au burin tĂ©moigne d’une excellence que les clients aisĂ©s ne tardĂšrent pas Ă  convoiter. DĂ©tail du Revolver Double Action Frontier » de Smith & Wesson. ModĂšle prĂ©sentĂ© Ă  l’Exposition Universelle de Chicago en 1893, richement gravĂ© et incrustĂ© d’or par Gustave Young © Rock Island AuctionUne seule de ses armes porte sa signature mais il est connu pour avoir gravĂ© presque systĂ©matiquement une tĂȘte de loup sur le chien. Encore sur le chien ou sur le pontet la boucle de mĂ©tal protĂ©geant la queue de dĂ©tente et dans laquelle on passe l’index pour tirer, il gravait un petit point par jour de travail passĂ© Ă  orner l’arme. Ainsi, plus le nombre de points est Ă©levĂ©, plus le travail d’ornementation est complexe. DĂ©tail des points gravĂ©s sur le chien d’un revolver Colt Modele 1 sidehammer, 1855 et indiquant le nombre de jour dĂ©diĂ© par Gustave Young Ă  l’ornementation de l’arme. © Rock Island Auction DĂ©tail de la tĂȘte de loup gravĂ© par Gustave Young sur le chien des revolver qu’il grave en guise de signature. © Rock Island Auction Gustave Young ouvrit Ă©galement sa propre boutique de gravure sur armes dans laquelle il s’occupait essentiellement des revolvers Colt mais offrait ses services aux usines d’armes de la rĂ©gion du Connecticut. Il Ɠuvra ainsi sur quelques Winchester et Sharps ce qui lui permit sans doute de mettre du beurre dans les Ă©pinards ou plutĂŽt du cheddar dans le burger. À la fin des annĂ©es 1860, Young entra au service de Smith & Wesson Ă  Springfield dans le Massachusetts bien qu’il continua de graver pour d’anciens clients.[Clique pour agrandir] Revolver Double Action Frontier » de Smith & Wesson. ModĂšle gravĂ© par Gustave Young et prĂ©sentĂ© Ă  l’Exposition Universelle de Chicago en 1893, richement gravĂ© et incrustĂ© d’or. © Rock Island Auction [Clique pour agrandir] DĂ©tail du Revolver Double Action Frontier » de Smith & Wesson. ModĂšle prĂ©sentĂ© Ă  l’Exposition Universelle de Chicago en 1893, richement gravĂ© et incrustĂ© d’or. © Rock Island Auction Young grava jusqu’à ses derniers jours et fut le mentor d’une gĂ©nĂ©ration de graveurs sur armes d’origine allemande tel que Herman Ulrich qui officia chez Winchester Ă  partir de 1870. Louis Daniel Nimschke 1832 – 1904 est Ă  compter au nombre de ces graveurs inĂ©galĂ©s. Il rĂ©alisa le revolver Colt de Theodore Roosevelt 1858 – 1919 en mai 1883. Il grava et orna plus de 5000 armes chez les plus cĂ©lĂšbres armuriers parmi lesquels Winchester, Smith & Wesson, Remington ou encore Sharps. Colt Simple Action Army gravĂ© et ornĂ© par Nimschke pour Theodore Roosevelt 1858 - 1919 en 1883. Gravures et monogramme gravĂ© sur finition plaquĂ©e or et argent. Crosse en ivoire © Turnbull Restoration On recense pas moins de 2000 graveurs sur armes en activitĂ© dans la seconde moitiĂ© du XIXe siĂšcle aux États-Unis, tous majoritairement issus de l’immigration allemande. Pourtant, moins d’une dizaine se distingueront par leur talent artistique et technique. Cette activitĂ© de gravure tĂ©moigne en tous cas de la demande indiscutable de revolvers ornĂ©s, de la simple gravure Ă  l’eau forte jusqu’au travail opulent des plus grands graveurs. Smith & Wesson s’associa mĂȘme Ă  Tiffany & Co de 1890 Ă  1909 comme en tĂ©moigne son Blue Book le catalogue Ă  la cĂ©lĂšbre couleur turquoise qui proposait alors Revolvers parmi les meilleurs, montĂ©s en argent, en ivoire, or, etc et ornĂ©s de dĂ©corations riches et Ă©laborĂ©es, de 50 Ă  300$ Leur principale particularitĂ© fut de propager Ă  travers les revolvers Smith & Wesson le goĂ»t pour l’Art Nouveau, un Unicum dans ce domaine puisque le goĂ»t pour les revolvers ornĂ©s s’éteignit peu Ă  peu au XXe siĂšcle, conservant le souvenir de l’ñge d’or du XIXe oĂč prĂ©dominaient d’élĂ©gantes volutes aux mouvements compliquĂ©s. Revolver Smith & Wesson Frontier » en collaboration avec Tiffany & Co. Circa 1892-93 © Reddit La sobriĂ©tĂ© des revolvers est aujourd’hui de mise bien que la coloration du mĂ©tal soit encore pratiquĂ©e. Les superbes teintes de bleus jaspĂ©s sont encore les plus apprĂ©ciĂ©es puisque le bronze, qui permettait d’obtenir de flamboyantes nuances fauves, n’est plus utilisĂ© de nos jours. Ces teintes mĂ©talliques Ă©taient et sont toujours obtenues par Ă©chauffement du mĂ©tal. Ce dernier se colore en surface de teintes allant du jaune au bleu profond Ă  mesure que la chaleur augmente. Un savoir-faire considĂ©rable est nĂ©cessaire pour maĂźtriser la coloration et obtenir des nuances profondes et belles. Cet art particuliĂšrement apprĂ©ciĂ© des amateurs de revolvers fut parfois remplacĂ© Ă  partir du XVIIIe siĂšcle par des applications de solutions chimiques qui ne trompaient pourtant pas les fins connaisseurs hermĂ©tiques Ă  ces pratiques hĂ©rĂ©tiques. Samuel Colt fut de ceux-lĂ  et produisit de superbes revolvers oĂč l’association des matiĂšres, des motifs et des nuances mĂ©talliques devrait suffire Ă  te convaincre de la grande valeur artistique de ces objets mythiques. Colt Dragoon poudre noire, six coups. Canon et carcasse en bronze jaspĂ©. Plaquettes de crosse en noyer. Reproduction "Umberti et C. Italie". © Drouot Online Tu sais pourtant que l’humain n’agit jamais sans raison sans rĂ©flĂ©chir oui souvent, mais pas sans raison. DiffĂ©rence entre raison et rĂ©flexion ? Tu as trois heures. Si Samuel Colt et les nombreux armuriers qui fournirent aux États-Unis et au reste du monde des milliers de leurs revolvers rehaussĂ©s de gravures et teintĂ©s de nuances dĂ©licates, ce n’était pas seulement pour l’amour de la belle ouvrage. La gravure avait d’abord pour fonction de casser » la surface lisse et extrĂȘmement rĂ©flĂ©chissante du mĂ©tal. En gravant un canon et un barillet, on offrait ainsi plus de confort au tireur en rĂ©duisant le risque d’ĂȘtre Ă©bloui par les reflets du soleil sur le mĂ©tal. Moins aveuglĂ©, le tireur gagne naturellement en prĂ©cision de tir. Par ailleurs, les fines entailles de la gravure dans le mĂ©tal permettaient de retenir l’huile utilisĂ©e pour nettoyer le revolver, assurant un meilleur entretien et une pĂ©rennitĂ© plus grande des matĂ©riaux qui le composaient. La coloration du mĂ©tal relevait de la mĂȘme volontĂ© diminuer au maximum les reflets Ă©blouissants et offrir une protection supplĂ©mentaire contre la corrosion. Car la coloration, et le bleuissement en particulier, offre par rĂ©action chimique une protection efficace contre la dĂ©tĂ©rioration du mĂ©tal. Revolver Colt Single Action Army, 2e gĂ©nĂ©ration datĂ© de 1976 © Tyler Gun WorksQuelque soit ton opinion sur les armes Ă  feu, leur commerce et leur utilisation, j’espĂšre te voir forcĂ© de constater que le revolver occupe une place Ă  part entiĂšre dans l’histoire des armes. Objet hautement technologique et artistique, au croisement des innovations entre Ancien et Nouveau Monde, le revolver absorbe les racines europĂ©ennes de centaines de milliers de migrants et incarne cette libertĂ© Ă  laquelle ils aspirent sur un territoire oĂč l’on pensait que le revolver Colt garantissait l’égalité Sources et crĂ©dits Collectif, Les Armes Ă  Feu de LĂ©gende, Larousse, 2016, Chine. Collectif Herbert G. Houze, Carolyn C. Cooper, Elizabeth Mankin Kornhauser, Samuel Colt Arms, Art and Invention, Yale University Press, 2006 COMBEAU Didier. Les AmĂ©ricains et leurs armes. droit inaliĂ©nable ou maladie du corps social ? », Revue française d’études amĂ©ricaines, vol. no93, no. 3, 2002, pp. 95-109. CRAMER Clayton E., Lock, Stock, and Barrel The Origins of American Gun Culture, Praeger, 2018 Grancsay, Stephen V. “An Exhibition of Colt Percussion Revolvers.” The Metropolitan Museum of Art Bulletin, vol. 37, no. 2, 1942, pp. 30–33. JSTOR, RANDELL, Jacqueline, Colt Culture Examining Representations of the American West in Victorian London, Columbia University Journal of Politics and Society 25 Automne 2014. WILSON Firearms Engraving in Nineteenth Century America, Bulletin of the American Society Collectors 28 Automne 1973

Larecrudescence d'actions armées a démontré, à ce propos, la nécessité de disposer d'un mandat large et de rÚgles d'engagement et de comportement (ROE) autorisant le recours à la force armée. Les ROE constituent un ensemble de rÚgles relatives à l'action de la KFOR. Elles apparaissent en annexe de l'OPLAN OTAN 10413 « Joint

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Puis, voyant que ça n'avait strictement rien d'amusant, je la remis Ă  sa place et levai la tĂȘte vers le plafond, rĂ©flĂ©chissant Ă  tout estres, le pourquoi ils m'avaient simplement amochĂ©e sans pour autant me tuer alors qu'ils auraient dĂ» me donner aux sĂ©pulcreux. J'aurais dĂ» finir mangĂ©e, en bouillie. ça n'avait aucun sens. Et pourquoi je me souvenais Ă  peine de ce qu'ils m'avaient fait ? Une personne normale ne serait pas sortie indemne psychiquement d'une sĂ©ance de torture, alors que je me sentais... presque normale, exceptĂ©e mon bassin brisĂ©. C'Ă©tait comme... si tout ça n'avait Ă©tĂ© qu'un mauvais rĂȘve que je n'avais pas vĂ©cu. AprĂšs tout, la douleur Ă©tait partie avec l'Institut, et je ne parvenais pas Ă  me rappeler des voix des estres, Ă  rien. MĂȘme ce qu'ils m'avaient fait... Mon cerveau aurait-il tout Ă©liminĂ© pour que je ne pĂšte pas les plombs ? C'Ă©tait la solution la plus probable que je tirai sur le bout de mon drap, les yeux dans le vague quand William revint, armĂ© d'une cocotte qui laissait Ă©chapper de la vapeur. Je lui souris, quoi que distraite par mes rĂ©flexions, et il plaça la tablette de fer sur mon lit, puis les couverts, et enfin me servis. ça sentait bon. Comme toujours quand c'Ă©tait lui qui cuisinait. Je fis d'ailleurs cette remarque Ă  haute voix. Je me redressai un peu pour ĂȘtre presque perpendiculaire au lit, et commençai Ă  Comment m'avez-vous retrouvĂ© ? abordai-je comme sujet, en tournant les yeux vers lui et en amenant une fourchette de poulet Ă  ma Les clubs du soir, avec Chaty William O'LearyPrince des Vagabonds ♛Messages 1202Date d'inscription 03/01/2015Feuille de personnageAvatar Hayden ChristensenÂge 18 ansParticularitĂ© TĂ©lĂ©portationSujet Re Voler une banque Mar 14 AoĂ» - 1208 William fit une drĂŽle de tĂȘte, dĂ©sarçonnĂ©. Il ne s'attendait pas Ă  cette question qui refroidit vivement son humeur, mais elle avait le droit de savoir. Il ne lui avait rien racontĂ© Ă  son rĂ©veil, trop heureux qu'elle s'en soit sortie. Attendre d'avoir un dĂ©but de piste avait Ă©tĂ© insupportable pour William. Il avait cru qu'elle Ă©tait morte... Il s'efforça d'adopter un ton neutre, malgrĂ© la douleur que ça avait Ă©tĂ© de voir partir cette voiture en sachant qu'AnaĂŻs Ă©tait dedans, vivante ou morte. L'incertitude et l'impuissance l'avaient rongĂ©es, ça avait Ă©tĂ© de sales jours pour lui. Plus difficiles encore pour AnaĂŻs, avec ce qu'elle avait subi... William ravala sa peine pour le moment et rembobina douloureusement ses souvenirs. Il avait failli plomber quelqu'un au dĂ©but, et puis il s'Ă©tait isolĂ© et il avait fait Ă©quipe avec Jack et dĂ©testĂ© Ivy. Vraiment dĂ©testĂ©. Il s'installa au fond de sa chaise inconfortable et croisa les bras. "GrĂące Ă  Ambre. Je lui ai donnĂ© le numĂ©ro de la plaque, on a retrouvĂ© les vĂ©hicules des estres. On a fouillĂ© un immeuble et on t'a... On t'a trouvĂ©e par terre dans une des caves." Sa voix s'Ă©tait cassĂ©e lors de la derniĂšre phrase, il avait butĂ© contre les mots. Il la voyait encore, allongĂ©e par terre et sanguinolente. Il se tut ensuite, se mordillant l'intĂ©rieur de la joue, Elle est mon plus grand pĂ©chĂ©, et j'irai avec joie en enfer pour elle. » AnaĂŻs YoungAdministratrice ★Messages 1357Date d'inscription 02/01/2015Feuille de personnageAvatar Emma LouiseÂge 16 ansParticularitĂ© MaĂźtrise de la glaceSujet Re Voler une banque Mar 14 AoĂ» - 1229 - Et il restait un estre ? Vous savez pourquoi ils ne m'ont pas donnĂ© Ă  manger aux sĂ©pulcreux ?J'avais rĂ©pondu au tac au tac, juste aprĂšs qu'il se soit tu, mal Ă  l'aise. Je n'avais pas vu son regard hantĂ©, hagard, faut dire que j'avais les yeux rivĂ©s sur le mur en face de moi, Ă  me creuser la tĂȘte pour comprendre ce qui avait pu se passer dans la tĂȘte de ces estres pour me garder entre leurs mains sans rien faire d'une particuliĂšre toute fraĂźche. Un silence me rĂ©pondit. Je tournai la tĂȘte vers William en mĂąchant, et vis enfin la tĂȘte qu'il tirait. Une tĂȘte pas trop avenante, du genre qui fait arrĂȘter les questions. Je me mordis la lĂšvre. C'Ă©tait peut-ĂȘtre pas agrĂ©able pour lui d'en parler. Je baissai les yeux sur mon assiette et tentai de e rattraper - Enfin, tu n'es pas obligĂ© de rĂ©pondre, c'est pas grave. Si je ne sais pas, tu ne dois pas en savoir plus et...Je m'enfonçai. J'en avais conscience. Au point oĂč j'en Ă©tais, il valait mieux que je change totalement de sujet. Ce que je fis maladroitement - Sinon trĂšs bon ton Les clubs du soir, avec Chaty William O'LearyPrince des Vagabonds ♛Messages 1202Date d'inscription 03/01/2015Feuille de personnageAvatar Hayden ChristensenÂge 18 ansParticularitĂ© TĂ©lĂ©portationSujet Re Voler une banque Mar 14 AoĂ» - 1241 William se tripota les poignets en regardant ailleurs, trĂšs mal Ă  l'aise. Il avait envie de sortir, de s'isoler, ou alors qu'ils retournent tous les deux au Chalet et qu'ils oublient toute cette histoire. Elle posa encore des questions et il grimaça. Aller, William, tout allait bien jusqu'ici, tu ne vas pas tout gĂącher, fais un petit effort nom de Dieu ! Oui, bah, "petit", tout Ă©tait relatif. Mais la question d'AnaĂŻs Ă©tait lĂ©gitime. Lui-mĂȘme avait craint longtemps de la retrouver en petits morceaux, le corps Ă©ventrĂ© ou lacĂ©rĂ©, ou de ne pas la retrouver du tout. Il ne savait pas quelle option aurait Ă©tĂ© la plus difficile Ă  vivre et Ă  vrai dire il ne voulait pas le savoir. Certes, c'Ă©tait choisir la facilitĂ© que de faire l'autruche comme il le faisait, mais tout ceci s'Ă©tait dĂ©roulĂ© il y a quelques jours seulement, il n'avait aucun recul et tout ceci Ă©tait encore trop frais, trop rĂ©el dans sa mĂ©moire. "J'en sais rien, avoua-t-il, ignorant la tentative d'AnaĂŻs pour changer de sujet. Je ne sais pas pourquoi ils ne t'ont pas tuĂ© et livrĂ© aux creux. Oui, il restait un estre. Mais il a Ă©tĂ© tuĂ© et les deux autres sont toujours dans la nature, d'aprĂšs ce que j'en sais." Autant y aller franco pour remuer le couteau dans la plaie, au point oĂč ils en Ă©taient. Il se dĂ©cida Ă  affronter son regard mais ne tint pas plus de quelques secondes. "Tu Ă©tais dans un Ă©tat pitoyable," marmonna-t-il pour Elle est mon plus grand pĂ©chĂ©, et j'irai avec joie en enfer pour elle. » AnaĂŻs YoungAdministratrice ★Messages 1357Date d'inscription 02/01/2015Feuille de personnageAvatar Emma LouiseÂge 16 ansParticularitĂ© MaĂźtrise de la glaceSujet Re Voler une banque Mar 14 AoĂ» - 1301 - Je je le suis toujours, ajoutai-je mentalement. Il ne me regardait mĂȘme plus. J'avais fait une erreur, je n'aurais pas du parler de ça, j'aurais dĂ» laisser ce sujet enterrĂ© et ne jamais le remettre sur le tapis. J'aurais dĂ» l'oublier et le laisser derniĂšre nous. Je me mordis la lĂšvre, dĂ©glutis, et lĂąchai mes couverts dans l'assiette, l'estomac nouĂ©. C'Ă©tait ma faute s'il Ă©tait mal maintenant, et je ne pouvais rien faire, pas le prendre dans mes bras, pas l'embrasser. J'Ă©tais impuissante, et pitoyable, comme il le disait si bien. Je serrai mes doigts contre mes draps et soupirai longuement, fatiguĂ©e. Il valait mieux que je me taise, pour Ă©viter d'empirer un peu plus les choses, sauf que si je me taisais, il prendrait sĂ»rement ça comme un rejet et finirait par partir alors que je voulais juste qu'il reste avec moi. Je persistai donc Ă  changer de sujet, les yeux toujours Ă  fixer le mur Ă  ma droite quand William Ă©tait Ă  ma gauche - Comment va Orion ?_________________ Les clubs du soir, avec Chaty William O'LearyPrince des Vagabonds ♛Messages 1202Date d'inscription 03/01/2015Feuille de personnageAvatar Hayden ChristensenÂge 18 ansParticularitĂ© TĂ©lĂ©portationSujet Re Voler une banque Mar 14 AoĂ» - 1331 William se laissa un peu de temps avant de reprendre le dessus sur ses Ă©motions. Tout ceci avait Ă©tĂ© difficile Ă  gĂ©rer, mais il devait passer outre AnaĂŻs Ă©tait lĂ  avec lui et s'ils ne connaissaient pas les raisons des estres, il remerciait le ciel d'avoir laissĂ© AnaĂŻs en vie. Il chassa l'image de la jeune fille Ă©crasĂ©e sur le trottoir, puis ensanglantĂ©e. Ce n'Ă©tait pas de sa faute s'il avait du mal Ă  en parler sans se rĂ©tracter dans sa coquille. Il mit quelques minutes Ă  en sortir et Ă  regarder AnaĂŻs, qui elle ne le regardait plus, gĂȘnĂ©e et penaude d'avoir mis le sujet sur le tapis. Sa petite voix demanda comment allait Orion, derniĂšre tentative pour changer de sujet. Elle s'en voulait, ça se voyait comme le nez au milieu de la figure. Il ne fallait pas. C'Ă©tait juste lui qui avait un peu de mal Ă  encaisser, elle n'avait rien Ă  se reprocher. Il rapprocha sa chaise du lit et lui prit la main et commença Ă  jouer avec les petits doigts d'AnaĂŻs. Un ange passa, durant lequel il chercha ses mots pour s'excuser de sa rĂ©action. "DĂ©solĂ©. T'as le droit de savoir, c'est juste que c'est pas simple d'en parler. Il va bien, mais je pense qu'il sera moins infernal quand tu rentreras." Un sourire naquit sur son visage et il arqua un sourcil. "Et que tu lui donneras la bouffe qui nous est destinĂ©." Il dĂ©testait cette manie et ne savait d'oĂč ça lui venait. Chez lui, la bouffe Ă©tait trop importante pour la donner au chien. Ils avaient le droit aux os Ă  ronger et c'Ă©tait tout. Certainement une consĂ©quence de la guerre et de la Elle est mon plus grand pĂ©chĂ©, et j'irai avec joie en enfer pour elle. » AnaĂŻs YoungAdministratrice ★Messages 1357Date d'inscription 02/01/2015Feuille de personnageAvatar Emma LouiseÂge 16 ansParticularitĂ© MaĂźtrise de la glaceSujet Re Voler une banque Mar 14 AoĂ» - 2306 Grincement de chaise. William s’était rapprochĂ© et saisit une de mes mains pour jouer avec mes doigts. Je les serrai autour des siens, persistant Ă  diriger mon regard vers le mur Ă  ma droite. Quelques minutes passĂšrent avant qu’il ne reprenne la parole. Je tournai timidement la tĂȘte vers ses doigts emmĂȘlĂ©s aux miens, tandis que je caressai ses phalanges de mon pouce, avant de guider sa main Ă  mes lĂšvres pour y dĂ©poser un baiser. J’allais juste arrĂȘter d’en parler, c’était mieux pour lui et pour moi, tout simplement. Je souris malgrĂ© moi. Orion me manquait, c’était vrai. Il remplaçait le chien que j’avais eu quand j’étais petite, et Ă©tait devenu plus maintenant c’était notre chien. À William et Ă  moi. Un membre du trio, notre protĂ©gĂ©. Il m’avait sauvĂ© plusieurs fois dĂ©jĂ , avec les loups pour ne citer que ça. C’était une brave bĂȘte, et caresser sa petite tĂȘte en dormant sur William me manquait. Et... J’avais cette fĂącheuse tendance Ă  lui donner nos restes, chose que William supporte assez mal. Mais c’était contre ma bonne volontĂ©, je ne pouvais pas lutter face Ă  ses yeux doux. - Dis, tu crois que tu pourras me le ramener discrĂštement ? souris-je en le regardant enfin dans les yeux. _________________ Les clubs du soir, avec Chaty William O'LearyPrince des Vagabonds ♛Messages 1202Date d'inscription 03/01/2015Feuille de personnageAvatar Hayden ChristensenÂge 18 ansParticularitĂ© TĂ©lĂ©portationSujet Re Voler une banque Mar 14 AoĂ» - 2350 AnaĂŻs sortit de sa rĂ©serve, William en eut la confirmation en sentant ses doigts se serrer autour des siens. Au moins, son initiative avait payĂ©, c'Ă©tait dĂ©jĂ  ça. Il ne restait plus qu'Ă  passer Ă  autre chose. Plus facile Ă  dire qu'Ă  faire, dirait-on. Ils avait dĂ©jĂ  beaucoup traversĂ© ensemble, et des choses pas toujours drĂŽles, mais ils allaient rĂ©ussir Ă  passer au-dessus de tout ça, William en Ă©tait certain. Les circonstances l'aidaient bien Ă  ĂȘtre sĂ»r de lui. Elle Ă©tait dans un lit, au chaud, mĂȘme si ça ne lui faisait ni chaud ni froid, et c'Ă©tait le cas de le dire. Mais on la soignait. Et elle allait aller mieux rapidement. MĂȘme si pour elle, rapidement n'avait pas la mĂȘme dĂ©finition. La mention d'Orion Ă©veilla l'intĂ©rĂȘt d'AnaĂŻs. ça faisait plusieurs annĂ©es qu'il faisait partie de la famille, en quelque sorte. Si Orion n'avait pas Ă©tĂ© visible Ă  ce point dans un environnement aseptisĂ©, il l'aurait dĂ©jĂ  ramenĂ©. William ne l’admettrait pas Ă  voix haute, mais la compagnie d'Orion lui Ă©vitait de redevenir un peu plus dingue qu'il ne l'Ă©tait dĂ©jĂ . Il tournait moins en rond en sa prĂ©sence, et il savait qu'AnaĂŻs manquait au clebs, pas autant qu'Ă  lui, mais il se sentait moins seul. Elle le regarda enfin. Il sourit, malicieux. "Oui, ça pourrait s'arranger." Il ne voulait pas lui lĂącher la main. Donc il ramena la table dans un grincement jusqu'Ă  lui. Son assiette remplie tinta. Il n'y avait pas touchĂ© pour l'instant, mais prit sa fourchette pour y goĂ»ter. "C'est encore chaud," Elle est mon plus grand pĂ©chĂ©, et j'irai avec joie en enfer pour elle. » AnaĂŻs YoungAdministratrice ★Messages 1357Date d'inscription 02/01/2015Feuille de personnageAvatar Emma LouiseÂge 16 ansParticularitĂ© MaĂźtrise de la glaceSujet Re Voler une banque Mer 15 AoĂ» - 1135 Le repas ne fut plus contrariĂ© par des mots fĂącheux et fut ponctuĂ© de sourires et rires paisibles. C’était plus simple comme ça, et plus agrĂ©able aussi. Il tenait toujours ma main en mangeant, et je dus manger de la main gauche. De toute façon mon bras droit peinait Ă  suivre le rythme Ă  cause de mon Ă©paule qui s’était brisĂ©e dans la chute. J’utilisai principalement ma main droite de puis ce matin, et c’était trĂšs compliquĂ©. Mon poulet retomba plusieurs fois dans mon assiette et je dus soupirer une ou deux fois Ă  cause de cette patience qui commençait Ă  se faire rare. Au final, je mangeai plus pour lui faire plaisir parce qu’il avait pris du temps pour faire son plat, plutĂŽt que par plaisir. Il rangea la table au fond de la chambre avec les vaisselles et se tĂ©lĂ©porta pour la ramener au chalet, avant de revenir. Il m’aida Ă©galement Ă  me porter pour que je me lave les dents, et me ramena enfin dans mon lit. Mes cheveux n’étaient pas secs, ni brossĂ©s, et je sentais que tout mon corps Ă©tait embourbĂ© dans la fatigue. Il me devenait rĂ©ellement difficile d’utiliser mon bras droit, alors mes cheveux... ça allait ĂȘtre compliquĂ©. William s’était rĂ©installĂ© dans ma chaise juste Ă  cĂŽtĂ©. J’avais la brosse dans les mains, les triturai, sans trop savoir quoi en faire. - Tu pourrais... m’aider Ă  me brosser les cheveux s’il te plait ..? demandai-je, de nouveau, d’une voix timide. _________________ Les clubs du soir, avec Chaty William O'LearyPrince des Vagabonds ♛Messages 1202Date d'inscription 03/01/2015Feuille de personnageAvatar Hayden ChristensenÂge 18 ansParticularitĂ© TĂ©lĂ©portationSujet Re Voler une banque Mer 15 AoĂ» - 1233 William remarqua bien vite qu'AnaĂŻs se dĂ©brouillait comme un manche pour se servir de sa main gauche. Les aliments glissaient de sa fourchette pour retourner dans son assiette comme s'ils la fuyaient. Il enleva sa main de la sienne pour qu'elle puisse manger normalement mais constata que de toute façon elle continuait Ă  utiliser sa main non dominante. Elle avait mal au bras droit ? Ou alors, elle se fatiguait trop en l'utilisant ? Quelle qu'en fut l'explication, William ne fit pas de commentaire, sachant que s'il l'avait remarquĂ©, elle devait en avoir conscience et dĂ©jĂ  ĂȘtre déçue d'elle-mĂȘme et se trouver impuissante devant sa faiblesse. Inutile de jeter de l'huile sur le feu, elle le vivait suffisamment mal comme ça. William tenta de faire la conversation en lui souriant et ça marche plus ou moins. Au moins ils passaient du temps ensemble. Une fois le repas terminĂ©, il s'occupa de tout dĂ©barrasser et elle put se laver les dents. Elle tombait de fatigue, il le voyait d'ici. Elle se remit au lit, cette fois pour y rester pendant la nuit, et lui demanda de brosser ses cheveux. "Euh, ouais, bien sĂ»r," lui rĂ©pondit un William dĂ©sarçonnĂ©. Il prit la brosse, la regarda sans trop savoir comment l'utiliser et se dĂ©cida Ă  brosser les cheveux d'AnaĂŻs. Elle lui dit rapidement d'y aller plus franco pour dĂ©faire les nƓuds. Il obtempĂ©ra, reprit sa place sur la chaise inconfortable et lui tint la main en lui parlant de tout et de rien jusqu'Ă  ce qu'elle s'endorme. Elle Ă©tait adorable. Et trĂšs fatiguĂ©e aussi. William lui caressa le dos de la main puis finit par s'endormir, du moins le crĂ»t-il. Parce qu'en vĂ©ritĂ©, il se leva, prit la carte d'accĂšs au nom d'AnaĂŻs et sortit de la piĂšce. Il se rĂ©veilla quatre heures plus tard en sursaut, aux environs de minuit. La chaise lui faisait mal aux fesses et au dos, il Ă©tait trĂšs mal installĂ©. Il mit un peu de temps Ă  comprendre oĂč il Ă©tait, et en face de lui, AnaĂŻs dormait toujours. Il se leva et rentra sans bruit au Chalet. Orion vint le voir en trottinant. William se servit un verre d'eau et s'assit dans le canapĂ©. Le chien vint se caler contre lui et il lui caressa la tĂȘte. Il posa son verre sur la table basse et finit par piquer du nez dans le pelage d'Orion. Un cauchemar vint Ă©courtĂ© sa nuit, au grand dam d'Orion qui se fit Ă©jectĂ© du canapĂ©. William se fit un cafĂ© pour tenir le coup et commença Ă  fouiller dans les placards, en quĂȘte de quelque chose qui pourrait distraire AnaĂŻs durant son sĂ©jour Ă  l'Institut. Un ballon ne semblait pas trop indiquĂ© dans un hĂŽpital. Il finit par dĂ©nicher une boĂźte en bois qu'il ne connaissait pas. Elle contenait de la peinture, une palette et des pinceaux. Il trouva Ă  cĂŽtĂ© une chemise avec des feuilles Ă  dessin. Comme il n'y connaissait rien, il se dit qu'il embarquerait le tout pour aller voir AnaĂŻs. Ce qu'il fit quelques heures plus tard en entrant dans la chambre d'AnaĂŻs, tout guilleret - et inconscient qu'il lui manquait quatre heures de sa nuit. Il s'assit sur le lit et l'embrassa rapidement, avant de lui montrer ses trouvailles. "Salut princesse ! Regarde ce que je t'ai apportĂ© !"_________________ Elle est mon plus grand pĂ©chĂ©, et j'irai avec joie en enfer pour elle. » AnaĂŻs YoungAdministratrice ★Messages 1357Date d'inscription 02/01/2015Feuille de personnageAvatar Emma LouiseÂge 16 ansParticularitĂ© MaĂźtrise de la glaceSujet Re Voler une banque Mer 15 AoĂ» - 1311 RĂ©veillĂ©e vers neuf heures, je devais avouer que je m'ennuyai beaucoup beaucoup trop dans cette piĂšce. Je ne pouvais pas me lever, pas sortir, pas retourner au chalet, pas jouer avec Orion, pas lire - je n'avais aucun livre sous la main - rien Ă  regarder pas de paysage, pas de tĂ©lĂ© comme un chalet, juste un mur blanc et fade, personne Ă  qui parler si ce n'Ă©tait les infirmiĂšres qui venaient me demander si j'avais besoin de quelque chose et Ă  qui je rĂ©pondais automatiquement "non merci" pour ne pas les dĂ©ranger bien que ce soit leur boulot. Heureusement que William vint me sauver, environ une heure aprĂšs mon rĂ©veil, muni d'une boĂźte en bois et d'une chemise rendue Ă©paisse Ă  cause de son contenu. Il paraissait tout content, alors que le contenu de celle-ci restait un mystĂšre pour moi. Il m'embrassa rapidement, s'assit Ă  mes pieds et me tendit la boite. Je l'ouvris. De la peinture ? J'arquai un sourcil en relevant les yeux vers lui. OĂč est-ce qu'il avait trouvĂ© ça ? Je n'en avais pas fait depuis des annĂ©es aussi, je doutais fortement de mes capacitĂ©s en dessin et en peinture mais.. ça pouvait passer le temps. J'en dĂ©duis qu'il avait des feuilles ou quelque chose dans ce genre dans la chemise cartonnĂ©e qu'il tenait dans ses mains. Mais oĂč est-ce que tu as trouvĂ© tout ça ?, l'interrogeai-je. Je pris un tube de couleur bleu dans ma main et un pinceau, j'ouvris le bouchon et fus surprise de l'odeur. Peut-ĂȘtre elle Ă©tait pĂ©rimĂ©e, d'oĂč l'odeur ? Quoi qu'il en soit je plongeai la petite pointe dans le tube, comme pour vĂ©rifier si c'Ă©tait bien de la peinture. Il me tendit une feuille et je posai le pinceau dessus, comme une enfant. Je n'avais aucune idĂ©e de quoi faire avec, et plus le temps passait, plus l'odeur me rebutait mais tant pis. De son cĂŽtĂ©, il avait aussi ouvert la peinture, en avait mis sur son doigt et l'avait un peu Ă©talĂ©e sur la feuille, avant de diriger sa main pleine de peinture sur mon nez et de m'en mettre dessus. Surprise, je restai quelques secondes sans rĂ©action Ă  le dĂ©visager, puis pris mon pinceau, remis de la peinture dessus, et tentai de me venger en lui en mettant sur la joue. Sauf que cet ĂȘtre bien pensant Ă©vita subtilement la pointe, l'esquiva mĂȘme, et qu'elle laissa une traĂźnĂ©e non pas sur sa joue, mais sur son t-shirt. Il me dĂ©visagea, je fis de mĂȘme avant d'Ă©clater de Les clubs du soir, avec Chaty DerniĂšre Ă©dition par AnaĂŻs Young le Mer 15 AoĂ» - 1910, Ă©ditĂ© 1 fois William O'LearyPrince des Vagabonds ♛Messages 1202Date d'inscription 03/01/2015Feuille de personnageAvatar Hayden ChristensenÂge 18 ansParticularitĂ© TĂ©lĂ©portationSujet Re Voler une banque Mer 15 AoĂ» - 1426 "Au Chalet. Je ne sais pas Ă  qui ça peut ĂȘtre." Mais je me suis servi. En mĂȘme temps, ici elle profiterait Ă  quelqu'un ! William ne savait pas dessinĂ©, mais ça n'avait pas d'importance. Peut-ĂȘtre qu'AnaĂŻs allait lui montrer un de ses talents cachĂ©s... Mais non, elle paraissait tout aussi douĂ©e que lui avec un pinceau. La jeune fille ouvrit un des tubes qui laissa Ă©chapper une drĂŽle d'odeur. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce le renfermĂ© ? William utilisa la peinture qu'elle venait de mettre sur la palette et y mit le bout du pinceau, avant de tracer un trait malheureux sur l'une des feuilles. Mouais, il ne serait pas artiste plus tard, Ă  moins d'un sursaut d'inspiration, un Ă©clair d'illumination. Un miracle, quoi. En attendant, il trouvait bien plus drĂŽle d'embĂȘter AnaĂŻs avec. Il trempa son doigt dans le rouge. La texture Ă©tait Ă©trange, presque glissante. Qu'est-ce qu'il avait Ă©tĂ© faire Ă  chercher cette peinture Ă©trange ? Il ne se posa pas plus la question et en mit plutĂŽt sur le bout du nez d'AnaĂŻs qui ne s'y attendait pas. Elle avait Ă  prĂ©sent du rouge sur le nez, et William la regardait, hilare... Jusqu'Ă  ce qu'elle rĂ©plique. Il esquiva Ă  moitiĂ© le geste et une traĂźnĂ©e rouge atterrit sur son tee-shirt. "Ah bah c'est du joli ! Attends, je l'enlĂšve pour ne pas en mettre partout." Il ĂŽta son tee-shirt pour se retrouver torse nu et se rassit prĂšs d'elle, puisqu'elle s'Ă©tait mise en tailleur pour ĂȘtre plus Ă  l'aise. Il Ă©tait en train de se dire que s'ils en mettaient sur les draps du lit, ça risquait de se voir Ă  dix kilomĂštres vu leur blancheur, quand un coup de pinceau sur son Ă©paule le fit frisonner. Il la regarda. La sensation Ă©tait Ă©trange, et le geste n'avait plus du tout la mĂȘme signification, tout Ă  coup. Bien plus adulte qu' Elle est mon plus grand pĂ©chĂ©, et j'irai avec joie en enfer pour elle. » AnaĂŻs YoungAdministratrice ★Messages 1357Date d'inscription 02/01/2015Feuille de personnageAvatar Emma LouiseÂge 16 ansParticularitĂ© MaĂźtrise de la glaceSujet Re Voler une banque Mer 15 AoĂ» - 1756 William retira son t-shirt et je lui adressai un sourire innocent. Je m’assis en tailleur, le dos contre la tĂȘte de lit pour ĂȘtre soutenue par quelque chose, et il se rapprocha un peu. Mon pinceau toujours en main, je le tendis une nouvelle fois et le fis glisser sur l’épaule. Nos regards se croisĂšrent. Je poursuivis ma ligne de peinture sur son pectoraux puis descendis un peu plus vers ses abdominaux avant de lui sourire de toutes mes dents. Il avait eu une trĂšs bonne idĂ©e finalement, j’adorais cette activitĂ© ! Je lui fis deux traits sur la joue droite puis remis de la peinture sur mon pinceau, avant de relever les yeux vers lui et de dĂ©clarer - Quoi ? C’est bien plus amusant que sur du dĂ©posai mes lĂšvres sur les siennes, l’embrassant lentement mais intensĂ©ment, en prenant mon temps pas comme dans le bain hier. Puis je descendis sur sa joue gauche donc propre et son cou sans pouvoir m’empĂȘcher d’y glisser ma langue. Si j’avais d’abord Ă©tĂ© rĂ©ticente Ă  l’idĂ©e de mettre mes doigts dans la peinture, je pris un tube et en posai une petite goutte sur mon doigt, avant de caresser des clavicules, ma bouche toujours occupĂ©e Ă  l’embrasser dans le cou. Quand je relevai les yeux, deux lignes barraient son torse. Je repris le pinceau que j’avais coincĂ© entre mes jambes et me remis Ă  tracer les courbes de ses muscles. - J’aime beaucoup te peindre dessus c’est reposant, constatai-je, taquine. _________________ Les clubs du soir, avec Chaty William O'LearyPrince des Vagabonds ♛Messages 1202Date d'inscription 03/01/2015Feuille de personnageAvatar Hayden ChristensenÂge 18 ansParticularitĂ© TĂ©lĂ©portationSujet Re Voler une banque Mer 15 AoĂ» - 1904 Le contact Ă©tait humide et froid. Elle s'Ă©clatait Ă  tracer les lignes de son torse, Ă  peinturlurer son corps et William ne savait pas quoi en penser. Il lui faisait face, la regardait et la sentait faire sans rien dire. Cette sensation Ă©tait trĂšs Ă©trange... Mais AnaĂŻs avait l'air d'une petite fille toute contente, avec un peu de malice en plus quand elle constatait par des frissons ou des expressions fugaces qu'il ne restait pas insensible Ă  ses coups de pinceau. Et son prĂ©tendu talent n'y Ă©tait pour rien. Il n'Ă©tait pas franchement rassurĂ© quand il la vit lever son pinceau et l'approcher de son visage, mais elle se contenta heureusement de faire des traits sur ses joues, Ă  la maniĂšre des indiens. Elle se rattrapa bien vite de ses bĂȘtises en l'embrassant lentement. William se laissa faire, se joignit au baiser, eut envie de la prendre dans ses bras et de ne plus jamais la lĂącher. Mais non, il Ă©tait plein de peinture et ils Ă©taient Ă  l'Institut. Bon sang, elle jouait avec lui, il ne pouvait rien faire sans tout salir, c'Ă©tait frustrant. Elle fit glisser sa bouche contre lui, prolongeant le contact, lui toucha l'Ă©paule, puis s'Ă©loigna. William Ă©mit un grognement. "Reposant" n'Ă©tait pas le terme qu'il aurait choisi. Elle avait repris le pinceau, rĂ©instaurant la distance entre eux. A un moment, il n'y tint plus et utilisa ses paumes pour rapprocher le visage d'AnaĂŻs du sien avant de l'embrasser. En prenant bien son temps Ă  son tour. Il sentit le pinceau restĂ© en suspens toucher son ventre. Merde pour la peinture. "Reposant, vraiment ?" sourit-il, malicieux, lorsqu'ils se Elle est mon plus grand pĂ©chĂ©, et j'irai avec joie en enfer pour elle. » AnaĂŻs YoungAdministratrice ★Messages 1357Date d'inscription 02/01/2015Feuille de personnageAvatar Emma LouiseÂge 16 ansParticularitĂ© MaĂźtrise de la glaceSujet Re Voler une banque Mer 15 AoĂ» - 1941 J'avais continuĂ© Ă  m'amuser sur son torse encore plusieurs minutes, jouant sur le fait qu'il n'Ă©tait pas insensible du tout aux caresses du pinceau contrez sa peau, ni Ă  mes lĂšvres. Quand il n'y tint plus, il attrapa mes joues entre ses paumes de main et approcha mon visage du sien pour m'embrasser. Je lui rendis son baiser en faisant attention Ă  ne pas m'en mettre sur le t-shirt. Je hochai la tĂȘte pour rĂ©pondre Ă  sa question et me remis Ă  la peinture, changeant de temps Ă  autre de couleur pour m'amuser, jouant avec ses formes, sa peau, ses frissons petite trace sortait des autres lignes, alors je mis un peu de salive sur mon pouce, et frottai un peu. ça ne partit pas. Je frottai avec plus d'insistance, puis fronçai les sourcils. Ok, ça partait vraiment pas. Soucieuse, je pris les tubes de peinture qui traĂźnaient sur la feuille blanche et lut ce qui Ă©tait Ă©crit dessus. "Oil paint". De la peinture Ă  l'huile ? Depuis quand ça existait ? Et comment on faisait pour la nettoyer ? Je jetai un coup d'oeil dĂ©solĂ© Ă  son t-shirt sĂ»rement mort maintenant, et lui annonçai la triste nouvelle - William... ça part pas. C'Ă©tait pour ça l'odeur d'ailleurs ? Les infirmiers allaient le sentir, c'Ă©tait sĂ»r et certain. - C'est de la peinture Ă  l'huile. Euh... Je crois que tu vas avoir du mal Ă  la Les clubs du soir, avec Chaty William O'LearyPrince des Vagabonds ♛Messages 1202Date d'inscription 03/01/2015Feuille de personnageAvatar Hayden ChristensenÂge 18 ansParticularitĂ© TĂ©lĂ©portationSujet Re Voler une banque Mer 15 AoĂ» - 2003 Elle continua son manĂšge et William avait maintenant l'impression d'ĂȘtre une pinata sur pattes toute colorĂ©e. Ou un arc-en-ciel dessinĂ© par un gosse de trois ans, au choix. Il n'avait pas vraiment envie de se regarder dans le miroir. Y manquerait plus qu'elle ait dessinĂ© un sourire au milieu de toutes ces lignes de couleur entrelacĂ©es. Il serait bien incapable de le voir de son point de vue, elle serait la seule Ă  contempler son Ɠuvre. Il la sentit frotter avec son doigt et la regarda lire un des tubes de peinture, les sourcils froncĂ©s. Son expression n'augurait rien de bon pour lui. De la peinture Ă  l'huile ? C'Ă©tait pour ça que ça sentait si fort ! ça et parce qu'on ne savait pas depuis quand elle dormait dans ces tubes au fin fond du placard. Et alors ? ça voulait dire quoi pour lui ? Que la peinture ne s'enlĂšve pas Ă  l'eau, comprit-il aussitĂŽt. Il leva les yeux au ciel en souriant. SĂ©rieusement ? Elle venait de lui en tartiner partout et ça ne s'enlevait pas Ă  l'eau ? Il avait envie de rire, incrĂ©dule. Bon, eh bien il faudrait frotter. Avec quoi pouvait-on enlever de l'huile ? D'autre huile ? De l'essence ? Beaucoup de savon ? "Eh bah va falloir frotter, rĂ©pondit-il. Tu m'en as vraiment mis partout lĂ  ?" Il regarda ses bras et ses mains qui elles semblaient bien Elle est mon plus grand pĂ©chĂ©, et j'irai avec joie en enfer pour elle. » AnaĂŻs YoungAdministratrice ★Messages 1357Date d'inscription 02/01/2015Feuille de personnageAvatar Emma LouiseÂge 16 ansParticularitĂ© MaĂźtrise de la glaceSujet Re Voler une banque Mer 15 AoĂ» - 2022 - Euh non, mentis-je. Non non ça va, euh, y en a pas parut dĂ©sabusĂ© et arqua un sourcil l'air de dire "t'es pas crĂ©dible AnaĂŻs" et je lui souris innocemment, l'air de rĂ©pondre "ahah c'est pas vrai". Il observa ensuite l'Ă©tendue des dĂ©gĂąts et j'Ă©talai avec ma main son torse pour avoir le plus de peinture dessus et pouvoir m'essuyer sur la feuille blanche qui restait, chose qui ne fonctionna pas rĂ©ellement comme prĂ©vue. Ma main dĂ©sormais tachĂ©e aussi, je fus bien embĂȘtĂ©e Ă  devoir la garder en l'air pour ne pas salir les draps du lit, ni mes propre vĂȘtements. Je jetai un coup d'oeil Ă  William, coupable. Peut-ĂȘtre que c'Ă©tait une erreur au final... Je pris la feuille, la pliai pour n'avoir que le cĂŽtĂ© propre et frottai de nouveau son torse pour en Ă©ponger le plus possible, avant d'ĂȘtre prise d'un fou rire incontrĂŽlable devant sa tĂȘte. Ok ok, j'avais fait une erreur et je m'enfonçai en essayant de la rĂ©parer, mais sa tĂȘte Ă©tait Ă  mourir de rire. Je glissai ma main propre dans son cou et posai mon avant bras sur son Ă©paule oĂč la peinture avait sĂ©chĂ©, pour ĂȘtre proche de ses Mais vois le bon cĂŽtĂ© des choses je peux t'aider dans la douche Ă  frotter ! _________________ Les clubs du soir, avec Chaty William O'LearyPrince des Vagabonds ♛Messages 1202Date d'inscription 03/01/2015Feuille de personnageAvatar Hayden ChristensenÂge 18 ansParticularitĂ© TĂ©lĂ©portationSujet Re Voler une banque Mer 15 AoĂ» - 2042 AnaĂŻs lui dit que non non franchement il n'y en avait pas vraiment beaucoup elle ne savait pas pourquoi il demandait ça. William, pas du tout dupe, arqua un sourcil devant sa rĂ©ponse hasardeuse. Son sourire le fit lui-mĂȘme sourire sans qu'il puisse avoir son mot Ă  dire. Elle frotta sa main sur son torse, la releva, essaya de s'essuyer sur la feuille blanche. William la regarda faire, pas convaincue du tout, attendant que son idĂ©e lumineuse se dĂ©voile, le moment oĂč il comprendrait comment elle allait rĂ©ussir avec brio Ă  retourner la situation en sa faveur... Qui n'arriva jamais. Ah non, elle se mit carrĂ©ment Ă  essayer de nettoyer ses conneries avec la feuille blanche, ce qui marcha un peu prĂšs aussi bien que la tentative d'essuyage de main effectuĂ©e deux secondes plus tĂŽt. Mais qu'est-ce qu'elle fichait ? Il Ă©tait dans de beaux draps si elle avait d'autres idĂ©es aussi brillantes dans les minutes Ă  venir. Elle se mit Ă  rire devant son incrĂ©dulitĂ©, ou peut-ĂȘtre devant le fait qu'il pensait que, finalement, ce n'Ă©tait pas plus mal qu'elle soit internĂ©e dans un asile, parce que ce qu'elle faisait actuellement Ă©tait aussi inutile que ridicule. Elle se rapprocha de lui pour tenter de se faire pardonner ? et lui dit qu'il aurait son soutien pour le nettoyage. Il sentait la situation glissante au propre et au figurĂ© arriver Ă  grands pas lui et elle dans une douche ? L'idĂ©e Ă©tait bonne, mais plus tard. LĂ , il y avait fort Ă  parier qu'il finirait tout seul, tout ça parce qu'elle Ă©tait encore en convalescence. Il croisa les bras, dubitatif. Il allait vraiment avoir du mal Ă  tout enlever. "Parce que tu es en Ă©tat de le faire, peut-ĂȘtre ?"_________________ Elle est mon plus grand pĂ©chĂ©, et j'irai avec joie en enfer pour elle. » AnaĂŻs YoungAdministratrice ★Messages 1357Date d'inscription 02/01/2015Feuille de personnageAvatar Emma LouiseÂge 16 ansParticularitĂ© MaĂźtrise de la glaceSujet Re Voler une banque Mer 15 AoĂ» - 2059 Il croisa ses bras sur son torse. Douche froide. Il me rappelait juste que je ne pouvais rien faire, que je n'Ă©tais en Ă©tat de ne rien faire. Si je n'y avais plus pensĂ© durant ce temps avec lui, il venait juste de m'envoyer balader et pas de la meilleure des maniĂšres. Je savais que je ne parviendrais mĂȘme pas Ă  me lever, j'avais dĂ©jĂ  testĂ© hier, et ce matin aussi, avant qu'il n'arrive, pour finalement me faire ramasser par une infirmiĂšre. Je le savais que je ne pouvais mĂȘme plus ĂȘtre son Ă©gale, que j'Ă©tais faible et pitoyable. Pas la peine de me le rappeler. VexĂ©e, je posai le pinceau sur la table de chevet. J'avais dĂ©chantĂ© si vite et mon sourire avait si vite disparu qu'il ne comprit peut-ĂȘtre pas. Dans tous les cas je remis mes pieds dans les draps, m'allongeai et tournai la tĂȘte parce que mon corps ne me permettait mĂȘme pas d'ĂȘtre seule. C'Ă©tait ridicule. Je ne pouvais pas partir en claquant la porte, j'Ă©tais enchaĂźnĂ©e au lit Ă  devoir rester avec lui qui me renvoyait Ă  ma place de faible et misĂ©rable. Il croyait que j'allais le prendre comment sĂ©rieusement ? Je ne pouvais pas tenir debout, je ne pouvais rien faire. Pourquoi il m'avait emmenĂ© hier alors ? Par pitiĂ©. Qu'il la garde, qu'il parte. Je n'avais pas besoin qu'on me rappelle que j'Ă©tais qu'une incapable, je me le rappelais dĂ©jĂ  suffisamment toute seule. - Bah pars Les clubs du soir, avec Chaty William O'LearyPrince des Vagabonds ♛Messages 1202Date d'inscription 03/01/2015Feuille de personnageAvatar Hayden ChristensenÂge 18 ansParticularitĂ© TĂ©lĂ©portationSujet Re Voler une banque Mer 15 AoĂ» - 2111 Le visage d'AnaĂŻs se referma si vite qu'il n'eut pas le temps de le voir venir. Lui qui blaguait Ă  moitiĂ© se trouvait bien. Elle abandonna son matĂ©riel et se mit au lit aussitĂŽt. A cause d'une phrase Ă  moitiĂ© sĂ©rieuse, elle allait lui faire la gueule ? Ils venaient juste de passer un bon moment, il y a deux minutes elle riait comme une gosse parce qu'elle lui avait coloriĂ© le corps et que ça ne partait pas, et tout Ă  coup elle se braquait et lui disait de partir ? Il Ă©tait censĂ© comprendre quoi ? Comment voulait-elle qu'il suive de telles sautes d'humeur ? Il n'avait pas pensĂ© Ă  mal, son projet Ă©tait vouĂ© Ă  l'Ă©chec de toute façon, elle Ă©tait pour l'instant trop fragile pour ça, ça n'avait pas Ă©tĂ© une critique, juste un fait. Pourquoi elle ne pouvait pas aller de l'avant et juste arrĂȘter de vouloir aller trop vite ? Elle allait faire trĂšs vite des progrĂšs mais pour l'instant c'Ă©tait comme ça. DĂ©cidĂ©ment, elle prenait trĂšs mal le fait d'ĂȘtre dĂ©pendante Ă  qui que ce soit. "AnaĂŻs..." commença-t-il. Il voulut poser une main sur son Ă©paule, mais sa main Ă©tait pleine de peinture. Il la laissa retomber, ne sachant pas trop comment rĂ©parer sa bĂ©vue qui n'en Ă©tait pas vraiment une. Si elle avait pu, elle lui aurait certainement tournĂ© le dos. "Je pensais pas Ă  mal." Je savais pas que tu le prendrais si Elle est mon plus grand pĂ©chĂ©, et j'irai avec joie en enfer pour elle. » AnaĂŻs YoungAdministratrice ★Messages 1357Date d'inscription 02/01/2015Feuille de personnageAvatar Emma LouiseÂge 16 ansParticularitĂ© MaĂźtrise de la glaceSujet Re Voler une banque Mer 15 AoĂ» - 2124 "Je pensais pas Ă  mal" la belle affaire. Il n'avait pas pensĂ© Ă  mal, qu'est-ce que j'Ă©tais avancĂ© avec ça. Toujours coincĂ©e dans mon lit, avec lui me rĂ©pĂ©tant que mĂȘme prendre une douche je n'Ă©tais plus apte Ă  le faire. Qu'est-ce que ça m'aidait. Pour toute rĂ©ponse, je haussai les Ă©paules. Dans tous les cas le mal Ă©tait fait. Je haĂŻs ce corps incapable et me mordis l'ongle de l'annulaire de ma main propre. Je me lĂšverai quand il serait parti pour me laver la main salie de peinture Ă  l'huile. Je m'en fichais, je me lĂšverai et ferai la route jusqu'Ă  la salle de bain, mĂȘme si je devais avoir mal ou tomber, ce n'Ă©tait pas nĂ©gociable et mon corps n'y Ă©chapperait n'avais toujours pas rĂ©pondu Ă  la tentative dĂ©sespĂ©rĂ©e de William de se faire pardonner, et je n'avais pas envie d'y rĂ©pondre fallait dire. J'Ă©tais trop rancuniĂšre pour ça, et trop rĂ©aliste vis-Ă -vis de mes conditions actuelles pour accepter de tels mots, mais je saluai l'effort, la tentative et l'espoir. C'Ă©tait du beau jeu, mais hĂ©las, pas suffisant pour rattraper sa bĂ©vue. Tant pis, il allait devoir attendre que je digĂšre ça, il n'y avait plus rien Ă  faire pour le moment, exceptĂ© partir et me laisser Laisse tomber. Va te ne le regardais toujours pas, le regard visĂ© Les clubs du soir, avec Chaty William O'LearyPrince des Vagabonds ♛Messages 1202Date d'inscription 03/01/2015Feuille de personnageAvatar Hayden ChristensenÂge 18 ansParticularitĂ© TĂ©lĂ©portationSujet Re Voler une banque Mer 15 AoĂ» - 2136 AnaĂŻs ne dĂ©colĂ©rait pas. La patience de William s'effilochait Ă  vitesse grand v. Il avait essayĂ© de lui faire plaisir, ce qui avait bien marchĂ© jusqu'Ă  ce qu'elle se braque Ă  cause d'une phrase Ă  la con, qui en plus Ă©tait vraie ! Elle abusait clairement, elle lui en mettait partout et elle lui disait de dĂ©gager aussi vite, une fois son petit numĂ©ro terminĂ©. Qui s'Ă©tait vraiment fait avoir, dans l'histoire, hein ? William sentit la moutarde lui monter au nez. Il n'avait pas envie de lui faire une scĂšne, inutile de perdre son temps, elle Ă©tait vexĂ©e et n'en dĂ©mordrait pas. Sa fiertĂ© Ă  la con, il en avait par-dessus la tĂȘte. TrĂšs bien, puisqu'elle Ă©tait dĂ©cidĂ©e, inutile de traĂźner ici. Il se dĂ©brouillerait bien tout seul, pas comme certains. BlessĂ© par son rejet, il ramassa son tee-shirt d'un geste rageur. Il lui laissait sa peinture, elle aimait tellement jouer avec, il n'avait pas le cƓur de les sĂ©parer. "TrĂšs bien. Fais-moi signe quand t'as encore envie de t'amuser. Oh, et puis dis bien bonjour Ă  Thomas, Ă  lui tu lui parleras, ajouta-t-il, sarcastique, avant d'ouvrir puis de claquer la porte derriĂšre lui. Putain ! C'est pas possible d'avoir une fiertĂ© Ă  la con comme ça," grinça-t-il pour lui-mĂȘme en remontant le couloir Il croisa seulement une infirmiĂšre sur son chemin, qui le regarda passer d'un drĂŽle d'air. "Un problĂšme ?" demanda-t-il, lĂ©gĂšrement agressif. Non ? Bah trĂšs bien, alors l'ouvre pas. Il regagna le Chalet silencieux, encore tout peinturlurĂ©. Le pire, c'est qu'il ne savait pas comment l' Elle est mon plus grand pĂ©chĂ©, et j'irai avec joie en enfer pour elle. » AnaĂŻs YoungAdministratrice ★Messages 1357Date d'inscription 02/01/2015Feuille de personnageAvatar Emma LouiseÂge 16 ansParticularitĂ© MaĂźtrise de la glaceSujet Re Voler une banque Mer 15 AoĂ» - 2254 William claqua la porte en portant. J'eus l'impression que les murs en tremblĂšrent et je ne sus plus quoi faire. Je n'avais pas l'heure, pas d'infirmiĂšre, je ne pouvais pas me dĂ©fouler, je je. Rien. Il n'y avait rien Ă  faire. J'avais blessĂ© William, il Ă©tait parti en m'en voulant, j'Ă©tais risible, pitoyable. Je n'avais pas la force pour lui courir aprĂšs, physiquement et mentalement. J'Ă©tais maintenant toute seule, dans la chambre, toute seule avec moi-mĂȘme et mon corps cassĂ©, sans avoir rien d'autre Ă  faire que penser, Ă  moi, Ă  William, aux estres, aux creux, Ă  la maison de Miss Tit qui ne m'Ă©tait pas venu Ă  l'esprit depuis trĂšs longtemps, Ă  la vie de William si j'Ă©tais morte, Ă  ma mort si j'Ă©tais que je bouge, dĂ©finitivement, que je fasse autre chose que penser en gelant la couche supĂ©rieure de mes draps je devais je devais. Marcher. Exactement. J'allais marcher, me mettre debout, tant pis si je tombai, tant pis tant pis. Je retirai le draps de mes jambes, posai mes pieds au sol. J'Ă©tais tombĂ©e hier, je retomberai aujourd'hui. Tant pis tant pis. Je me retins Ă  la table de chevet, le pinceau tomba et je n'y fis aucunement attention. Je me redressai, droite, entiĂšrement droite, et sentis mes jambes flancher, trembler, mon bassin grincer de mĂ©contentement, mon dos m'ordonner de me rallonger. Je ne les Ă©coutai pas, obstinĂ©e Ă  rester debout, Ă  marcher. Mais c'Ă©tait comme si mon dos ne voulait pas ĂȘtre assez souple pour me permettre de faire un pas. Je mis mĂ©caniquement un pas devant un autre, rigide et incapable de faire un quelconque geste souple. C'Ă©tait discordant, brut, hĂ©sitant. Et mon dos me fit souffrir. Je serrai les dents. Tant pis tant pis. J'avançai, une Ă©paule collĂ©e au mur, la tĂȘte baissĂ©e, jusqu'Ă  la petite salle de bain Ă  cĂŽtĂ©. J'allais y arriver, difficilement, douloureusement, forçant sur tout mon corps pour qu'il tienne debout jusqu'Ă  la fin du trajet, quand une infirmiĂšre entra avec mon plateau. Surprise de me voir debout, elle m'ordonne presque immĂ©diatement de retourner dans mon lit, me disant que j'allais juste me faire encore plus de mal. Sauf que j'Ă©tais incapable de refaire ce que je venais de faire une seconde fois, alors je me laissai glisser le long du mur. L'infirmiĂšre m'aida Ă  me relever et Ă  marcher jusqu'Ă  mon lit, me fit manger, et m'annonça que Thomas allait revenir dans deux heures. Alors je dormis, pour passer l'ennuie et la torture de n'ĂȘtre qu'avec moi-mĂȘme. Quand il entra, je divaguai un peu dans de sombres pensĂ©es, les yeux dans le vague. Heureusement il m'en sortit rapidement, et recommença les massages pour chauffer mes muscles et les rendre moins rigides. Il me laissa le temps de remettre mon soutienn-gorge et mon t-shirt puis dĂ©clara que j'allais marcher. Je lui rĂ©pondis alors que ça c'Ă©tait plutĂŽt mal passĂ© tout Ă  l'heure et il rit en me rĂ©pondant qu'une infirmiĂšre l'avait dĂ©jĂ  mis au courant et qu'il trouvait que c'Ă©tait dĂ©jĂ  un bon dĂ©but malgrĂ© tout. Il me tendit son bras, je n'eus pas trop le choix, et une fois Ă  l'autre bout de la piĂšce, il me dit de retourner Ă  mon lit toute seule sans me tenir Ă  rien. Je lui jetai un regard style "la bonne blague, allez tenez moi" chose qu'il ne fit pas, et bien Ă©videmment, je me ramassai presque sur la route, Thomas me retenant de justesse. Mon dos et mon bassin Ă©taient du mĂȘme avis que moi, je devais rester assise ou alors que quelqu'un me tienne. Et il recommença, encore et encore. Mes genoux mes coudes mes jambes le haut de mon dos ; tout mon corps me disait que c'Ă©tait suffisant pour aujourd'hui et que j'Ă©tais fatiguĂ©e. A dix huit heures, il me dit qu'il me laissait pour aujourd'hui, que de toute façon quelqu'un m'attendait depuis presque trente minutes. Quelqu'un ? Je passai mon regard sur la piĂšce et trouvai William dans un coin. Je ne l'avais pas vu, effectivement. Je pinçai les lĂšvres, remis mes pieds dans le lit et dis au revoir Ă  Thomas, qui s'Ă©clipsa n'avais pas la force de faire face Ă  William ou au silence pesant qui s'Ă©tait dĂ©jĂ  installĂ©. Je ne lui en voulais plus, j'Ă©tais juste trop fatiguĂ©e pour supporter si lui m'en voulait encore. Et puis j'avais mal partout Ă  cause de Thomas. Je me mis sur le cĂŽtĂ©, dos Ă  lui dans son coin, un bras sous la tĂȘte, les yeux clos. Et je Les clubs du soir, avec Chaty William O'LearyPrince des Vagabonds ♛Messages 1202Date d'inscription 03/01/2015Feuille de personnageAvatar Hayden ChristensenÂge 18 ansParticularitĂ© TĂ©lĂ©portationSujet Re Voler une banque Mer 15 AoĂ» - 2328 William avait soupirĂ© quand Orion l'avait fui Ă  cause de l'odeur particuliĂšre de la peinture Ă  l'huile. Il avait enlevĂ© chaussures, chaussettes, pantalon et caleçon dans la salle de bains et s'Ă©tait glissĂ© sous l'eau. Évidemment, mĂȘme sous l'eau rien n'Ă©tait parti. A peine avait-il pu enlever un morceau de peinture collĂ© Ă  son poignet avec les ongles. tout avait sĂ©chĂ©, il Ă©tait dans la merde. Il ressortit de la douche, ne se regarda mĂȘme pas dans le miroir avant de chercher ce qui pourrait l'aider. Il mit une serviette autour de sa taille et entreprit de fouiller la salle de bains. Il n'avait aucune idĂ©e de ce qui pouvait enlever de la peinture Ă  l'huile. Dans le placard de l'entrĂ©e, il finit par trouver une brosse, peut-ĂȘtre rĂ©servĂ©e aux chaussures Ă  l'origine, mais qui de toute Ă©vidence n'avait jamais servi, et frotta une fois revenu sous la douche. Il avait la peau rouge et se rendit compte qu'il frottait trop fort quand la peau se dĂ©chira, laissant apparaĂźtre un peu de sang. Il respira aussi profondĂ©ment que possible pour ne pas cĂ©der au dĂ©couragement. Il en avait marre putain, marre de cette journĂ©e qui avait pourtant trĂšs bien commencĂ©. Il prit son mal en patience et finit par enlever un peu prĂšs tout, en finissant par les joues. Sa peau le tirait. En plus, il avait laissĂ© l'eau chaude couler si longtemps Ă  faible dĂ©bit sur son dos que la salle de bains Ă©tait envahie de buĂ©e. Il l'Ă©teignit. La salle de bains lui parut sombre, froide, impersonnelle. Les morceaux de peinture constellaient le sol de la douche et il ralluma le jet, le rĂ©glant sur un coup de tĂȘte sur le plus froid possible. L'eau glaciale lui fit l'effet d'une gifle qui affuta son esprit. Il pouvait comprendre ce que AnaĂŻs ressentait. Mais elle allait devoir se mettre dans la tĂȘte qu'elle devait non seulement accepter l'aide des autres mais aussi accepter qu'elle en ait besoin. C'Ă©tait pas sorcier pourtant ! Mais non, cette tĂȘte de mule se mettait au fond du trou toute seule. C'Ă©tait crĂ©tin. Sa peau lui faisait mal. AprĂšs avoir mis un tee-shirt et surtout constatĂ© que les frottements du tissu ne lui faisaient pas que du bien, il dĂ©cida de l'enlever et d'aller nager dans le lac. Orion l'accompagna jusqu'Ă  la berge, lui se perdit dans l'eau sombre, nagea jusqu'Ă  n'en plus pouvoir et fit la planche pour reprendre son souffle. Vu d'ici, le ciel clair Ă©tait immense. Seuls quelques petits nuages se risquaient Ă  le dĂ©fier. William resta un temps indĂ©finissable dans l'eau, ressortit et se sĂ©cha. L'eau assĂ©chait encore sa peau qui avait morflĂ©, il fallait qu'il trouve de la crĂšme ou je ne sais quoi dans les prochaines heures pour que ça Ă©vite d'empirer. Heureusement qu'elle n'avait pas mis de peinture dans son dos. Il se posa sur un rocher pour sĂ©cher au soleil, et alla se rincer en dix secondes avant de se rhabiller avec un tee-shirt lĂ©ger. ça allait faire l'affaire. Il mangea sommairement et repartit dans la forĂȘt, Orion sur les talons. Il revint vers 17h. La fatigue commençait Ă  se faire sentir. A cause de son cauchemar de cette nuit qui avait abrĂ©gĂ© sa nuit ? Peut-ĂȘtre. Il somnola sur le canapĂ© puis finit par se rendre Ă  l'Ă©vidence il fallait qu'il aille voir AnaĂŻs. Il Ă©tait toujours remontĂ© contre la rĂ©action qu'elle avait eu. Il donna Ă  manger Ă  Orion, puis revint Ă  l'Institut. Il se tĂ©lĂ©porta directement dans la chambre sans prendre le temps de frapper avant d'entrer. Thomas Ă©tait encore sur place et poussait AnaĂŻs dans ses retranchements tout en l'empĂȘchant d'aller trop loin. C'Ă©tait son rĂŽle, aprĂšs tout. Il savait ce qu'il faisait, normalement. AnaĂŻs ne parut pas se rendre compte de sa prĂ©sence, concentrĂ©e sur ce qu'on lui demandait... Ou alors elle le cachait bien. Quand Thomas partit, elle lui tourna le dos, encore. Peu importait. William n'Ă©tait plus vraiment en colĂšre, mĂȘme si pour le coup ce n'Ă©tait pas lui qui Ă©tait en tort. Il devait juste clarifier les choses. Et rapidement, elle devait ĂȘtre Ă©puisĂ©e aprĂšs ses efforts. "Il va falloir que tu te fasses Ă  l'idĂ©e que t'as besoin des autres, pour le moment. ça aurait Ă©tĂ© le cas de tout le monde dans ton cas. Je comprends pas pourquoi t'en as honte," Ă©nonça-t-il d'une voix Ă©gale sans bouger de son Elle est mon plus grand pĂ©chĂ©, et j'irai avec joie en enfer pour elle. » AnaĂŻs YoungAdministratrice ★Messages 1357Date d'inscription 02/01/2015Feuille de personnageAvatar Emma LouiseÂge 16 ansParticularitĂ© MaĂźtrise de la glaceSujet Re Voler une banque Mer 15 AoĂ» - 2353 William n'approcha pas, il parla juste. Il paraissait calme, au contraire de quand il Ă©tait sorti tout Ă  l'heure. Je n'ouvris pas immĂ©diatement les yeux, pensive. Il ne mettait en rĂ©alitĂ© le doigt que sur une seule partie du problĂšme je ne voulais pas dĂ©pendre de qui que ce soit parce que j'avais un corps et j'Ă©tais supposĂ©e savoir m'en servir. Je ne voulais pas dĂ©pendre de qui que ce soit parce que je ne voulais pas dĂ©ranger Ă  demander Ă  aller aux toilettes toutes les heures, ils avaient trĂšs certainement bien mieux Ă  faire que moi. Je ne voulais pas dĂ©ranger qui que ce soit. Je ne voulais pas dĂ©pendre de qui que ce soit parce que j'avais besoin d'ĂȘtre indĂ©pendante. Non pas par fiertĂ©, mais simplement pour ne pas dĂ©ranger, parce que j'avais besoin d'ĂȘtre active, de servir Ă  quelque chose, pas d'ĂȘtre un poids lourd et inutile Ă  porter, qui ne savait rien faire de ses dix doigts. J'avais besoin d'ĂȘtre utile et de me dĂ©brouiller par mes propres moyens, pas de forcer ma timiditĂ© Ă  demander aux autres de faire des choses pour moi, ce qui me mettait gĂ©nĂ©ralement particuliĂšrement mal Ă  l'aise. Je me mordis la Je ne veux pas prendre du temps Ă  des personnes qui ont bien mieux Ă  faire que de s'occuper de moi, c'est tout. Je ne veux pas dĂ©ranger, parce que... je suis trop timide pour demander de l'aide, ça me met mal Ă  l'aise de recevoir l'attention que les infirmiĂšres me donnent, et je ne veux pas de ça. Ce n'est pas de la fiertĂ© William, je prĂ©fĂšre juste faire le moins de bruit possible et me dĂ©brouiller par moi-mĂȘme sans demander de l'aide, sans dĂ©ranger avouai-je en ayant conscience que je me rĂ©pĂ©tais, mais je peinais Ă  m' dĂ©glutis et me remordis l'annuaire, mon autre main Ă©tant toujours dĂ©corĂ©e par la peinture. J'avais dĂ©sespĂ©rĂ©ment envie de changer de sujet, ne me sentant pas du tout Ă  ma place. - C'est possible de changer de sujet maintenant ..? proposai-je d'une voix peu Les clubs du soir, avec Chaty Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Voler une banque Voler une banque Page 5 sur 9Aller Ă  la page 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumPECULIAR WORLD Autres boucles
Le31 octobre 2016 à 07h00. Payé à la seconde, tu vis à la seconde. » Ce leimotiv des braqueurs de banques, Mohamed Dja-daouadji, originaire de

Qu’est ce qu’une arme a feu ?Les armes Ă  feu sont des mĂ©canismes qui reposent sur leur capacitĂ© Ă  exploiter l’énergie d’une explosion. La finalitĂ© d’une arme Ă  feu est d’expulser un projectile du mĂ©canisme avec des caractĂ©ristiques physiques prĂ©cises telles que la vitesse, la portĂ©e ou l’équilibre gyroscopique. Le mĂ©canisme s’appuie sur quelques piĂšces nĂ©cessaires Ă  son bon fonctionnement schema armes MĂ©canisme de fonctionnement d'une arme Ă  feu - la queue de dĂ©tente, actionnĂ©e mĂ©caniquement par le doigt du tireur ; - la gĂąchette qui va libĂ©rer le percuteur ; - le percuteur, piĂšce mĂ©tallique qui peut ĂȘtre mise en mouvement par un ressort ou une masse percutante, et dont la pointe vient frapper l’amorce de la munition Ă  l’entrĂ©e de la chambre afin d’enflammer la poudre et de faire partir le projectile ; - le canon, tube qui va permettre de guider le projectile jusqu’à la sortie de l’arme et lui donner des caractĂ©ristiques physiques pour son vol libre. Les diffĂ©rents types d’armeBien qu’il existe une quantitĂ© importante de types d’arme ou de mĂ©canismes plus ou moins artisanaux, il est possible de classer les armes selon plusieurs grandes familles classification armes Ă  feu Classification schĂ©matique des armes Ă  feuLes armes de poingUne arme de poing est une arme qui, par dĂ©finition, n’est pas destinĂ©e Ă  ĂȘtre Ă©paulĂ©e et peut donc ĂȘtre utilisĂ©e d’une seule main grĂące Ă  sa taille rĂ©duite et son faible poids. Elle a la particularitĂ© d’ĂȘtre trĂšs facilement dissimulable. Plusieurs sous catĂ©gories existent les revolvers, les pistolets Ă  un coup, automatiques et pistolets regroupent l’ensemble des armes de poing sans barillet. Ils peuvent ĂȘtre Ă  un seul coup pour le tir sportif mais peuvent en gĂ©nĂ©ral tirer plusieurs coups Ă  la suite jusqu’à 33 cartouches. Ils sont appelĂ©s semi-automatiques lorsqu’une nouvelle course du doigt sur la dĂ©tente est nĂ©cessaire pour faire partir un nouveau coup. Si l’on peut tirer en rafale », c’est-Ă -dire que la simple stabilisation en fin de course de la queue de dĂ©tente permet de faire partir un nouveau projectile, le pistolet est dit automatique. L’approvisionnement de ces cartouches s’effectue par un chargeur ou un magasin placĂ© dans la poignĂ©e de l’arme. Les cartouches sont disposĂ©es l’une au dessus de l’autre dans le chargeur et montent en chambre par l’action d’un ressort au fond du chargeur. schĂ©ma revolver Parties principales d'un revolverLa majoritĂ© de ces armes fonctionne selon deux modes la double et la simple action. La double action correspond au fonctionnement permettant au marteau plus communĂ©ment appelĂ© chien d’ĂȘtre armĂ© puis relĂąchĂ© en effectuant un cycle complet d’armement grĂące Ă  l’action du doigt sur la queue de dĂ©tente. En revanche, la simple action consiste Ă  armer au prĂ©alable le marteau, manuellement ou par un mouvement de culasse, avant de dĂ©clencher le tir. La course de la queue de dĂ©tente est alors beaucoup plus courte par rapport Ă  la double action. La simple action permet au tireur d’exercer une force de pression plus faible pour dĂ©clencher le tir, rendant son tir plus culasse est une piĂšce indispensable pour toutes les armes semi-automatiques ou automatiques. Cette piĂšce est mobile et comporte en gĂ©nĂ©ral le systĂšme de percussion et le systĂšme d’extraction. Lorsque le percuteur frappe l’amorce, la culasse est fermĂ©e et rĂ©alise l’étanchĂ©itĂ© entre la chambre et l’extĂ©rieur. Lorsque le projectile sort du canon, sous l’effet des gaz, la culasse recule, accroche l’étui grĂące Ă  la griffe de l’extracteur, puis libĂšre une fenĂȘtre d’éjection vers l’extĂ©rieur expulsant l’étui aprĂšs qu’il ait heurtĂ© l’éjecteur. En fin de course, la culasse rĂ©arme le dispositif de percussion. La culasse est enfin rappelĂ©e par un ressort rĂ©cupĂ©rateur et chambre une nouvelle fabricants d’armes doivent donc calculer avec justesse le dimensionnement des parties mĂ©caniques et la pression des gaz rĂ©siduels afin que la culasse ait assez d’énergie pour faire un cycle complet d’extraction/armement/chambrage sans dĂ©tĂ©riorer le mĂ©canisme. Pour les munitions de calibres puissants, les concepteurs ont inventĂ© le systĂšme de culasse verrouillĂ©e permettant de retarder l’ouverture de la culasse. Ce mĂ©canisme permet de transmettre un maximum de vitesse au projectile durant sa course dans le canon avant que la culasse ne puisse s’ouvrir. Cette ouverture a lieu lorsque la pression des gaz diminue et provoque un lĂ©ger recul du canon par armes d'Ă©paule Les armes dites d’épaule regroupent toutes les armes qui peuvent ĂȘtre Ă©paulĂ©es lors du tir, comme les fusils de chasse ou les fusils d’ grandes catĂ©gories existent les armes d’épaule Ă  canon lisse et les armes d’épaule Ă  canon armes d’épaule Ă  canon lisse sont de trois types - des fusils de chasse pouvant avoir deux canons de mĂȘme calibre, superposĂ©s ou juxtaposĂ©s et dont le chargement de cartouches se fait en basculant les canons ; - des fusils Ă  pompe possĂ©dant une rĂ©serve de munitions dans un magasin tubulaire et se rechargeant en actionnant une pompe sous le canon de l’avant vers l’arriĂšre ; - des fusils au fonctionnement semi-automatique et possĂ©dant Ă©galement un existe Ă©galement des fusils de chasse possĂ©dant trois ou quatre canons ou des fusils de chasse dits mixtes » qui ont Ă  la fois des canons rayĂ©s et des canons canon rayĂ©, quant Ă  lui, a Ă©tĂ© conçu pour imprimer au projectile une rotation qui lui permet d’acquĂ©rir une stabilitĂ© gyroscopique durant son vol et de gagner en prĂ©cision et portĂ©e. En effet, Ă  l’image d’un ballon de basket tournant autour d’un doigt qui est plus stable qu’un ballon immobile sur ce doigt, le projectile ayant un effet gyroscopique est beaucoup moins sensible aux Ă©lĂ©ments extĂ©rieurs pluie, vent, diffĂ©rence de milieu
 pouvant modifier sa trajectoire. Les rayures sont rĂ©alisĂ©es lors de la fabrication du canon et parcourent toute la longueur du canon en son intĂ©rieur, en tournant autour de l'axe du de mise en rotation de la balle par les rayures du canon Les canons rayĂ©s sont visibles sur de nombreux fusils comme les armes de chasse, de sport ou les armes de guerre. L’éjection d’un Ă©tui et le chargement d’une nouvelle cartouche se font manuellement en actionnant une poignĂ©e sur le cĂŽtĂ© de l’arme par un mouvement d’aller-retour de l’avant vers l’arriĂšre. Le systĂšme le plus rĂ©pandu est le systĂšme de culasse Ă  verrou comme sur le Mauser de 1898. NĂ©anmoins, il existe d’autres systĂšmes comme celui du levier de sous-garde fonctionnant en abaissant et remontant le pontet d’avant en arriĂšre mĂ©canisme des carabines Winchester.Les fusils semi-automatiques ou automatiques sont des armes d’épaule permettant de tirer plusieurs coups Ă  la suite sans nĂ©cessairement recharger manuellement l’arme. Certains ont un sĂ©lecteur de tir permettant de tirer au coup par coup ou en principe de fonctionnement des armes automatiques dites Ă  culasse non calĂ©e ouverte » repose sur un cycle simple rendant l’arme robuste et peu coĂ»teuse Ă  fabriquer. Lors de la mise Ă  feu, le tireur actionne la queue de dĂ©tente libĂ©rant le bloc culasse entraĂźnĂ© par le ressort rĂ©cupĂ©rateur. Celui-ci prĂ©lĂšve une munition dans le chargeur et plaque le culot de la munition pendant que le percuteur vient frapper l’amorce de la munition. La poudre enflammĂ©e s’expand et les gaz créés propulsent le projectile le long du rĂ©armement du mĂ©canisme se fait via la poussĂ©e des gaz vers l’arriĂšre de l’arme due Ă  la combustion. Cette poussĂ© implique le recul du bloc de culasse, un peu aprĂšs le dĂ©part du projectile. Ce lĂ©ger retard permet de conserver le canon le plus Ă©tanche possible de maniĂšre Ă  ce que les gaz de la combustion accĂ©lĂšrent le projectile le plus longtemps possible. Le retard est provoquĂ© par l’importante masse du bloc culasse et par la raideur du ressort retour du bloc culasse est finalement stoppĂ© par le ressort rĂ©cupĂ©rateur et renvoyĂ© vers l’avant pour placer une nouvelle munition dans la chambre, plaquer le culot de la munition contre la tĂȘte de culasse et frapper l’amorce par le percuteur. Un nouveau cycle est engagĂ©, le tir se fait automatiquement, il suffit de maintenir pressĂ©e la queue de mitraillette britannique Sten MK II, utilisĂ©e pendant la seconde guerre mondiale, est l’exemple parfait de ce mĂ©canisme. Pistolet mitrailleur britannique Sten MK IILe principe de fonctionnement des armes automatiques dites Ă  culasse calĂ©e » intĂšgre le fait d’avoir un dispositif de verrouillage de la culasse. La principale innovation par rapport au fonctionnement d’une arme Ă  culasse non-calĂ©e est que le dispositif de verrouillage de la culasse va permettre de retarder davantage le recul du bloc culasse aprĂšs le dĂ©part du projectile. Ce procĂ©dĂ© va permettre d’augmenter la puissance de la munition sans pour autant alourdir le bloc Gallusser A. Expertise des armes et des Ă©lĂ©ments de munitions dans l'investigation criminelle Traces d'armes Ă  feu. Sciences Forensiques, 2e Connaissance des armes Ă  feu lĂ©gĂšres et de leurs munitions fiche 4701 du centre de documentation et de pĂ©dagogie du commandement des Écoles de la Gendarmerie Nationale

Lasalle de confĂ©rence du ministĂšre de l’économie et des finances . CoopĂ©ration entre le Mali et la Banque mondiale : Signature des accords de financements Ă  hauteur de 98 milliards de FCFA
Je suis reporter de l'extrĂȘme , et ce soir nous avons des images exceptionnelles et extrĂȘmement rare , nous allons suivre une figure du grand banditisme dans un braquage d'une des banques les plus sĂ©curisĂ© du pays. Nous sommes en camĂ©ra cachĂ© et nous allons suivre Rachid dans son braquage , afin de mieux comprendre comment les braqueurs opĂšrent. Rachid est devant la banque et se prĂ©pare Ă  entrer en action , je le suit. Rachid me demande si je suis prĂȘt , il enfile sa cagoule , je fais de mĂȘme. Rachid a enfiler sa cagoule mais avant d'y aller il veut me rassurer. Il me rassure de notre sĂ©curitĂ© car il est lourdement armĂ©. Nous entrons en action , et il ordonne Ă  cette femme d'ouvrir le coffre et de nous donnĂ© du fric , elle obĂ©it sans hĂ©siter mais des tĂ©moins ont vite appeller la police , une fusillade s'engage mais malheureusement pour Rachid au bout de 4 minutes il est Ă  court de munitions , il ne peut plus rien faire contre la police et nous avons pas pu fuire car la banque est ultra sĂ©curisĂ© et le seul Ă©chappatoire est la porte d'entrĂ©e j'ai rĂ©ussi Ă  m'en sortir en explicant tout Ă  la police sur mon statut de reporter de l'extrĂȘme , je suis libĂ©rĂ© dans les heures qui suivent , mais cela ne sera pas pareil pour rachid , qui est directement mis en prison , face Ă  la camĂ©ra il clame son innocence et crie au complot. Les Ă©motions prennent le dessus et Rachid se met Ă  pleurer. C'est dur Tout Ă  coup Rachid arrĂȘte de pleurer et voit au loin une personne appartenant Ă  une certaine communautĂ© Il l'accuse tout de suite comme quoi c'est le coupable et que lui est innocent. Moshe s'offusque , il rappelle Ă  Rachid les 6 millions et ainsi que les heures les plus sur cela que ce reportage se termine , un prochain numĂ©ro des reportages de l'extrĂȘme la semaine prochaine , a trĂšs vite ! Message Ă©ditĂ© le 27 juin 2015 Ă  204703 par gorilleTimide
Chersfans de CodyCross Mots CroisĂ©s bienvenue sur notre site SolutionCodyCross.net. Vous trouverez la rĂ©ponse Ă  la question Action de voler une banque Ă  main armĂ©e . Cliquez sur le niveau requis dans la liste de cette page et nous n’ouvrirons ici que les rĂ©ponses correctes Ă  CodyCross Labo de recherche. TĂ©lĂ©chargez ce jeu sur votre smartphone et faites exploser Le 29/04/2013 Ă  1055 MAJ le 01/08/2013 Ă  1141Soldats français de retour du Mali - -Ce lundi 29 avril, le chef de l'Etat reçoit le nouveau Livre blanc qui servira Ă  fixer les prioritĂ©s de la France en matiĂšre de sĂ©curitĂ© Ă  l'horizon 2020. L'occasion de faire le point sur les moyens militaires actuels dont dispose la France mais qui pourraient bien ĂȘtre nouveau "Livre blanc" remis ce lundi au chef de l'Etat, qui est aussi chef des armĂ©es, servira de base Ă  l'Ă©laboration de la prochaine loi de programmation militaire 2014-2019 qui doit ĂȘtre dĂ©battue avant l'Ă©tĂ© au document sera mis en ligne lundi par la prĂ©sidence, mais le chef de l'Etat ne devrait pas s'exprimer dans l'immĂ©diat sur le sujet. C'est le ministre de la DĂ©fense, Jean-Yves Le Drian, qui prĂ©sentera les grandes orientations aux armĂ©es. Il existe en France "deux contraines de souverainetĂ©" que le pays "tienne son rang" militairement, mais aussi qu’il se dĂ©sendette. Une Ă©quation Ă  laquelle il "n’est pas en mesure" de rĂ©pondre pour l'instant, avait expliquĂ© celui-ci sur BFMTV le 5 de remise en cause des crĂ©dits militaires, avait ensuite annoncĂ© François Hollande lors de son intervention tĂ©lĂ©visĂ©e, le 28 mars, sur France 2. Les crĂ©dits de la dĂ©fense resteront donc Ă  leur niveau actuel, soit 31,4 milliards d'euros par an 1,5% du PIB.Le nouveau Livre blanc ne devrait prĂ©voir aucune remise en cause des grandes orientations de dĂ©fense - maintien de la dissuasion nuclĂ©aire, retour complet de la France dans l'Otan. Mais de nombreux programmes d'armement devraient ĂȘtre rĂ©duits voire tout simplement reportĂ©s Ă  une date au "format des armĂ©es", en clair le nombre de militaires, il devrait ĂȘtre, lui, aussi, revu Ă  la baisse suppressions de poste interviendraient d'ici Ă  2019 en plus des en cours depuis dĂ©tail, les forces et faiblesses de l'ArmĂ©e française> civils et militaires au service de la Ă©taient en 2009 Ă  dĂ©pendre de la DĂ©fense. Sur ce total, seuls soldats sont "projetables" sur un thĂ©atre d'opĂ©ration. L'ArmĂ©e française compte officiers. Elle peut compter sur rĂ©servistes.> L'ArmĂ©e de terre reprĂ©sente 45% des effectifs actifs hommesLes soldats doivent en thĂ©orie effectuer au moins 105 jours de manoeuvre et d'activitĂ© par an. L'ArmĂ©e de terre dispose de 254 chars Leclerc, de 256 chars lĂ©gers, 3520 vĂ©hicules blindĂ©s de l'avant, 297 hĂ©licoptĂšres d'attaque. La disponibilitĂ© des matĂ©riels est de 63% pour un Leclerc, mais de 50% seulement pour un vieux char AMX.> La Marine peut dĂ©ployer marins et 60 bateaux, dont 38 2009, 20 navires ont Ă©tĂ© dĂ©sarmĂ©s. Le porte-avions Charles-de-Gaulle embarque marins et 40 avions dont 12 Rafale. Le nombre de sous-marins nuclĂ©aire d'attaque reste fixĂ© Ă  6 dont 4 seulement opĂ©rationnels. Celui des sous-marins nuclĂ©aires lanceurs d'engins est de 4. L'objectif de 100 jours en mer minimum pour les navires de surface n'est pas respectĂ© pour cause de contraintes budgĂ©taires.> L'ArmĂ©e de l'air aligne aviateurs et peut mettre en ligne 237 avions de chasse, 88 avions de transports et 80 hĂ©licoptĂšres. Les 8 premiers Airbus A400 M devraient ĂȘtre livrĂ©s fin 2014. 35 sont prĂ©vus d'ici Ă  fin 2020. La disponibilitĂ© des matĂ©riels est de 63% pour les avions de chasse. Le coĂ»t de l'heure de vol d'un Rafale s'Ă©lĂšve Ă  euros. Au total, l'ensemble des avions ne peuvent voler que 93 500 heures par an. Les pilotes de chasse ne peuvent s'entraĂźner que 180 heures chacun.

Desuniversités et des banques fonctionnent à Mogadiscio ©Onesphore Nibigira/Iwacu. Mardi, 5décembre 2017- Somalie pays meurtri par des violences. Deux pas en avant, un pas en arriÚre. Un enfant dans une maison dont les murs présente de grands impacts de balles à Mogadiscio ©Onesphore Nibigira/Iwacu . Mardi, 5décembre 2017- Somalie pays

Vol Ă  main armĂ©e Posted on 13 juin 20122 octobre 2018 Ou comment un commerce des armes insuffisamment rĂ©gulĂ© paralyse le dĂ©veloppement Le manque de rĂ©gulation en matiĂšre de commerce international des armes et de munitions affaiblit la capacitĂ© des États Ă  maintenir leurs progrĂšs en matiĂšre de dĂ©veloppement, d'une part en alimentant et en exacerbant les conflits et la violence armĂ©e, et d'autre part en dĂ©tournant des ressources des activitĂ©s destinĂ©es Ă  lutter contre la pauvretĂ©. A quelques semaines des nĂ©gociations sur le TraitĂ© sur le commerces des armes aux Nations unies, Ă  New-York, cette note intitulĂ©e "Vol Ă  main armĂ©e" dĂ©montre qu'un critĂšre spĂ©cifique sur le dĂ©veloppement, dans le cadre du traitĂ© sur le commerce des armes et aux cĂŽtĂ©s d'autres critĂšres sur les droits humains et le droit humanitaire international, est l'une des meilleures solutions pour s'assurer que les ventes d'armes n'ont pas de consĂ©quences nĂ©gatives sur le dĂ©veloppement socio-Ă©conomique. Les dĂ©penses militaires dans les pays fragiles et touchĂ©s par des conflits ont augmentĂ© de 15% entre 2009 et 2010, tandis que l'aide aux pays en dĂ©veloppement APD vers ces mĂȘmes pays n'a progressĂ© que de 9%. Les transferts d'armes irresponsables alimentent la corruption, avec des rĂ©percussions sur le dĂ©veloppement et la redevabilitĂ©. Tous les pays Ă  faible revenu et Ă  revenu intermĂ©diaire faible ayant consacrĂ© plus de 10% de leurs dĂ©penses publiques au secteur militaire en 2009 affichent des indices de corruption mĂ©diocres. En mettant l'accent sur le dĂ©veloppement, le TraitĂ© sur le commerce des armes TCA peut prĂ©venir certaines des principales entraves au dĂ©veloppement, consolider les initiatives rĂ©gionales visant Ă  prĂ©server le dĂ©veloppement et renforcer la capacitĂ© des États Ă  se conformer au traitĂ©. Auteurs du rapport Oxfam p40, atterrissage Banque de Photographies - Fotosearch Enhanced. k0773996 La banque d'images de Fotosearch vous permet de trouver la photo ou la vidĂ©o parfaite en un temps record ! Notre moteur de recherche regroupe en effet 74 600 000 photos libres de droits, vidĂ©os, des clip arts vectorisĂ©s, des fonds graphiques, des illustrations mĂ©dicales et des cartes.
Une agence de la banque Courtois, situĂ©e dans le quartier du Pont des Demoiselles Ă  Toulouse, a fait l'objet jeudi matin d'un vol Ă  main armĂ©e par un individu qui a pris la fuite, a-t-on appris de source malfaiteur, qui a agi seul, a pĂ©nĂ©trĂ© dans l'agence vers 09H00 et s'est fait remettre une somme d'argent dont le montant est "en cours d'Ă©valuation", a-t-on prĂ©cisĂ© de mĂȘme a ensuite quittĂ© les lieux Ă  pied. On ignore si un Ă©ventuel complice l'attendait pour faciliter sa des banques françaises, créée en 1760 par Isaac Courtois, la banque Courtois est une banque privĂ©e implantĂ©e essentiellement dans le sud de la France et dont le siĂšge social se trouve Ă  Toulouse. Depuis 1992, elle fait partie du groupe du CrĂ©dit du Nord.
LeConseil de sécurité de l'ONU adopte à l'unanimité une résolution condamnant et déplorant tous les actes de piraterie et les vols à main
le Ă  12h10, mis Ă  jour le Ă  14h40 Lecture 1 min. Une agence de la banque Courtois, situĂ©e dans le quartier du Pont des Demoiselles Ă  Toulouse, a fait l'objet jeudi matin d'un vol Ă  main armĂ©e par un individu qui a pris la fuite, a-t-on appris de source policiĂšre. c Afp Toulouse AFP - Une agence de la banque Courtois, situĂ©e dans le quartier du Pont des Demoiselles Ă  Toulouse, a fait l'objet jeudi matin d'un vol Ă  main armĂ©e par un individu qui a pris la fuite, a-t-on appris de source policiĂšre. Le malfaiteur, qui a agi seul, a pĂ©nĂ©trĂ© dans l'agence vers 09H00 et s'est fait remettre une somme d'argent dont le montant est "en cours d'Ă©valuation", a-t-on prĂ©cisĂ© de mĂȘme source. L'homme a ensuite quittĂ© les lieux Ă  pied. On ignore si un Ă©ventuel complice l'attendait pour faciliter sa fuite. Doyenne des banques françaises, créée en 1760 par Isaac Courtois, la banque Courtois est une banque privĂ©e implantĂ©e essentiellement dans le sud de la France et dont le siĂšge social se trouve Ă  Toulouse. Depuis 1992, elle fait partie du groupe du CrĂ©dit du Nord. Toulouse Bourse Le 17/08 Ă  10H18 CAC 40 6589,66 -0,04%
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