Retrouvezici nosSources de France 3 Grand Est. France 3 Grand Est met Ă disposition des sources dites "documentables" : Ă©tudes, sondages, rĂ©fĂ©rences de livres, articles de presse (vĂ©rifiĂ©sCINQUIĂME SECTION DĂCISION SUR LA RECEVABILITĂ de la requĂȘte no 39699/03 prĂ©sentĂ©e par UNION FEDERALE DES CONSOMMATEURS QUE CHOISIR DE COTE DâOR contre la France La Cour europĂ©enne des droits de lâhomme cinquiĂšme section, siĂ©geant le 30 juin 2009 en une chambre composĂ©e de Peer Lorenzen, prĂ©sident, Rait Maruste, Karel Jungwiert, Renate Jaeger, Mark Villiger, Mirjana Lazarova Trajkovska, juges, Gilbert Guillaume, juge ad hoc, et de Claudia Westerdiek, greffiĂšre de section, Vu la requĂȘte susmentionnĂ©e introduite le 21 novembre 2003, Vu les observations soumises par le gouvernement dĂ©fendeur et celles prĂ©sentĂ©es en rĂ©ponse par le requĂ©rant, Vu la dĂ©cision de M. Costa, juge Ă©lu au titre de la France de se dĂ©porter article 28 du rĂšglement de la Cour et la dĂ©cision du Gouvernement de dĂ©signer M. G. Guillaume pour siĂ©ger Ă sa place en qualitĂ© de juge ad hoc article 29 § 1 a du rĂšglement, AprĂšs en avoir dĂ©libĂ©rĂ©, rend la dĂ©cision suivante EN FAIT Lâassociation requĂ©rante, lâUnion fĂ©dĂ©rale des Consommateurs Que Choisir de CĂŽte dâOr UFC Que choisir 21, est une personne morale de droit français dont le siĂšge social est Ă Dijon. Elle est reprĂ©sentĂ©e par Me Eric Ruther, avocat Ă Dijon. Le gouvernement français le Gouvernement » est reprĂ©sentĂ© par son agent, MmeEdwige Belliard, Directrice des affaires juridiques au ministĂšre des Affaires Ă©trangĂšres. Lâassociation requĂ©rante a notamment pour objet statutaire dâaider les consommateurs et usagers contribuables Ă exercer leur pouvoir dans lâĂ©conomie en vue dâassurer lâamĂ©lioration de leurs conditions de vie dans tous les domaines, dont lâenvironnement, et de contribuer Ă mettre Ă la disposition des consommateurs et usagers les moyens dâinformation, de diffusion et dâĂ©ducation qui leur sont nĂ©cessaires Ă cet effet, tant dans le domaine des produits que dans celui des services publics ou privĂ©s. Agréée pour la dĂ©fense de lâenvironnement article L. 241-1 du code de lâenvironnement, elle indique que câest Ă ce titre quâelle est intervenue dans le dossier dit du TGV [train Ă grande vitesse] Rhin-RhĂŽne ». Tel quâil est inscrit dans le schĂ©ma directeur national des liaisons ferroviaires Ă grande vitesse approuvĂ© le 1er avril 1992 par dĂ©cret du ministre de lâEquipement, du Logement, des Transports et de lâEspace, ce projet se prĂ©sente comme une Ă©toile Ă trois branches la branche Est, tronc commun aux flux de voyageurs Est-Ouest et Nord-Sud ; la branche Ouest, prolongeant la premiĂšre en ligne nouvelle jusquâĂ la ligne Sud-Est prĂ©existante ; et la branche Sud, en ligne nouvelle jusquâĂ Lyon. Il comprend au total environ 425 km de lignes nouvelles. Le 10 septembre 1992, le ministre de lâEquipement dĂ©cida dâengager les Ă©tudes prĂ©liminaires pour la rĂ©alisation de la ligne nouvelle Ă grande vitesse entre Mulhouse et la Bourgogne, ces Ă©tudes constituant la premiĂšre phase du projet TGV Rhin-RhĂŽne. Le projet progressa ensuite pas Ă pas, jusquâĂ lâouverture de lâenquĂȘte publique le 29 mai 2000. Lâassociation requĂ©rante considĂšre que le projet soumis Ă lâenquĂȘte ne correspondait pas Ă celui qui Ă©tait dĂ©crit dans le schĂ©ma directeur national des liaisons ferroviaires Ă grande vitesse et qui avait fait lâobjet des Ă©tudes conduites prĂ©cĂ©demment lâenquĂȘte publique ne portait que sur la branche Est, laquelle Ă©tait devenue un projet autonome et distinct ». Le 25 janvier 2002, le dĂ©cret dĂ©clarant dâutilitĂ© publique et urgents les acquisitions fonciĂšres et les travaux de construction de la nouvelle liaison ferroviaire ⊠dite branche Est du TGV Rhin-RhĂŽne » fut pris, aprĂšs que le Conseil dâEtat section des travaux publics eut Ă©tĂ© entendu. La requĂ©rante et plusieurs autres associations saisirent le Conseil dâEtat de demandes tendant Ă lâannulation de ce dĂ©cret, invoquant notamment lâinsuffisance de lâenquĂȘte publique et de lâĂ©tude dâimpact au regard des prescriptions lĂ©gislatives et rĂ©glementaires. En janvier 2002, lâassociation requĂ©rante demanda au ministre de lâEquipement de lui adresser une copie de la dĂ©libĂ©ration de la Section des travaux publics du Conseil dâEtat sur le projet de dĂ©cret dâutilitĂ© publique. Cette demande fut rejetĂ©e le 24 janvier 2002, au motif que les avis du Conseil dâEtat ne font pas partie des documents administratifs communicables de plein droit aux personnes qui en font la demande. Lâassociation requĂ©rante saisit la Commission dâaccĂšs aux documents administratifs, qui, le 1er octobre 2003, se dĂ©clara incompĂ©tente pour se prononcer sur cette demande, les avis rendus par le Conseil dâEtat nâĂ©tant pas considĂ©rĂ©s comme des documents administratifs et nâentrant donc pas dans le champ de la loi prĂ©citĂ©e. Lâassociation requĂ©rante sâadressa Ă©galement Ă cette mĂȘme fin et sans plus de succĂšs au centre de coordination et de documentation du Conseil dâEtat. A la demande de la Cour, le Gouvernement a produit une copie de la minute de lâavis, datĂ©e du 8 janvier 2002. Il sâagit du texte du dĂ©cret assorti dâannotations manuscrites indiquant les modifications, en lâoccurrence de forme, prĂ©conisĂ©es par la Section des travaux publics. Le Gouvernement a Ă©galement communiquĂ© un extrait du rapport annuel du Conseil dâEtat pour lâannĂ©e 2002, relatif Ă lâavis de la section des travaux publics sur le dĂ©cret litigieux, qui se lit comme suit ⊠La Section a, en deuxiĂšme lieu, Ă©tĂ© amenĂ©e Ă trancher de dĂ©licates questions de procĂ©dure en cas de rĂ©alisation par Ă©tapes dâun grand projet dâinfrastructure. La jurisprudence reconnaĂźt la facultĂ© de soumettre Ă enquĂȘte publique un Ă©lĂ©ment dâun projet dâensemble si cet Ă©lĂ©ment peut ĂȘtre rĂ©alisĂ© sĂ©parĂ©ment CE 10 novembre 1995 FĂ©dĂ©ration RhĂŽne-Alpes de protection de la nature mais les textes imposent la production au dossier dâenquĂȘte dâune Ă©tude dâimpact dâensemble et une Ă©valuation socio-Ă©conomique globale CE AssemblĂ©e, 23 octobre 1998 Collectif alternative pyrĂ©nĂ©enne Ă lâaxe europĂ©en et autres. Saisie de la dĂ©claration dâutilitĂ© publique des travaux de construction dâune ligne ferroviaire qui composait avec deux autres lignes un vaste rĂ©seau inscrit au schĂ©ma national des liaisons ferroviaires Ă grande vitesse, la Section a estimĂ© que lâopĂ©ration envisagĂ©e formait Ă elle seule un grand projet dâinfrastructure dans la mesure oĂč elle satisfaisait aux objectifs Ă©noncĂ©s dans le schĂ©ma national. DĂšs lors, il nâĂ©tait pas nĂ©cessaire de faire porter lâĂ©tude dâimpact et lâĂ©valuation socio-Ă©conomique sur lâensemble des trois branches ⊠». Par un arrĂȘt du 2 juin 2003, le Conseil dâEtat section du contentieux rejeta les requĂȘtes. Il estima tout dâabord que le document inclus dans le dossier soumis Ă lâenquĂȘte publique et intitulĂ© Ă©valuation socioâĂ©conomique » contenait lâensemble des Ă©lĂ©ments qui, en vertu de lâarticle 4 du dĂ©cret du 17 juillet 1984, devaient obligatoirement figurer dans lâĂ©valuation prĂ©vue par lâarticle 14 de la loi du 30 dĂ©cembre 1982 sur les grands projets dâinfrastructure. Bien que le dĂ©cret de 1984 prĂ©cise que lâĂ©valuation dâun grand projet dâinfrastructures dont la rĂ©alisation est prĂ©vue en plusieurs tranches doit porter sur la totalitĂ© du projet et doit prĂ©cĂ©der la premiĂšre tranche, ses dispositions nâĂ©taient pas applicables en lâespĂšce la branche Est du TGV Rhin-RhĂŽne, dont la rĂ©alisation a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e dâutilitĂ© publique par le dĂ©cret de 2002, pouvait ĂȘtre construite et exploitĂ©e indĂ©pendamment des deux autres branches envisagĂ©es par le schĂ©ma directeur national des liaisons ferroviaires Ă grande vitesse approuvĂ© par dĂ©cret et constituait donc, par elle-mĂȘme, un grand projet dâinfrastructure ayant sa finalitĂ© propre. Le Conseil dâEtat jugea lâĂ©tude dâimpact sur la branche Est du TGV Rhin-RhĂŽne » conforme Ă lâarticle 2 du dĂ©cret du 12 octobre 1977, relatif aux Ă©tudes dâimpact selon que les travaux sont rĂ©alisĂ©s de maniĂšre simultanĂ©e ou de maniĂšre Ă©chelonnĂ©e, tout en relevant que ladite Ă©tude comportait une analyse sommaire des impacts quâaurait sur lâenvironnement la rĂ©alisation Ă©ventuelle des trois branches. Il considĂ©ra en outre que lâĂ©tude dâimpact comportait une analyse prĂ©cise de lâĂ©tat initial de lâenvironnement comme des impacts du projet sur celui-ci ; que la circonstance que ces analyses Ă©taient prĂ©sentĂ©es par section du projet de voie ferroviaire ne pouvait ĂȘtre regardĂ©e comme constituant un obstacle Ă lâinformation du public ; quâil ressortait Ă©galement des piĂšces du dossier que les nuisances sonores liĂ©es au projet avaient fait lâobjet dâune Ă©tude prĂ©cise et que lâĂ©tude dâimpact Ă©nonçait les mesures de protection envisagĂ©es pour rĂ©duire ces nuisances ; quâune Ă©valuation des risques hydrauliques liĂ©s Ă la rĂ©alisation du projet avait Ă©galement Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e et que lâĂ©tude mentionnait des dispositions tendant Ă prĂ©venir ces risques ; enfin, quâil ne ressortait pas de lâexamen de ces documents que certains effets du projet auraient Ă©tĂ© omis ou mentionnĂ©s de maniĂšre incomplĂšte. La formation de jugement Ă©tait composĂ©e de M. Lasserre, PrĂ©sident, MM. P. Martin, Vigouroux, de VulpilliĂšres, Turquet de Beauregard et Tabuteau, et Mme Vestur. GRIEFS 1. Invoquant lâarticle 6 § 1 de la Convention, lâassociation requĂ©rante se plaint de ne pas avoir reçu, dans le cadre de la procĂ©dure devant le Conseil dâEtat, communication du rapport du conseiller rapporteur et du projet dâarrĂȘt. 2. Invoquant lâarticle 6 § 1 de la Convention, la requĂ©rante critique Ă©galement le fait de ne pas avoir obtenu la communication des conclusions du commissaire du gouvernement. Par ailleurs, elle estime que sa cause nâa pas Ă©tĂ© entendue Ă©quitablement par un tribunal indĂ©pendant et impartial. Enfin, lâassociation requĂ©rante fait grief au Conseil dâEtat de ne pas avoir contrĂŽlĂ© la matĂ©rialitĂ© des faits » alors quâil en a la compĂ©tence. Elle lui reproche Ă cet Ă©gard de ne pas avoir jugĂ© irrĂ©guliĂšre la transformation de la premiĂšre phase du projet initial en projet autonome, dâavoir conclu quâil ne sâagissait pas dâune phase » au sens juridique du terme, mais dâun projet ayant sa finalitĂ© propre, dâavoir retenu lâutilitĂ© publique de celui-ci alors quâil ressort du dossier que sa rentabilitĂ© nâest pas avĂ©rĂ©e et que le nombre dâusagers potentiels a Ă©tĂ© surestimĂ©, et de nâavoir pas admis que le jeu avait Ă©tĂ© faussĂ© par la place prĂ©pondĂ©rante de la puissante association des Ă©lus du secteur concernĂ© Trans Europe TGV Rhin-RhĂŽne-MĂ©diterranĂ©e, favorable au projet, au sein du comitĂ© de pilotage » de lâopĂ©ration. Elle lui reproche Ă©galement de ne pas sâĂȘtre prononcĂ© sur la rĂ©gularitĂ© de la mise en place de tels comitĂ©s de pilotage », qui nâaurait pas de base lĂ©gale et viserait Ă court-circuiter les observations du public et des associations pour leur substituer les avis dâĂ©lus favorables au projet. 3. Enfin, elle soutient que, dans lâhypothĂšse oĂč la Cour conclurait Ă la violation de lâarticle 6 § 1 de la Convention, elle devrait en dĂ©duire que les expropriations rĂ©alisĂ©es sur le fondement du dĂ©cret contestĂ© devant le Conseil dâEtat sont illĂ©gales et, en consĂ©quence, mĂ©connaissent le droit au respect des biens au sens de lâarticle 1 du Protocole no 1. EN DROIT 1. Lâassociation requĂ©rante se plaint de lâabsence de communication du rapport du conseiller rapporteur et du projet dâarrĂȘt. Elle invoque lâarticle 6 § 1 de la Convention, aux termes duquel Toute personne a droit Ă ce que sa cause soit entendue Ă©quitablement ⊠par un tribunal indĂ©pendant et impartial, Ă©tabli par la loi, qui dĂ©cidera ⊠des contestations sur ses droits et obligations de caractĂšre civil ⊠». Par un courrier du 26 juin 2009, lâavocat de la requĂ©rante a informĂ© le greffe de la dĂ©cision de celle-ci de se dĂ©sister de son grief tirĂ© de lâabsence de communication du rapport du conseiller rapporteur et du projet dâarrĂȘt, dont le commissaire du gouvernement avait eu connaissance. La Cour constate que la requĂ©rante nâentend plus maintenir cette partie de la requĂȘte, au sens de lâarticle 37 § 1 a de la Convention. Par ailleurs, conformĂ©ment Ă lâarticle 37 § 1 in fine, la Cour estime quâaucune circonstance particuliĂšre touchant au respect des droits garantis par la Convention et ses Protocoles nâexige la poursuite de son examen. Il y a donc lieu de rayer cette partie de la requĂȘte du rĂŽle. 2. La requĂ©rante invoque Ă©galement lâarticle 6 § 1 de la Convention pour se plaindre de la procĂ©dure Ă diffĂ©rentes Ă©gards. La Cour constate dâemblĂ©e que les parties sâopposent sur la question de savoir si les dispositions de lâarticle 6 de la Convention Ă©taient applicables en lâespĂšce. Elle nâestime cependant pas nĂ©cessaire dâexaminer cette question, les griefs tirĂ©s de lâarticle 6 Ă©tant, en tout Ă©tat de cause, irrecevables pour les motifs suivants. a Sur le dĂ©faut de communication des conclusions du commissaire du gouvernement La Cour rappelle quâelle a dĂ©jĂ jugĂ© que le dĂ©faut de communication aux parties, avant lâaudience, des conclusions du commissaire du gouvernement nâemporte pas violation de lâarticle 6 § 1 de la Convention Kress c. France [GC], no 39594/98, §§ 72-76, CEDH 2001-IV. Il sâensuit que cette partie de la requĂȘte, manifestement mal fondĂ©e, doit ĂȘtre dĂ©clarĂ©e irrecevable et rejetĂ©e en application de lâarticle 35 §§ 3 et 4 de la Convention. b Sur la violation allĂ©guĂ©e du droit de la requĂ©rante Ă ce que sa cause soit entendue par un tribunal indĂ©pendant et impartial La requĂ©rante dĂ©nonce le dĂ©faut dâindĂ©pendance du Conseil dâEtat, qui rĂ©sulterait des trois circonstances suivantes le Conseil dâEtat relĂšve du chef du Gouvernement, lequel aurait en consĂ©quence Ă©tĂ© juge et partie, sâagissant de lâexamen dâune requĂȘte tendant Ă lâannulation dâun dĂ©cret ministĂ©riel ; lorsque lâinscription au rĂŽle de lâassemblĂ©e du contentieux est proposĂ©e au vice-prĂ©sident, le premier ministre en est tenu informĂ© ; le Conseil dâEtat Ă©tait co-auteur du dĂ©cret contestĂ© devant lui, puisque ledit dĂ©cret avait Ă©tĂ© pris sur son avis. Elle se plaint aussi de lâabsence dâimpartialitĂ© structurelle de la haute juridiction qui rĂ©sulterait, comme dans lâaffaire Procola c. Luxembourg arrĂȘt du 29 septembre 1995, sĂ©rie A no 326, du fait que le Conseil dâEtat cumule des attributions consultatives et juridictionnelles, ainsi que du principe de la double affectation ». Des membres de la juridiction seraient de la sorte conduits Ă examiner des actes administratifs sur lesquels ils ont prĂ©cĂ©demment rendu un avis ; en lâespĂšce, lâassociation requĂ©rante nâa pu obtenir une copie de lâavis du Conseil dâEtat sur le dĂ©cret litigieux et vĂ©rifier par ce biais si des membres de la sousâsection du contentieux qui ont siĂ©gĂ© en sa cause avaient participĂ© Ă la formation de la section des travaux publics qui lâavait formulĂ©. Cela serait dâautant plus problĂ©matique quâun certain nombre de membres du Conseil dâEtat ne sont pas recrutĂ©s par concours mais au tour extĂ©rieur », câestâĂ âdire nommĂ©s directement par le Gouvernement. Câest ainsi que fut recrutĂ© et quâest devenu membre de la section du conseil dâEtat qui a rendu lâavis litigieux la section des travaux publics le premier prĂ©fet coordinateur du projet de TGV Rhin-RhĂŽne qui, Ă ce titre, avait Ă©tĂ© signataire, le 7 mai 1993, de la convention relative au financement et aux modalitĂ©s gĂ©nĂ©rales dâexĂ©cution des Ă©tudes prĂ©liminaires de la premiĂšre phase du projet ainsi quâorganisateur, en 1993, du dĂ©bat prĂ©alable » prĂ©vu par la circulaire Bianco du 15 dĂ©cembre 1992. Renvoyant notamment aux arrĂȘts Kleyn et autres c. Pays-Bas [GC], du 6 mai 2003 nos 39343/98, 39651/98, 43147/98 et 46664/99, CEDH 2003âVI, et Sacilor-Lormines c. France, du 9 novembre 2006 no 65411/01, CEDH 2006-XIII, le Gouvernement rappelle que le dualisme fonctionnel du Conseil dâEtat ne pose pas en lui-mĂȘme un problĂšme sur le terrain de lâarticle 6 § 1. Il prĂ©cise ensuite quâil ressort des vĂ©rifications opĂ©rĂ©es en lâespĂšce par le Conseil dâEtat quâaucun membre de la formation qui a jugĂ© la cause de lâassociation requĂ©rante nâavait participĂ© Ă la sĂ©ance de la section des travaux publics au cours de laquelle avait Ă©tĂ© examinĂ© le projet de dĂ©cret litigieux. Aucune confusion des rĂŽles ne serait au demeurant possible, les dĂ©ports en sĂ©ance de jugement Ă©tant depuis longtemps systĂ©matiques ; de surcroĂźt, lâarticle 122-21-1 du code de justice administrative introduit dans le code par le dĂ©cret no 2008-225 du 6 mars 2008 relatif Ă lâorganisation et au fonctionnement du Conseil dâEtat dispose dĂ©sormais que les membres du Conseil dâEtat ne peuvent participer au jugement des recours dirigĂ©s contre les actes pris aprĂšs avis du Conseil dâEtat, sâils ont pris part Ă la dĂ©libĂ©ration de cet avis ». A titre subsidiaire, le Gouvernement prĂ©cise que les questions soumises en lâespĂšce aux deux formations ne se recouvraient pas totalement. Enfin, le Gouvernement soutient que le Conseil dâEtat a pour rĂšgle de communiquer les avis lorsque les parties soulĂšvent un moyen tirĂ© de lâirrĂ©gularitĂ© de la consultation du Conseil dâEtat en pratique, la communication est opĂ©rĂ©e par le secrĂ©tariat gĂ©nĂ©ral du gouvernement », qui verse lâavis en question au dossier contentieux. Toutefois, il souligne que ces avis ne mentionnant pas les noms des personnes qui ont participĂ© au dĂ©libĂ©rĂ© de la section administrative, ils ne permettent pas de dĂ©terminer si tel membre dâune formation de jugement a pris part Ă tel avis. Lâassociation requĂ©rante, tirant ses conclusions de ce quâaucun des membres du Conseil dâEtat ayant siĂ©gĂ© dans la formation qui a examinĂ© sa cause nâavait antĂ©rieurement participĂ© Ă la formation qui avait rendu lâavis sur le dĂ©cret litigieux, reconnaĂźt quâil nây a donc pas eu mĂ©connaissance de lâarticle 6 § 1 de ce seul chef. Le fait quâelle ne fut pas en mesure de le vĂ©rifier, Ă dĂ©faut dâavoir pu obtenir une copie de lâavis du Conseil dâEtat, suffirait toutefois Ă caractĂ©riser un manquement Ă cette disposition. En outre, soulignant quâen lâespĂšce les questions soumises Ă ces deux formations peuvent passer pour la mĂȘme affaire », elle rĂ©affirme quâun problĂšme structurel se pose et quâil y a violation de lâarticle 6 § 1 Ă raison du cumul par le Conseil dâEtat de fonctions juridictionnelles et administratives. Aux yeux de la Cour, il sâagit de dĂ©terminer si, dans les circonstances de la cause, le Conseil dâEtat possĂ©dait lâapparence » dâindĂ©pendance requise ou lâimpartialitĂ© objective » voulue, Ă©tant entendu quâil convient dâexaminer ces questions ensemble, les notions dâindĂ©pendance et dâimpartialitĂ© objective Ă©tant Ă©troitement liĂ©es voir, notamment, lâarrĂȘt Sacilor-Lormines prĂ©citĂ©, § 62. La Cour renvoie tout dâabord Ă sa jurisprudence, et plus spĂ©cialement Ă lâarrĂȘt Sacilor-Lormines prĂ©citĂ©, dans lequel elle a soulignĂ© que le fait que le Conseil dâEtat se rapproche organiquement de lâexĂ©cutif ne suffit pas Ă Ă©tablir un manque dâindĂ©pendance ; elle a en outre jugĂ© les modalitĂ©s de nomination et de dĂ©roulement de carriĂšre des membres du Conseil dâEtat compatibles avec les exigences de lâarticle 6 § 1 §§ 65-67. La Cour rappelle Ă©galement, dâune part, quâil ne lui appartient pas de statuer dans lâabstrait sur la question de savoir si les attributions consultatives du Conseil dâEtat sont compatibles avec ses fonctions juridictionnelles et les exigences dâindĂ©pendance et dâimpartialitĂ© quâelles impliquent, et dâautre part, que le principe de la sĂ©paration des pouvoirs nâest pas dĂ©terminant dans lâabstrait ». Il lui revient seulement de dĂ©terminer dans chaque espĂšce si lâavis rendu par la haute juridiction a constituĂ© une sorte de prĂ©jugement » de lâarrĂȘt critiquĂ©, entraĂźnant un doute sur lâimpartialitĂ© objective » de la formation de jugement du fait de lâexercice successif des fonctions consultatives et juridictionnelles » Sacilor-Lormines prĂ©citĂ©, §§ 70-74. En lâespĂšce, sur ce dernier point et au vu des observations des parties, la Cour tient pour avĂ©rĂ© quâaucun membre de la formation de jugement saisie de la demande dâannulation du dĂ©cret du 25 janvier 2002 nâavait prĂ©cĂ©demment participĂ© Ă la formation qui avait rendu lâavis sur ce texte. Les circonstances de la cause diffĂšrent en cela fondamentalement de celles des affaires Procola et Kleyn et autres prĂ©citĂ©es. Certes, dans lâaffaire Sacilor-Lormines, la Cour a nĂ©anmoins vĂ©rifiĂ© si les questions soumises aux deux formations pouvaient reprĂ©senter la mĂȘme affaire » ou la mĂȘme dĂ©cision » ». Câest toutefois Ă titre surabondant quâelle a procĂ©dĂ© de la sorte, sauf Ă considĂ©rer quâun problĂšme de principe se pose sur le terrain de lâarticle 6 § 1 du seul fait que le Conseil dâEtat cumule compĂ©tence juridictionnelle et attributions consultatives, ce quâil nâappartient pas Ă la Cour de juger. La Cour en dĂ©duit, sans quâil soit nĂ©cessaire de rechercher si lâavis de la section des travaux publics du Conseil dâEtat sur le dĂ©cret du 25 janvier 2002 et le recours en annulation dirigĂ© ensuite contre ce mĂȘme dĂ©cret devant la section du contentieux du Conseil dâEtat pouvaient reprĂ©senter la mĂȘme affaire » ou la mĂȘme dĂ©cision » », que les craintes de lâassociation requĂ©rante quant Ă lâindĂ©pendance et Ă lâimpartialitĂ© de la formation qui a jugĂ© sa cause ne sauraient passer pour objectivement justifiĂ©es. Compte tenu de ce qui prĂ©cĂšde, la Cour estime quâil ne saurait davantage ĂȘtre soutenu quâil y a eu violation de lâarticle 6 § 1 du seul fait que, faute dâavoir pu obtenir une copie de lâavis litigieux, elle ne fut pas en mesure de vĂ©rifier si des membres de la formation qui a jugĂ© sa cause avaient siĂ©gĂ© dans celle qui avait rendu celui-ci. Il rĂ©sulte de ce qui prĂ©cĂšde que cette partie de la requĂȘte, manifestement mal fondĂ©e, doit ĂȘtre dĂ©clarĂ©e irrecevable et rejetĂ©e en application de lâarticle 35 §§ 3 et 4 de la Convention. c Sur les autres violations allĂ©guĂ©es de lâarticle 6 § 1 de la Convention Lâassociation requĂ©rante fait grief au Conseil dâEtat de ne pas avoir contrĂŽlĂ© la matĂ©rialitĂ© des faits » et de ne pas sâĂȘtre prononcĂ© sur la rĂ©gularitĂ© de la mise en place des comitĂ©s de pilotage ». La Cour rappelle quâaux termes de lâarticle 19 de la Convention elle a pour tĂąche dâassurer le respect des engagements rĂ©sultant de la Convention pour les Parties contractantes. Il ne lui appartient pas de connaĂźtre des erreurs de fait ou de droit prĂ©tendument commises par une juridiction interne, sauf si et dans la mesure oĂč ces erreurs pourraient avoir portĂ© atteinte aux droits et libertĂ©s garantis par la Convention voir, parmi dâautres, GarcĂa Ruiz c. Espagne [GC], no 30544/96, § 28, CEDH 1999-I. La Cour nâa notamment pas Ă se substituer aux autoritĂ©s nationales pour trancher une question relevant de lâinterprĂ©tation du droit interne voir Edificaciones March Gallego c. Espagne, 19 fĂ©vrier 1998, § 33, Recueil des arrĂȘts et dĂ©cisions 1998-I,. Il appartenait donc au premier chef aux juridictions internes dâinterprĂ©ter et dâappliquer le droit national pertinent Ă la procĂ©dure litigieuse et la Cour, dont le rĂŽle se limite Ă ce stade Ă vĂ©rifier la compatibilitĂ© avec la Convention des effets de pareille interprĂ©tation, estime Ă cet Ă©gard que la procĂ©dure a, en lâespĂšce, satisfait aux exigences de la Convention. Il y a donc lieu de dĂ©clarer cette partie de la requĂȘte irrecevable et de la rejeter en application de lâarticle 35 §§ 3 et 4 de la Convention. 3. Lâassociation requĂ©rante allĂšgue enfin une violation de lâarticle 1 du Protocole no 1. La Cour estime que ce grief est incompatible ratione personae avec les dispositions de la Convention, lâassociation requĂ©rante ne pouvant se prĂ©tendre elle-mĂȘme victime de la violation allĂ©guĂ©e du droit au respect des biens voir, par exemple, Marionneau et association française des hĂ©mophiles c. France dĂ©c., no 77654/01, 25 avril 2002. Il y a donc lieu de le dĂ©clarer irrecevable et de le rejeter, en application de lâarticle 35 §§ 3 et 4 de la Convention. Par ces motifs, la Cour, Ă lâunanimitĂ©, DĂ©cide de rayer du rĂŽle la partie de la requĂȘte concernant le grief relatif Ă lâabsence de communication Ă la requĂ©rante du rapport du conseiller rapporteur et du projet dâarrĂȘt dont le commissaire du gouvernement avait connaissance ; DĂ©clare la requĂȘte irrecevable pour le surplus. Claudia Westerdiek GreffiĂšre Peer Lorenzen PrĂ©sident
Leprincipe de rĂ©paration intĂ©grale est le principe en vertu duquel le responsable du prĂ©judice doit indemniser tout le dommage et uniquement le dommage, sans quâil en rĂ©sulte ni appauvrissement, ni enrichissement de la victime. Ce principe trouve son fondement dans lâarticle 1382 du code civil aux termes duquel « Tout fait quelconqueBourse PubliĂ© le 07/06/2022 Ă 1853 - Mis Ă jour le 07/06/2022 Ă 1844 La Bourse de Paris a terminĂ© en baisse de 0,74% mardi, adoptant une position prudente avant la rĂ©union de la Banque centrale europĂ©enne BCE de jeudi et la publication vendredi de chiffres sur l'inflation aux Ătats-Unis. L'indice vedette CAC 40 a perdu 48,43 points Ă points. La veille, il avait gagnĂ© 0,98% grĂące Ă la levĂ©e de certaines restrictions sanitaires en Chine, lors d'un lundi de PentecĂŽte restĂ© calme. Cette semaine, les regards vont se tourner vers la rĂ©union de politique monĂ©taire de la BCE, prĂ©vue jeudi. Sur les marchĂ©s europĂ©ens, tout le monde est focalisĂ© sur la BCE», a confirmĂ© Philippe Cohen, gĂ©rant de portefeuilles de Kiplink Finance, et on attend de savoir ce qu'elle va enclencher comme hausse des taux et sur quelle durĂ©e». Alors que depuis mars, la banque centrale amĂ©ricaine RĂ©serve fĂ©dĂ©rale, Fed relĂšve progressivement ses taux directeurs dans l'espoir de freiner l'inflation, la BCE n'a pas encore annoncĂ© prĂ©cisĂ©ment une hausse de ses taux. L'institution europĂ©enne devrait Ă©galement dĂ©cider jeudi l'arrĂȘt de ses rachats nets de dette, qui ont jusqu'Ă prĂ©sent permis de soutenir les marchĂ©s avec des liquiditĂ©s abondantes. En l'absence de rĂ©sultats d'entreprises, les seuls catalyseurs des marchĂ©s sont l'Ă©volution des taux et l'inflation», souligne Philippe Cohen. Et sur le marchĂ© obligataire, les investisseurs ne savent pas sur quel pied danser. L'analyste de Kiplink Finance note que les taux obligataires sont trĂšs fluctuants en fonction des statistiques Ă©conomiques. Certaines montrent une inflation trĂšs Ă©levĂ©e et d'autres laissent penser qu'on a atteint un pic de hausse de prix, donc les diffĂ©rentes interprĂ©tations jouent sur les taux". Casino manque d'intĂ©rĂȘt L'action Casino a perdu 4,15% Ă 17,11 euros, aprĂšs la parution d'un article de BFM Business affirmant que sa filiale de production d'Ă©nergie renouvelable GreenYellow, Ă vendre, n'attire pas beaucoup d'acheteurs. Dassault SystĂšmes en bas du tableau L'action de Dassault SystĂšmes a Ă©tĂ© pĂ©nalisĂ©e par la dĂ©gradation de la recommandation de Jefferies. Le titre a perdu 2,31% Ă 38,66 euros. Les banques en baisse Les banques françaises ont perdu du terrain mardi. SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale a reculĂ© de 1,72% Ă 25,20 euros, BNP Paribas de 1,56% Ă 52,45 euros et CrĂ©dit Agricole de 1,40% Ă 10,02 euros. Elles ont Ă©tĂ© Ă©pinglĂ©es par l'association de consommateurs UFC-Que Choisir, qui leur reproche leurs frais trop Ă©levĂ©s et appelle le gouvernement Ă les rĂ©duire. Elles sont de plus touchĂ©es nĂ©gativement par la baisse des taux obligataires. Le Revenu, avec AFP Sujetde la page: "U.F.C. Ouvrons l'oeil ! - Martigues - CĂŽte Bleue - Etang de Berre - ufc que choisir martigues cĂŽte bleue ". Créé par: Fabrice Philippe. Langue: français. Ăconomie Argent & Placements Lâassociation de consommateurs, qui craint que le nombre dâimpayĂ©s explose en 2021 en raison de la crise, appelle lâUnion europĂ©enne Ă lĂ©gifĂ©rer sur les pratiques dĂ©lĂ©tĂšres » de ce secteur. Des pratiques scandaleuses et parfois proches du harcĂšlement. » Câest en ces termes que lâassociation de dĂ©fense des consommateurs UFC-Que choisir a qualifiĂ©, jeudi 28 janvier, les agissements des sociĂ©tĂ©s de recouvrement de crĂ©dits, en pleine crise Ă©conomique liĂ©e Ă la pandĂ©mie de Covid-19. Certains Ă©tablissements de crĂ©dit, bien dĂ©cidĂ©s Ă tirer profit de la crise, nâont rien trouvĂ© de mieux que de ressusciter les publicitĂ©s âpousse-au-crimeâ pour inciter Ă souscrire des crĂ©dits Ă la consommation », regrette lâassociation, Ă©voquant des impayĂ©s atteignant dĂ©jĂ 22 milliards dâeuros, tous crĂ©dits confondus en 2020 1 700 euros par mĂ©nage emprunteur ». En dĂ©cembre, elle avait dĂ©jĂ demandĂ© Ă lâUnion europĂ©enne UE dâobliger les banques Ă proposer plus rapidement des mesures de restructuration Ă leurs clients. Lâassociation craint que le nombre dâimpayĂ©s explose en 2021. Alors que la dĂ©flagration des impayĂ©s en 2021 mettra plus que jamais les consommateurs aux prises avec ces sociĂ©tĂ©s », lâUFC-Que choisir exhorte les lĂ©gislateurs europĂ©ens Ă mettre au pas les pratiques dĂ©lĂ©tĂšres du secteur ». Pressions, culpabilisation, chantage Selon elle, le plan dâaction de la Commission europĂ©enne contre les consĂ©quences Ă©conomiques de lâĂ©pidĂ©mie due au coronavirus aboutit Ă aider les banques Ă se dĂ©barrasser des crĂ©dits impayĂ©s Ă des tiers, principalement Ă des sociĂ©tĂ©s de recouvrement ». Ces derniĂšres rachĂštent Ă vil prix des crĂ©ances jugĂ©es irrĂ©couvrables par les banques et dont certaines ne peuvent mĂȘme plus ĂȘtre rĂ©clamĂ©es en justice justificatifs perdus, dettes Ă©teintes, etc. », avant de faire le forcing pour en rĂ©cupĂ©rer le paiement en totalitĂ© ». Or, lâUFC-Que choisir sâalarme de la flambĂ©e des signalements sur les mĂ©thodes dĂ©lĂ©tĂšres » de ces derniĂšres, dĂ©biteurs et leurs proches contactĂ©s quasi quotidiennement durant des mois », ou honteuses pressions », parmi lesquelles culpabilisation ou chantage Ă la dĂ©lation aux voisins ». De son cĂŽtĂ©, la FĂ©dĂ©ration bancaire française souligne, dans une rĂ©action transmise par courriel Ă lâAgence France-Presse AFP, que le montant total des crĂ©dits Ă la consommation reste stable », et nâa augmentĂ© que de 0,5 % entre novembre 2019 et novembre 2020 ». Par rapport Ă ces chiffres, le risque de crĂ©dit est maĂźtrisĂ© en France, le ratio des crĂ©ances douteuses ânon-performing loansâ des banques françaises est plus faible que le ratio moyen des banques europĂ©ennes 2,3 %, contre 2,8 % au troisiĂšme trimestre 2020 », estime la mĂȘme source. La mobilisation des banques ne faiblit pas, en particulier en cette pĂ©riode, pour permettre Ă leurs clients de surmonter les difficultĂ©s consĂ©cutives Ă la crise sanitaire », a encore dĂ©clarĂ© la FBF. Lire aussi LâUFC-Que choisir dĂ©nonce lâopacitĂ© » des complĂ©mentaires santĂ© sur le taux de redistribution aux assurĂ©s Le Monde avec AFP Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă la fois Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce quâune autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă lire ici ? Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il dâautres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant dâappareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est lâautre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. PlusrĂ©cemment, l'affaire UFC Que Choisir de CĂŽte d'Or c. France du 30 juin 2009 a prĂ©cisĂ©ment portĂ© sur l'absence de communication aux parties de la note du rapporteur et du projet de dĂ©cision, lacune perçue comme une violation du principe de l'Ă©galitĂ© des armes. TrĂšs opportunĂ©ment pour le Conseil d'Etat, le juge europĂ©en a rendu une dĂ©cision d'irrecevabilitĂ©. PubliĂ© le 14/04/2011 Ă 1048 Originaire de San Sebastian, nĂ© en 1921 d'un pĂšre arrĂȘtĂ© par Franco, engagĂ© en 36 Ă l'Ăąge de 15 ans, Isaac Caseres a fui une premiĂšre fois son pays par la cĂŽte Cantabrique vers les Sables-d'Olonne puis rĂ©intĂšgre l'Espagne en 1937 en dĂ©barquant du cĂŽtĂ© de Tarragone oĂč il travaille dans la rĂ©paration d'armement. Or, en 1939, il lui faut quitter la PĂ©ninsule ibĂ©rique, comme 500 000 exilĂ©s qui fuient le rĂ©gime franquiste, pour se retrouver en camp Ă ArgelĂšs -sur-mer, Bram 11 et Septfonds 82 et se poser Ă Fumel oĂč il travaille clandestinement Ă l'usine avant d'y rester jusqu'en 1981 aprĂšs 42 de carriĂšre. Issac Caseres, alias Luis, 90 ans, ne cesse depuis de parler de l'histoire de son pays. Manifestations Plusieurs manifestations sont prĂ©vues en Lot-et-Garonne, dont les 28, 29 et 30 avril Ă Agen et Villeneuve puis le 14 mai Ă Fumel et non le 9 avril comme initialement prĂ©vu.
LâUFC-Que Choisir de CĂŽte-dâOr, forte du bilan 2020 des campagnes dâachats groupĂ©s choisirsonfioul.fr, appell 03 fĂ©vrier 2021 Ă 13:12 Le bois des Gorges du lion a retrouvĂ© sa libertĂ©
ThĂ©matiqueAide Ă la personne, maison de retraite, taux plein, pension de rĂ©version, sociĂ©tĂ© de tĂ©lĂ©assistance, assurance dĂ©pendance, 5e risque »... Pour aborder la vieillesse en toute sĂ©rĂ©nitĂ©, nos experts vous proposent des actualitĂ©s, enquĂȘtes, conseils et tests de produits et dans Senior » Tous les contenus des dossiers SeniorActualitĂ©Proche aidant âą Quels sont vos avantages fiscaux ? PubliĂ© le 07/07/2022 Les personnes qui viennent en aide Ă un membre de leur entourage handicapĂ©, malade ou dĂ©pendant bĂ©nĂ©ficient de certains droits sociaux. Pour les soutenir, lâĂtat leur accorde aussi certains avantages âą LâAspa, une pension minimum peu sollicitĂ©e PubliĂ© le 26/06/2022 Depuis quinze ans, lâallocation de solidaritĂ© aux personnes ĂągĂ©es Aspa garantit un revenu minimal aux retraitĂ©s qui ont peu ou pas cotisĂ© Ă lâassurance vieillesse. Elle a pris la suite des diverses prestations qui composaient le minimum vieillesse créé en 1956. Un filet de sĂ©curitĂ© essentielâŠCarte interactiveComparateur gratuit des maisons de retraite et EHPAD âą Trouvez la maison de retraite idĂ©ale prĂšs de chez vous31/05/2022 Comment trouver un Ehpad Ătablissement d'hĂ©bergement pour personnes ĂągĂ©es dĂ©pendantes ou une maison de retraite prĂšs de vous ? Avec notre carte interactive, accĂ©dez aisĂ©ment aux informations concernant les maisons de retraite visitĂ©es Ă cĂŽtĂ© de chez vous. Retrouvez tous les Ă©lĂ©ments utiles pourâŠEnquĂȘteExclusion numĂ©rique âą Trop de âlaissĂ©s de cĂŽtĂ©â PubliĂ© le 25/05/2022 Refaire ses papiers, dĂ©clarer ses revenus, obtenir des aides sociales, sâinformer, communiquer, acheter⊠difficile de se passer dâInternet au quotidien ! Pourtant, la dĂ©matĂ©rialisation Ă outrance risque de laisser des millions de personnes sur le bord de la route. Des solutions existent, mais ellesâŠAction UFC-Que ChoisirAccĂšs aux EHPAD âą Stop aux intolĂ©rables disparitĂ©s gĂ©ographiques et Ă©conomiques ! PubliĂ© le 17/05/2022 Alors que les rĂ©centes informations sur les pratiques dâEHPAD privĂ©s ont logiquement scandalisĂ© lâopinion, lâUFC-Que Choisir rend aujourdâhui publique une Ă©tude dĂ©voilant un autre scandale liĂ© au secteur des EHPAD la fracture territoriale qui frappe les sĂ©niors devant entrer dans ce typeâŠActualitĂ©Fin de carriĂšre âą La retraite progressive ouverte aux salariĂ©s en forfait jours PubliĂ© le 30/04/2022 Les salariĂ©s en forfait annuel jours vont pouvoir sâinscrire dans le dispositif de retraite progressive et lever le pied en fin de carriĂšre. Le dĂ©cret les y autorisant vient dâĂȘtre âą Une clientĂšle qui sâĂ©largit PubliĂ© le 05/04/2022 Lâassistance par tĂ©lĂ©phone nâest plus rĂ©servĂ©e aux personnes ĂągĂ©es ou invalides. Elle sâadresse dĂ©sormais Ă un vaste public, prĂ©occupĂ© par sa santĂ© mais aussi sa sĂ©curitĂ©. Ă quel prix, avec quels Ă©quipements et pour quels services exactement ?DĂ©cryptageTĂ©lĂ©assistance âą Les diffĂ©rents Ă©quipements PubliĂ© le 05/04/2022 Les services de tĂ©lĂ©assistance mettent Ă la disposition des personnes ĂągĂ©es des Ă©quipements connectĂ©s directement aux centres dâappels transmetteur, dĂ©tecteur de chute, capteurs de mouvements⊠en Ehpad âą Des appels de dĂ©tresse en hausse PubliĂ© le 24/03/2022 Ăclairage sur les mauvais traitements dans les Ehpad au travers des communications passĂ©es au 3977, le numĂ©ro qui permet de les âą La gĂ©nĂ©ration 1961 sera la premiĂšre concernĂ©e par le recul de lâĂąge lĂ©gal PubliĂ© le 21/03/2022 LâĂąge lĂ©gal de dĂ©part en retraite devrait ĂȘtre portĂ© Ă 65 ans si Emmanuel Macron est réélu Ă lâĂ©lection prĂ©sidentielle en avril prochain. Sous rĂ©serve que ce seuil soit adoptĂ© par les parlementaires dâici Ă la fin de lâannĂ©e, il devrait sâappliquer pleinement, pour la premiĂšre fois, aux gĂ©nĂ©rationsâŠActualitĂ©Retraite âą Qui devrait ĂȘtre concernĂ© par le recul de lâĂąge de dĂ©part ? PubliĂ© le 15/03/2022 Candidat Ă un nouveau mandat, Emmanuel Macron sâest positionnĂ© sur lâĂ©pineux sujet des retraites. Sâil est réélu, les Français devront travailler plus longtemps car lâĂąge lĂ©gal de dĂ©part devrait passer de 62 Ă 65 ans. Ă domicile vidĂ©o âą Les Ă©quipements qui facilitent la vie PubliĂ© le 26/02/2022 Rester chez soi jusquâĂ ses derniers jours est parfois possible. Encore faut-il que le logement soit adaptĂ© au grand Ăąge. GrĂące Ă divers travaux dâamĂ©nagement, on peut notamment Ă©viter les risques de chute. Mais il existe aussi de nombreux Ă©quipements et ustensiles bien pensĂ©s qui permettent de remĂ©âŠEnquĂȘteAlternatives aux Ehpad âą OĂč habiter pendant ses vieux jours ? PubliĂ© le 23/02/2022 LâĂąge venant, il semble parfois difficile de continuer Ă vivre dans le logement oĂč lâon se sentait si bien. Beaucoup nâentrevoient alors quâune solution partir pour un Ehpad. Ce scĂ©nario nâest pourtant pas une fatalitĂ©. Les professionnels ont bien compris que les baby-boomers nâenvisagent pasâŠEnquĂȘteAlternatives aux Ehpad âą Reportage dans un habitat partagĂ© accompagnĂ© PubliĂ© le 23/02/2022 Parmi les nombreuses alternatives aux Ehpad, lâhabitat partagĂ© accompagnĂ© propose des solutions Ă taille humaine et Ă lâorganisation peu contraignante oĂč lâon fait tout pour maintenir lâautonomie des rĂ©sidents. Reportage Ă Ouges CĂŽte-dâOr, dans une de ces rĂ©sidences de colocation pour seniors.âŠActualitĂ©Ehpad âą Comment attaquer en justice PubliĂ© le 13/02/2022 De nombreuses familles saisissent la justice Ă la suite de la mĂ©diatisation de la maltraitance dans les Ă©tablissements dâhĂ©bergement pour personnes ĂągĂ©es dĂ©pendantes Ehpad. Quelles procĂ©dures sont envisageables ?ActualitĂ©Retraites âą Quel est votre taux de CSG en 2022 ? PubliĂ© le 03/02/2022 Le taux de CSG applicable sur votre pension de retraite cette annĂ©e dĂ©pend du montant des revenus perçus par votre foyer fiscal en 2020 ou en 2019. Vous en ĂȘtes totalement exonĂ©rĂ© si vos revenus sont de rencontres âą Les seniors, une cible choyĂ©e PubliĂ© le 04/01/2022 Avec les confinements successifs, le succĂšs des sites de rencontres sâest amplifiĂ©. Ceux qui tentent lâaventure y consacrent un budget qui peut se rĂ©vĂ©ler important, quâils cherchent une relation stable ou non. Nos conseils avant de se âą Quand aidera-t-on enfin les aidants ? PubliĂ© le 04/01/2022 Quelque 11 millions de Français sâoccupent dâun proche handicapĂ©, malade ou ĂągĂ©. Cela impacte leur santĂ©, leur carriĂšre et leurs finances, sans quâils soient toujours eux-mĂȘmes accompagnĂ©s, Ă©paulĂ©s et relayĂ©s. Aider devrait ĂȘtre un choix et, surtout, ne jamais rimer avec Ă©puisement ou prĂ©caritĂ©.âŠEnquĂȘteDĂ©pendance âą Le droit au rĂ©pit des aidants PubliĂ© le 04/01/2022 Fatigue, stress, maux de dos⊠pour tenir, lâaidant doit se mĂ©nager des temps de repos. Mais il est difficile de les trouver et de les âą Que penser du service Veiller sur mes parents » de La Poste ? PubliĂ© le 04/01/2022 La Poste propose Veiller sur mes parents », un service qui sâappuie sur la visite des facteurs. Lors de leur tournĂ©e, ils prennent le temps dâ âą On tente de suivre lâexemple du baluchonnage quĂ©bĂ©cois PubliĂ© le 04/01/2022 Originaire du QuĂ©bec et testĂ©e en France, cette solution de rĂ©pit mĂ©rite dâĂȘtre pĂ©rennisĂ©e. Son modĂšle Ă©conomique reste toutefois Ă âą Le Danemark, un modĂšle inspirant PubliĂ© le 04/01/2022 Les pays scandinaves sont citĂ©s en exemple pour leur prise en charge de la perte dâautonomie. Afin de nous faire notre propre opinion, nous sommes allĂ©s Ă Copenhague, la capitale âą RĂ©duire son activitĂ© professionnelle pour aider un proche PubliĂ© le 04/01/2022 Il est parfois essentiel de pouvoir mettre entre parenthĂšses sa carriĂšre, afin de prendre soin de son parent en perte dâ âą Et si les Ehpad devenaient attrayants et abordables ? PubliĂ© le 04/01/2022 En France, les Ă©tablissements pour personnes ĂągĂ©es souffrent dâune trĂšs mauvaise rĂ©putation, et câest justifiĂ©. Il faut impĂ©rativement refondre le modĂšle pour proposer des lieux de vie dignes et financiĂšrement âą 4 conseils pour une arrivĂ©e en douceur en maison de retraite PubliĂ© le 04/01/2022 LâentrĂ©e en Ă©tablissement, souvent considĂ©rĂ©e comme la solution de dernier recours, est peu anticipĂ©e. Or, pour que les choses se passent bien, une prĂ©paration sâimpose. En voici les Ă©tapes importantes*.EnquĂȘteDĂ©pendance âą Le soutien des enfants, une entraide obligatoire PubliĂ© le 04/01/2022 Lâaide des enfants est souvent spontanĂ©e. Dans certains cas, elle est imposĂ©e par la loi. Et si soutenir son proche ne donne droit, en principe, Ă aucune compensation, le parent aidĂ© peut vouloir manifester sa des retraites âą Le calendrier 2022 PubliĂ© le 04/01/2022 Ă Ă©choir ou Ă terme Ă©chu ? Selon les rĂ©gimes de retraite, cette subtilitĂ© fait toute la diffĂ©rence sur les dates effectives de versement des pensions. Voici en dĂ©tail les calendriers 2022 des principaux rĂ©gimes de âą Une revalorisation en demi-teinte PubliĂ© le 01/11/2021 Les pensions de retraite complĂ©mentaire Agirc-Arrco vont ĂȘtre revalorisĂ©es de 1 % Ă partir de ce 1er novembre. Câest moins que lâ en retraite 2021 âą Vos indemnitĂ©s sont-elles imposables ? PubliĂ© le 14/07/2021 Le rĂ©gime fiscal des indemnitĂ©s perçues par les salariĂ©s qui partent Ă la retraite dĂ©pend des conditions de leur dĂ©part et de leur montant. Leur fraction imposable peut bĂ©nĂ©ficier du systĂšme du quotient pour en rĂ©duire lâ Ă lâhĂŽpital et en Ehpad âą Des limitations injustifiĂ©es PubliĂ© le 24/06/2021 Lâencadrement, voire lâinterdiction, des visites aux proches hospitalisĂ©s ou en maison de retraite subsistent, sans que des raisons sanitaires les expliquent, et font des aidants âą Comment bĂ©nĂ©ficier de la nouvelle allocation journaliĂšre de la Caf ? PubliĂ© le 10/06/2021 Une allocation peut ĂȘtre versĂ©e aux personnes obligĂ©es de cesser provisoirement leur activitĂ© professionnelle pour sâoccuper dâun proche en perte dâautonomie ou en situation de handicap. Le point sur les dĂ©marches Ă effectuer. DĂ©cryptageActivitĂ© physique des seniors âą Visez la bonne dose PubliĂ© le 25/05/2021 Les repĂšres sur lâactivitĂ© physique aprĂšs 65 ans dĂ©livrĂ©s par les autoritĂ©s de santĂ© mĂ©ritent quelques explications et Ăąge âą Comment repĂ©rer la fragilitĂ© PubliĂ© le 25/05/2021 Entre bonne autonomie et grande dĂ©pendance, la fragilitĂ© » des personnes ĂągĂ©es est un Ă©tat intermĂ©diaire qui mĂ©rite dâĂȘtre identifiĂ© pour Ă©viter une dĂ©gradation de carriĂšre âą Un accĂšs bientĂŽt plus large Ă la retraite progressive PubliĂ© le 12/03/2021 La retraite progressive doit bĂ©nĂ©ficier aux salariĂ©s en forfait jours rĂ©duit, comme câest le cas pour les salariĂ©s Ă temps partiel. Tel est le sens dâune rĂ©cente dĂ©cision du Conseil constitutionnel. des retraites âą Le calendrier 2021 PubliĂ© le 29/01/2021 Ă Ă©choir ou Ă terme Ă©chu ? Selon les rĂ©gimes de retraite, cette subtilitĂ© fait toute la diffĂ©rence sur les dates effectives de versement des pensions. Voici en dĂ©tail les calendriers 2021 des principaux rĂ©gimes de 2021 âą Ă quoi sâattendre ? PubliĂ© le 14/01/2021 RĂ©forme Ă lâarrĂȘt, moindres revalorisations des pensions⊠Les retraitĂ©s, comme les futurs retraitĂ©s, sont impactĂ©s par la crise du âą 5 exercices Ă faire sur une chaise PubliĂ© le 21/12/2020 Conserver une activitĂ© physique, mĂȘme lĂ©gĂšre, permet dâĂ©viter les chutes et de renforcer sa musculature. Si votre Ă©quilibre est vacillant, pratiquez-la depuis votre chaise. ActualitĂ©ActivitĂ© physique âą Pas besoin d'exercice intense pour les seniors PubliĂ© le 07/11/2020 L'exercice physique est un outil de prĂ©vention efficace. Mais quelle est la bonne dose quand on est un senior ? Faire plus, ou plus intense, n'est pas forcĂ©ment la solution, d'aprĂšs une lecteurs âą Aidants, comment vous portez-vous ? PubliĂ© le 26/10/2020 Aide pour les tĂąches administratives, la toilette, les courses⊠à lui seul, un aidant cumule un grand nombre de tĂąches, parfois au prix de sa propre santĂ© physique et morale. Ce sombre constat, vous lâavez confirmĂ© par vos rĂ©ponses Ă notre enquĂȘte lecteurs votre rĂŽle dâaidant a un lourd impact.âŠDĂ©cryptageAidants âą Une santĂ© sacrifiĂ©e PubliĂ© le 26/10/2020 Prendre soin dâun Ă©poux malade, dâun parent vieillissant ou dâun enfant handicapĂ© peut sâavĂ©rer trĂšs prenant, voire Ă©puisant. Selon notre enquĂȘte lecteurs, vous ĂȘtes 77 % Ă soutenir un proche, tous les jours ou presque. Bon nombre de personnes qui sâoccupent ainsi dâun membre de leur familleâŠ
Itinérairesvers Cercle Généalogique de la CÎte d'Or à Dijon en empruntant les transports en commun. Les lignes de transport suivantes ont des itinéraires qui passent prÚs de Cercle Généalogique de la CÎte d'Or Bus: 18, 33, L4, L5; Tram: T2; Comment se rendre à Cercle Généalogique de la CÎte d'Or en Bus? Cliquez sur la ligne de Bus pour connaitre les