0 Bonjour, J'ai le mĂȘme problĂšme de volant moteur sur ma 307 1.6l hdi 110 ch. Peugeot ne veux pas prendre en charge la totalitĂ© des rĂ©parations et me demande de prendre en charge 60% des rĂ©parations soit un montant de 651 euros. Ma voiture est de mars 2005 et Ă  37800 km donc elle n'a que 2 ans et demi donc je trouve anormal que Peugeot
l'essentiel Sophie Borderie, prĂ©sidente du conseil dĂ©partemental, a Ă©tĂ© Ă©lue au bureau de L’AssemblĂ©e des DĂ©partements de France. L'ADF pourrait bien tenir son congrĂšs 2022 en Lot-et-Garonne. La prĂ©sidente du conseil dĂ©partemental de Lot-et-Garonne Sophie Borderie a Ă©tĂ© Ă©lue membre du Bureau de L’AssemblĂ©e des DĂ©partements de France ADF mercredi 8 septembre Ă  l’occasion d’une assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale extraordinaire sous la nouvelle prĂ©sidence de François Sauvadet, ancien ministre et prĂ©sident du DĂ©partement de la CĂŽte-d’Or. Sophie Borderie sera Ă  la tĂȘte de la commission EgalitĂ© » au niveau national. Le congrĂšs 2022 en Lot-et-Garonne ? Rappelons que l’ADF est une association rĂ©unissant les prĂ©sidents de 102 collectivitĂ©s adhĂ©rentes, dont 95 DĂ©partements et 7 collectivitĂ©s territoriales Ă  compĂ©tences dĂ©partementales. Elle a notamment pour mission de les reprĂ©senter auprĂšs des pouvoirs publics et d’arrĂȘter des positions communes sur les grands dossiers nationaux. En janvier 2020, Sophie Borderie avait soumis Ă  Dominique Bussereau – l’ancien ministre des Transports et ministre de l’Agriculture Ă©tait alors prĂ©sident de l’ADF – un dossier de candidature du Lot-et-Garonne pour accueillir le 91e congrĂšs de l’ADF en 2021. Pour l’anecdote, le dossier Ă©tait baptisĂ© Osez la ruralitĂ©, osez le Lot-et-Garonne ». Si ce congrĂšs-lĂ  n’a finalement pas eu lieu Ă  Agen, il pourrait bien avoir lieu en Lot-et-Garonne en 2022. Le jour de l’élection de Sophie Borderie au bureau de l’ADF, le prĂ©sident François Sauvadet a annoncĂ© proposer prochainement aux membres du Bureau que le congrĂšs national 2022 se tienne en Lot-et-Garonne. Une reconnaissance pour le 47. Et des retombĂ©es Ă©conomiques.
Au1er janvier 2016, les demandeurs d’emploi devront s’inscrire en ligne Ă  PĂŽle emploi dans les dĂ©partements du Nord, du Pas-de-Calais, de la CĂŽte-d'Or, de la NiĂšvre, de SaĂŽne-et-Loire
UFC Que Choisir de CĂŽte d'Or – Paroles de consommateurs
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LUFC-Que Choisir a dénoncé jeudi 20 mai une "explosion des factures" d'électricité et demandé un moratoire sur le projet de restructuration d'EDF, dont l'association craint qu'il n'entraßne
Travaux La pose de l’enrobĂ© final du pont de l’Entente Cordiale s’effectuera dans la nuit du 24 au 25 mai, une modification des conditions de circulation est prĂ©vue. Par La Semaine dans le Boulonnais PubliĂ© le 21/05/2022 Des itinĂ©raires bis sont prĂ©vus. - Archives AprĂšs la pose de l’enrobĂ© qui est venue conclure les amĂ©nagements de la circulation entre le viaduc Jean JaurĂšs et le quai Chanzy durant les nuits du 19 au 20 mai et du 20 au 21 mai 2022, l’entreprise Ramery TP va intervenir pour poser l’enrobĂ© final du pont de l’Entente cordiale dans la nuit du 24 au 25 mai. Une intervention qui entraĂźnera une interdiction de circulation de 19h Ă  6h sur le pont de l’Entente Cordiale. Pour faciliter la circulation automobile, une dĂ©viation sera mise en place par le boulevard Chanzy, le viaduc Jean-Jacques Rousseau et le boulevard Diderot. Aujourd'hui 16° Demain 17°
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CINQUIÈME SECTION DÉCISION SUR LA RECEVABILITÉ de la requĂȘte no 39699/03 prĂ©sentĂ©e par UNION FEDERALE DES CONSOMMATEURS QUE CHOISIR DE COTE D’OR contre la France La Cour europĂ©enne des droits de l’homme cinquiĂšme section, siĂ©geant le 30 juin 2009 en une chambre composĂ©e de Peer Lorenzen, prĂ©sident, Rait Maruste, Karel Jungwiert, Renate Jaeger, Mark Villiger, Mirjana Lazarova Trajkovska, juges, Gilbert Guillaume, juge ad hoc, et de Claudia Westerdiek, greffiĂšre de section, Vu la requĂȘte susmentionnĂ©e introduite le 21 novembre 2003, Vu les observations soumises par le gouvernement dĂ©fendeur et celles prĂ©sentĂ©es en rĂ©ponse par le requĂ©rant, Vu la dĂ©cision de M. Costa, juge Ă©lu au titre de la France de se dĂ©porter article 28 du rĂšglement de la Cour et la dĂ©cision du Gouvernement de dĂ©signer M. G. Guillaume pour siĂ©ger Ă  sa place en qualitĂ© de juge ad hoc article 29 § 1 a du rĂšglement, AprĂšs en avoir dĂ©libĂ©rĂ©, rend la dĂ©cision suivante EN FAIT L’association requĂ©rante, l’Union fĂ©dĂ©rale des Consommateurs Que Choisir de CĂŽte d’Or UFC Que choisir 21, est une personne morale de droit français dont le siĂšge social est Ă  Dijon. Elle est reprĂ©sentĂ©e par Me Eric Ruther, avocat Ă  Dijon. Le gouvernement français le Gouvernement » est reprĂ©sentĂ© par son agent, MmeEdwige Belliard, Directrice des affaires juridiques au ministĂšre des Affaires Ă©trangĂšres. L’association requĂ©rante a notamment pour objet statutaire d’aider les consommateurs et usagers contribuables Ă  exercer leur pouvoir dans l’économie en vue d’assurer l’amĂ©lioration de leurs conditions de vie dans tous les domaines, dont l’environnement, et de contribuer Ă  mettre Ă  la disposition des consommateurs et usagers les moyens d’information, de diffusion et d’éducation qui leur sont nĂ©cessaires Ă  cet effet, tant dans le domaine des produits que dans celui des services publics ou privĂ©s. Agréée pour la dĂ©fense de l’environnement article L. 241-1 du code de l’environnement, elle indique que c’est Ă  ce titre qu’elle est intervenue dans le dossier dit du TGV [train Ă  grande vitesse] Rhin-RhĂŽne ». Tel qu’il est inscrit dans le schĂ©ma directeur national des liaisons ferroviaires Ă  grande vitesse approuvĂ© le 1er avril 1992 par dĂ©cret du ministre de l’Equipement, du Logement, des Transports et de l’Espace, ce projet se prĂ©sente comme une Ă©toile Ă  trois branches la branche Est, tronc commun aux flux de voyageurs Est-Ouest et Nord-Sud ; la branche Ouest, prolongeant la premiĂšre en ligne nouvelle jusqu’à la ligne Sud-Est prĂ©existante ; et la branche Sud, en ligne nouvelle jusqu’à Lyon. Il comprend au total environ 425 km de lignes nouvelles. Le 10 septembre 1992, le ministre de l’Equipement dĂ©cida d’engager les Ă©tudes prĂ©liminaires pour la rĂ©alisation de la ligne nouvelle Ă  grande vitesse entre Mulhouse et la Bourgogne, ces Ă©tudes constituant la premiĂšre phase du projet TGV Rhin-RhĂŽne. Le projet progressa ensuite pas Ă  pas, jusqu’à l’ouverture de l’enquĂȘte publique le 29 mai 2000. L’association requĂ©rante considĂšre que le projet soumis Ă  l’enquĂȘte ne correspondait pas Ă  celui qui Ă©tait dĂ©crit dans le schĂ©ma directeur national des liaisons ferroviaires Ă  grande vitesse et qui avait fait l’objet des Ă©tudes conduites prĂ©cĂ©demment l’enquĂȘte publique ne portait que sur la branche Est, laquelle Ă©tait devenue un projet autonome et distinct ». Le 25 janvier 2002, le dĂ©cret dĂ©clarant d’utilitĂ© publique et urgents les acquisitions fonciĂšres et les travaux de construction de la nouvelle liaison ferroviaire 
 dite branche Est du TGV Rhin-RhĂŽne » fut pris, aprĂšs que le Conseil d’Etat section des travaux publics eut Ă©tĂ© entendu. La requĂ©rante et plusieurs autres associations saisirent le Conseil d’Etat de demandes tendant Ă  l’annulation de ce dĂ©cret, invoquant notamment l’insuffisance de l’enquĂȘte publique et de l’étude d’impact au regard des prescriptions lĂ©gislatives et rĂ©glementaires. En janvier 2002, l’association requĂ©rante demanda au ministre de l’Equipement de lui adresser une copie de la dĂ©libĂ©ration de la Section des travaux publics du Conseil d’Etat sur le projet de dĂ©cret d’utilitĂ© publique. Cette demande fut rejetĂ©e le 24 janvier 2002, au motif que les avis du Conseil d’Etat ne font pas partie des documents administratifs communicables de plein droit aux personnes qui en font la demande. L’association requĂ©rante saisit la Commission d’accĂšs aux documents administratifs, qui, le 1er octobre 2003, se dĂ©clara incompĂ©tente pour se prononcer sur cette demande, les avis rendus par le Conseil d’Etat n’étant pas considĂ©rĂ©s comme des documents administratifs et n’entrant donc pas dans le champ de la loi prĂ©citĂ©e. L’association requĂ©rante s’adressa Ă©galement Ă  cette mĂȘme fin et sans plus de succĂšs au centre de coordination et de documentation du Conseil d’Etat. A la demande de la Cour, le Gouvernement a produit une copie de la minute de l’avis, datĂ©e du 8 janvier 2002. Il s’agit du texte du dĂ©cret assorti d’annotations manuscrites indiquant les modifications, en l’occurrence de forme, prĂ©conisĂ©es par la Section des travaux publics. Le Gouvernement a Ă©galement communiquĂ© un extrait du rapport annuel du Conseil d’Etat pour l’annĂ©e 2002, relatif Ă  l’avis de la section des travaux publics sur le dĂ©cret litigieux, qui se lit comme suit 
 La Section a, en deuxiĂšme lieu, Ă©tĂ© amenĂ©e Ă  trancher de dĂ©licates questions de procĂ©dure en cas de rĂ©alisation par Ă©tapes d’un grand projet d’infrastructure. La jurisprudence reconnaĂźt la facultĂ© de soumettre Ă  enquĂȘte publique un Ă©lĂ©ment d’un projet d’ensemble si cet Ă©lĂ©ment peut ĂȘtre rĂ©alisĂ© sĂ©parĂ©ment CE 10 novembre 1995 FĂ©dĂ©ration RhĂŽne-Alpes de protection de la nature mais les textes imposent la production au dossier d’enquĂȘte d’une Ă©tude d’impact d’ensemble et une Ă©valuation socio-Ă©conomique globale CE AssemblĂ©e, 23 octobre 1998 Collectif alternative pyrĂ©nĂ©enne Ă  l’axe europĂ©en et autres. Saisie de la dĂ©claration d’utilitĂ© publique des travaux de construction d’une ligne ferroviaire qui composait avec deux autres lignes un vaste rĂ©seau inscrit au schĂ©ma national des liaisons ferroviaires Ă  grande vitesse, la Section a estimĂ© que l’opĂ©ration envisagĂ©e formait Ă  elle seule un grand projet d’infrastructure dans la mesure oĂč elle satisfaisait aux objectifs Ă©noncĂ©s dans le schĂ©ma national. DĂšs lors, il n’était pas nĂ©cessaire de faire porter l’étude d’impact et l’évaluation socio-Ă©conomique sur l’ensemble des trois branches 
 ». Par un arrĂȘt du 2 juin 2003, le Conseil d’Etat section du contentieux rejeta les requĂȘtes. Il estima tout d’abord que le document inclus dans le dossier soumis Ă  l’enquĂȘte publique et intitulĂ© Ă©valuation socio‑économique » contenait l’ensemble des Ă©lĂ©ments qui, en vertu de l’article 4 du dĂ©cret du 17 juillet 1984, devaient obligatoirement figurer dans l’évaluation prĂ©vue par l’article 14 de la loi du 30 dĂ©cembre 1982 sur les grands projets d’infrastructure. Bien que le dĂ©cret de 1984 prĂ©cise que l’évaluation d’un grand projet d’infrastructures dont la rĂ©alisation est prĂ©vue en plusieurs tranches doit porter sur la totalitĂ© du projet et doit prĂ©cĂ©der la premiĂšre tranche, ses dispositions n’étaient pas applicables en l’espĂšce la branche Est du TGV Rhin-RhĂŽne, dont la rĂ©alisation a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e d’utilitĂ© publique par le dĂ©cret de 2002, pouvait ĂȘtre construite et exploitĂ©e indĂ©pendamment des deux autres branches envisagĂ©es par le schĂ©ma directeur national des liaisons ferroviaires Ă  grande vitesse approuvĂ© par dĂ©cret et constituait donc, par elle-mĂȘme, un grand projet d’infrastructure ayant sa finalitĂ© propre. Le Conseil d’Etat jugea l’étude d’impact sur la branche Est du TGV Rhin-RhĂŽne » conforme Ă  l’article 2 du dĂ©cret du 12 octobre 1977, relatif aux Ă©tudes d’impact selon que les travaux sont rĂ©alisĂ©s de maniĂšre simultanĂ©e ou de maniĂšre Ă©chelonnĂ©e, tout en relevant que ladite Ă©tude comportait une analyse sommaire des impacts qu’aurait sur l’environnement la rĂ©alisation Ă©ventuelle des trois branches. Il considĂ©ra en outre que l’étude d’impact comportait une analyse prĂ©cise de l’état initial de l’environnement comme des impacts du projet sur celui-ci ; que la circonstance que ces analyses Ă©taient prĂ©sentĂ©es par section du projet de voie ferroviaire ne pouvait ĂȘtre regardĂ©e comme constituant un obstacle Ă  l’information du public ; qu’il ressortait Ă©galement des piĂšces du dossier que les nuisances sonores liĂ©es au projet avaient fait l’objet d’une Ă©tude prĂ©cise et que l’étude d’impact Ă©nonçait les mesures de protection envisagĂ©es pour rĂ©duire ces nuisances ; qu’une Ă©valuation des risques hydrauliques liĂ©s Ă  la rĂ©alisation du projet avait Ă©galement Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e et que l’étude mentionnait des dispositions tendant Ă  prĂ©venir ces risques ; enfin, qu’il ne ressortait pas de l’examen de ces documents que certains effets du projet auraient Ă©tĂ© omis ou mentionnĂ©s de maniĂšre incomplĂšte. La formation de jugement Ă©tait composĂ©e de M. Lasserre, PrĂ©sident, MM. P. Martin, Vigouroux, de VulpilliĂšres, Turquet de Beauregard et Tabuteau, et Mme Vestur. GRIEFS 1. Invoquant l’article 6 § 1 de la Convention, l’association requĂ©rante se plaint de ne pas avoir reçu, dans le cadre de la procĂ©dure devant le Conseil d’Etat, communication du rapport du conseiller rapporteur et du projet d’arrĂȘt. 2. Invoquant l’article 6 § 1 de la Convention, la requĂ©rante critique Ă©galement le fait de ne pas avoir obtenu la communication des conclusions du commissaire du gouvernement. Par ailleurs, elle estime que sa cause n’a pas Ă©tĂ© entendue Ă©quitablement par un tribunal indĂ©pendant et impartial. Enfin, l’association requĂ©rante fait grief au Conseil d’Etat de ne pas avoir contrĂŽlĂ© la matĂ©rialitĂ© des faits » alors qu’il en a la compĂ©tence. Elle lui reproche Ă  cet Ă©gard de ne pas avoir jugĂ© irrĂ©guliĂšre la transformation de la premiĂšre phase du projet initial en projet autonome, d’avoir conclu qu’il ne s’agissait pas d’une phase » au sens juridique du terme, mais d’un projet ayant sa finalitĂ© propre, d’avoir retenu l’utilitĂ© publique de celui-ci alors qu’il ressort du dossier que sa rentabilitĂ© n’est pas avĂ©rĂ©e et que le nombre d’usagers potentiels a Ă©tĂ© surestimĂ©, et de n’avoir pas admis que le jeu avait Ă©tĂ© faussĂ© par la place prĂ©pondĂ©rante de la puissante association des Ă©lus du secteur concernĂ© Trans Europe TGV Rhin-RhĂŽne-MĂ©diterranĂ©e, favorable au projet, au sein du comitĂ© de pilotage » de l’opĂ©ration. Elle lui reproche Ă©galement de ne pas s’ĂȘtre prononcĂ© sur la rĂ©gularitĂ© de la mise en place de tels comitĂ©s de pilotage », qui n’aurait pas de base lĂ©gale et viserait Ă  court-circuiter les observations du public et des associations pour leur substituer les avis d’élus favorables au projet. 3. Enfin, elle soutient que, dans l’hypothĂšse oĂč la Cour conclurait Ă  la violation de l’article 6 § 1 de la Convention, elle devrait en dĂ©duire que les expropriations rĂ©alisĂ©es sur le fondement du dĂ©cret contestĂ© devant le Conseil d’Etat sont illĂ©gales et, en consĂ©quence, mĂ©connaissent le droit au respect des biens au sens de l’article 1 du Protocole no 1. EN DROIT 1. L’association requĂ©rante se plaint de l’absence de communication du rapport du conseiller rapporteur et du projet d’arrĂȘt. Elle invoque l’article 6 § 1 de la Convention, aux termes duquel Toute personne a droit Ă  ce que sa cause soit entendue Ă©quitablement 
 par un tribunal indĂ©pendant et impartial, Ă©tabli par la loi, qui dĂ©cidera 
 des contestations sur ses droits et obligations de caractĂšre civil 
 ». Par un courrier du 26 juin 2009, l’avocat de la requĂ©rante a informĂ© le greffe de la dĂ©cision de celle-ci de se dĂ©sister de son grief tirĂ© de l’absence de communication du rapport du conseiller rapporteur et du projet d’arrĂȘt, dont le commissaire du gouvernement avait eu connaissance. La Cour constate que la requĂ©rante n’entend plus maintenir cette partie de la requĂȘte, au sens de l’article 37 § 1 a de la Convention. Par ailleurs, conformĂ©ment Ă  l’article 37 § 1 in fine, la Cour estime qu’aucune circonstance particuliĂšre touchant au respect des droits garantis par la Convention et ses Protocoles n’exige la poursuite de son examen. Il y a donc lieu de rayer cette partie de la requĂȘte du rĂŽle. 2. La requĂ©rante invoque Ă©galement l’article 6 § 1 de la Convention pour se plaindre de la procĂ©dure Ă  diffĂ©rentes Ă©gards. La Cour constate d’emblĂ©e que les parties s’opposent sur la question de savoir si les dispositions de l’article 6 de la Convention Ă©taient applicables en l’espĂšce. Elle n’estime cependant pas nĂ©cessaire d’examiner cette question, les griefs tirĂ©s de l’article 6 Ă©tant, en tout Ă©tat de cause, irrecevables pour les motifs suivants. a Sur le dĂ©faut de communication des conclusions du commissaire du gouvernement La Cour rappelle qu’elle a dĂ©jĂ  jugĂ© que le dĂ©faut de communication aux parties, avant l’audience, des conclusions du commissaire du gouvernement n’emporte pas violation de l’article 6 § 1 de la Convention Kress c. France [GC], no 39594/98, §§ 72-76, CEDH 2001-IV. Il s’ensuit que cette partie de la requĂȘte, manifestement mal fondĂ©e, doit ĂȘtre dĂ©clarĂ©e irrecevable et rejetĂ©e en application de l’article 35 §§ 3 et 4 de la Convention. b Sur la violation allĂ©guĂ©e du droit de la requĂ©rante Ă  ce que sa cause soit entendue par un tribunal indĂ©pendant et impartial La requĂ©rante dĂ©nonce le dĂ©faut d’indĂ©pendance du Conseil d’Etat, qui rĂ©sulterait des trois circonstances suivantes le Conseil d’Etat relĂšve du chef du Gouvernement, lequel aurait en consĂ©quence Ă©tĂ© juge et partie, s’agissant de l’examen d’une requĂȘte tendant Ă  l’annulation d’un dĂ©cret ministĂ©riel ; lorsque l’inscription au rĂŽle de l’assemblĂ©e du contentieux est proposĂ©e au vice-prĂ©sident, le premier ministre en est tenu informĂ© ; le Conseil d’Etat Ă©tait co-auteur du dĂ©cret contestĂ© devant lui, puisque ledit dĂ©cret avait Ă©tĂ© pris sur son avis. Elle se plaint aussi de l’absence d’impartialitĂ© structurelle de la haute juridiction qui rĂ©sulterait, comme dans l’affaire Procola c. Luxembourg arrĂȘt du 29 septembre 1995, sĂ©rie A no 326, du fait que le Conseil d’Etat cumule des attributions consultatives et juridictionnelles, ainsi que du principe de la double affectation ». Des membres de la juridiction seraient de la sorte conduits Ă  examiner des actes administratifs sur lesquels ils ont prĂ©cĂ©demment rendu un avis ; en l’espĂšce, l’association requĂ©rante n’a pu obtenir une copie de l’avis du Conseil d’Etat sur le dĂ©cret litigieux et vĂ©rifier par ce biais si des membres de la sous‑section du contentieux qui ont siĂ©gĂ© en sa cause avaient participĂ© Ă  la formation de la section des travaux publics qui l’avait formulĂ©. Cela serait d’autant plus problĂ©matique qu’un certain nombre de membres du Conseil d’Etat ne sont pas recrutĂ©s par concours mais au tour extĂ©rieur », c’est‑à‑dire nommĂ©s directement par le Gouvernement. C’est ainsi que fut recrutĂ© et qu’est devenu membre de la section du conseil d’Etat qui a rendu l’avis litigieux la section des travaux publics le premier prĂ©fet coordinateur du projet de TGV Rhin-RhĂŽne qui, Ă  ce titre, avait Ă©tĂ© signataire, le 7 mai 1993, de la convention relative au financement et aux modalitĂ©s gĂ©nĂ©rales d’exĂ©cution des Ă©tudes prĂ©liminaires de la premiĂšre phase du projet ainsi qu’organisateur, en 1993, du dĂ©bat prĂ©alable » prĂ©vu par la circulaire Bianco du 15 dĂ©cembre 1992. Renvoyant notamment aux arrĂȘts Kleyn et autres c. Pays-Bas [GC], du 6 mai 2003 nos 39343/98, 39651/98, 43147/98 et 46664/99, CEDH 2003‑VI, et Sacilor-Lormines c. France, du 9 novembre 2006 no 65411/01, CEDH 2006-XIII, le Gouvernement rappelle que le dualisme fonctionnel du Conseil d’Etat ne pose pas en lui-mĂȘme un problĂšme sur le terrain de l’article 6 § 1. Il prĂ©cise ensuite qu’il ressort des vĂ©rifications opĂ©rĂ©es en l’espĂšce par le Conseil d’Etat qu’aucun membre de la formation qui a jugĂ© la cause de l’association requĂ©rante n’avait participĂ© Ă  la sĂ©ance de la section des travaux publics au cours de laquelle avait Ă©tĂ© examinĂ© le projet de dĂ©cret litigieux. Aucune confusion des rĂŽles ne serait au demeurant possible, les dĂ©ports en sĂ©ance de jugement Ă©tant depuis longtemps systĂ©matiques ; de surcroĂźt, l’article 122-21-1 du code de justice administrative introduit dans le code par le dĂ©cret no 2008-225 du 6 mars 2008 relatif Ă  l’organisation et au fonctionnement du Conseil d’Etat dispose dĂ©sormais que les membres du Conseil d’Etat ne peuvent participer au jugement des recours dirigĂ©s contre les actes pris aprĂšs avis du Conseil d’Etat, s’ils ont pris part Ă  la dĂ©libĂ©ration de cet avis ». A titre subsidiaire, le Gouvernement prĂ©cise que les questions soumises en l’espĂšce aux deux formations ne se recouvraient pas totalement. Enfin, le Gouvernement soutient que le Conseil d’Etat a pour rĂšgle de communiquer les avis lorsque les parties soulĂšvent un moyen tirĂ© de l’irrĂ©gularitĂ© de la consultation du Conseil d’Etat en pratique, la communication est opĂ©rĂ©e par le secrĂ©tariat gĂ©nĂ©ral du gouvernement », qui verse l’avis en question au dossier contentieux. Toutefois, il souligne que ces avis ne mentionnant pas les noms des personnes qui ont participĂ© au dĂ©libĂ©rĂ© de la section administrative, ils ne permettent pas de dĂ©terminer si tel membre d’une formation de jugement a pris part Ă  tel avis. L’association requĂ©rante, tirant ses conclusions de ce qu’aucun des membres du Conseil d’Etat ayant siĂ©gĂ© dans la formation qui a examinĂ© sa cause n’avait antĂ©rieurement participĂ© Ă  la formation qui avait rendu l’avis sur le dĂ©cret litigieux, reconnaĂźt qu’il n’y a donc pas eu mĂ©connaissance de l’article 6 § 1 de ce seul chef. Le fait qu’elle ne fut pas en mesure de le vĂ©rifier, Ă  dĂ©faut d’avoir pu obtenir une copie de l’avis du Conseil d’Etat, suffirait toutefois Ă  caractĂ©riser un manquement Ă  cette disposition. En outre, soulignant qu’en l’espĂšce les questions soumises Ă  ces deux formations peuvent passer pour la mĂȘme affaire », elle rĂ©affirme qu’un problĂšme structurel se pose et qu’il y a violation de l’article 6 § 1 Ă  raison du cumul par le Conseil d’Etat de fonctions juridictionnelles et administratives. Aux yeux de la Cour, il s’agit de dĂ©terminer si, dans les circonstances de la cause, le Conseil d’Etat possĂ©dait l’apparence » d’indĂ©pendance requise ou l’impartialitĂ© objective » voulue, Ă©tant entendu qu’il convient d’examiner ces questions ensemble, les notions d’indĂ©pendance et d’impartialitĂ© objective Ă©tant Ă©troitement liĂ©es voir, notamment, l’arrĂȘt Sacilor-Lormines prĂ©citĂ©, § 62. La Cour renvoie tout d’abord Ă  sa jurisprudence, et plus spĂ©cialement Ă  l’arrĂȘt Sacilor-Lormines prĂ©citĂ©, dans lequel elle a soulignĂ© que le fait que le Conseil d’Etat se rapproche organiquement de l’exĂ©cutif ne suffit pas Ă  Ă©tablir un manque d’indĂ©pendance ; elle a en outre jugĂ© les modalitĂ©s de nomination et de dĂ©roulement de carriĂšre des membres du Conseil d’Etat compatibles avec les exigences de l’article 6 § 1 §§ 65-67. La Cour rappelle Ă©galement, d’une part, qu’il ne lui appartient pas de statuer dans l’abstrait sur la question de savoir si les attributions consultatives du Conseil d’Etat sont compatibles avec ses fonctions juridictionnelles et les exigences d’indĂ©pendance et d’impartialitĂ© qu’elles impliquent, et d’autre part, que le principe de la sĂ©paration des pouvoirs n’est pas dĂ©terminant dans l’abstrait ». Il lui revient seulement de dĂ©terminer dans chaque espĂšce si l’avis rendu par la haute juridiction a constituĂ© une sorte de prĂ©jugement » de l’arrĂȘt critiquĂ©, entraĂźnant un doute sur l’impartialitĂ© objective » de la formation de jugement du fait de l’exercice successif des fonctions consultatives et juridictionnelles » Sacilor-Lormines prĂ©citĂ©, §§ 70-74. En l’espĂšce, sur ce dernier point et au vu des observations des parties, la Cour tient pour avĂ©rĂ© qu’aucun membre de la formation de jugement saisie de la demande d’annulation du dĂ©cret du 25 janvier 2002 n’avait prĂ©cĂ©demment participĂ© Ă  la formation qui avait rendu l’avis sur ce texte. Les circonstances de la cause diffĂšrent en cela fondamentalement de celles des affaires Procola et Kleyn et autres prĂ©citĂ©es. Certes, dans l’affaire Sacilor-Lormines, la Cour a nĂ©anmoins vĂ©rifiĂ© si les questions soumises aux deux formations pouvaient reprĂ©senter la mĂȘme affaire » ou la mĂȘme dĂ©cision » ». C’est toutefois Ă  titre surabondant qu’elle a procĂ©dĂ© de la sorte, sauf Ă  considĂ©rer qu’un problĂšme de principe se pose sur le terrain de l’article 6 § 1 du seul fait que le Conseil d’Etat cumule compĂ©tence juridictionnelle et attributions consultatives, ce qu’il n’appartient pas Ă  la Cour de juger. La Cour en dĂ©duit, sans qu’il soit nĂ©cessaire de rechercher si l’avis de la section des travaux publics du Conseil d’Etat sur le dĂ©cret du 25 janvier 2002 et le recours en annulation dirigĂ© ensuite contre ce mĂȘme dĂ©cret devant la section du contentieux du Conseil d’Etat pouvaient reprĂ©senter la mĂȘme affaire » ou la mĂȘme dĂ©cision » », que les craintes de l’association requĂ©rante quant Ă  l’indĂ©pendance et Ă  l’impartialitĂ© de la formation qui a jugĂ© sa cause ne sauraient passer pour objectivement justifiĂ©es. Compte tenu de ce qui prĂ©cĂšde, la Cour estime qu’il ne saurait davantage ĂȘtre soutenu qu’il y a eu violation de l’article 6 § 1 du seul fait que, faute d’avoir pu obtenir une copie de l’avis litigieux, elle ne fut pas en mesure de vĂ©rifier si des membres de la formation qui a jugĂ© sa cause avaient siĂ©gĂ© dans celle qui avait rendu celui-ci. Il rĂ©sulte de ce qui prĂ©cĂšde que cette partie de la requĂȘte, manifestement mal fondĂ©e, doit ĂȘtre dĂ©clarĂ©e irrecevable et rejetĂ©e en application de l’article 35 §§ 3 et 4 de la Convention. c Sur les autres violations allĂ©guĂ©es de l’article 6 § 1 de la Convention L’association requĂ©rante fait grief au Conseil d’Etat de ne pas avoir contrĂŽlĂ© la matĂ©rialitĂ© des faits » et de ne pas s’ĂȘtre prononcĂ© sur la rĂ©gularitĂ© de la mise en place des comitĂ©s de pilotage ». La Cour rappelle qu’aux termes de l’article 19 de la Convention elle a pour tĂąche d’assurer le respect des engagements rĂ©sultant de la Convention pour les Parties contractantes. Il ne lui appartient pas de connaĂźtre des erreurs de fait ou de droit prĂ©tendument commises par une juridiction interne, sauf si et dans la mesure oĂč ces erreurs pourraient avoir portĂ© atteinte aux droits et libertĂ©s garantis par la Convention voir, parmi d’autres, GarcĂ­a Ruiz c. Espagne [GC], no 30544/96, § 28, CEDH 1999-I. La Cour n’a notamment pas Ă  se substituer aux autoritĂ©s nationales pour trancher une question relevant de l’interprĂ©tation du droit interne voir Edificaciones March Gallego c. Espagne, 19 fĂ©vrier 1998, § 33, Recueil des arrĂȘts et dĂ©cisions 1998-I,. Il appartenait donc au premier chef aux juridictions internes d’interprĂ©ter et d’appliquer le droit national pertinent Ă  la procĂ©dure litigieuse et la Cour, dont le rĂŽle se limite Ă  ce stade Ă  vĂ©rifier la compatibilitĂ© avec la Convention des effets de pareille interprĂ©tation, estime Ă  cet Ă©gard que la procĂ©dure a, en l’espĂšce, satisfait aux exigences de la Convention. Il y a donc lieu de dĂ©clarer cette partie de la requĂȘte irrecevable et de la rejeter en application de l’article 35 §§ 3 et 4 de la Convention. 3. L’association requĂ©rante allĂšgue enfin une violation de l’article 1 du Protocole no 1. La Cour estime que ce grief est incompatible ratione personae avec les dispositions de la Convention, l’association requĂ©rante ne pouvant se prĂ©tendre elle-mĂȘme victime de la violation allĂ©guĂ©e du droit au respect des biens voir, par exemple, Marionneau et association française des hĂ©mophiles c. France dĂ©c., no 77654/01, 25 avril 2002. Il y a donc lieu de le dĂ©clarer irrecevable et de le rejeter, en application de l’article 35 §§ 3 et 4 de la Convention. Par ces motifs, la Cour, Ă  l’unanimitĂ©, DĂ©cide de rayer du rĂŽle la partie de la requĂȘte concernant le grief relatif Ă  l’absence de communication Ă  la requĂ©rante du rapport du conseiller rapporteur et du projet d’arrĂȘt dont le commissaire du gouvernement avait connaissance ; DĂ©clare la requĂȘte irrecevable pour le surplus. Claudia Westerdiek GreffiĂšre Peer Lorenzen PrĂ©sident
Leprincipe de rĂ©paration intĂ©grale est le principe en vertu duquel le responsable du prĂ©judice doit indemniser tout le dommage et uniquement le dommage, sans qu’il en rĂ©sulte ni appauvrissement, ni enrichissement de la victime. Ce principe trouve son fondement dans l’article 1382 du code civil aux termes duquel « Tout fait quelconque
Bourse PubliĂ© le 07/06/2022 Ă  1853 - Mis Ă  jour le 07/06/2022 Ă  1844 La Bourse de Paris a terminĂ© en baisse de 0,74% mardi, adoptant une position prudente avant la rĂ©union de la Banque centrale europĂ©enne BCE de jeudi et la publication vendredi de chiffres sur l'inflation aux États-Unis. L'indice vedette CAC 40 a perdu 48,43 points Ă  points. La veille, il avait gagnĂ© 0,98% grĂące Ă  la levĂ©e de certaines restrictions sanitaires en Chine, lors d'un lundi de PentecĂŽte restĂ© calme. Cette semaine, les regards vont se tourner vers la rĂ©union de politique monĂ©taire de la BCE, prĂ©vue jeudi. Sur les marchĂ©s europĂ©ens, tout le monde est focalisĂ© sur la BCE», a confirmĂ© Philippe Cohen, gĂ©rant de portefeuilles de Kiplink Finance, et on attend de savoir ce qu'elle va enclencher comme hausse des taux et sur quelle durĂ©e». Alors que depuis mars, la banque centrale amĂ©ricaine RĂ©serve fĂ©dĂ©rale, Fed relĂšve progressivement ses taux directeurs dans l'espoir de freiner l'inflation, la BCE n'a pas encore annoncĂ© prĂ©cisĂ©ment une hausse de ses taux. L'institution europĂ©enne devrait Ă©galement dĂ©cider jeudi l'arrĂȘt de ses rachats nets de dette, qui ont jusqu'Ă  prĂ©sent permis de soutenir les marchĂ©s avec des liquiditĂ©s abondantes. En l'absence de rĂ©sultats d'entreprises, les seuls catalyseurs des marchĂ©s sont l'Ă©volution des taux et l'inflation», souligne Philippe Cohen. Et sur le marchĂ© obligataire, les investisseurs ne savent pas sur quel pied danser. L'analyste de Kiplink Finance note que les taux obligataires sont trĂšs fluctuants en fonction des statistiques Ă©conomiques. Certaines montrent une inflation trĂšs Ă©levĂ©e et d'autres laissent penser qu'on a atteint un pic de hausse de prix, donc les diffĂ©rentes interprĂ©tations jouent sur les taux". Casino manque d'intĂ©rĂȘt L'action Casino a perdu 4,15% Ă  17,11 euros, aprĂšs la parution d'un article de BFM Business affirmant que sa filiale de production d'Ă©nergie renouvelable GreenYellow, Ă  vendre, n'attire pas beaucoup d'acheteurs. Dassault SystĂšmes en bas du tableau L'action de Dassault SystĂšmes a Ă©tĂ© pĂ©nalisĂ©e par la dĂ©gradation de la recommandation de Jefferies. Le titre a perdu 2,31% Ă  38,66 euros. Les banques en baisse Les banques françaises ont perdu du terrain mardi. SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale a reculĂ© de 1,72% Ă  25,20 euros, BNP Paribas de 1,56% Ă  52,45 euros et CrĂ©dit Agricole de 1,40% Ă  10,02 euros. Elles ont Ă©tĂ© Ă©pinglĂ©es par l'association de consommateurs UFC-Que Choisir, qui leur reproche leurs frais trop Ă©levĂ©s et appelle le gouvernement Ă  les rĂ©duire. Elles sont de plus touchĂ©es nĂ©gativement par la baisse des taux obligataires. Le Revenu, avec AFP Sujetde la page: "U.F.C. Ouvrons l'oeil ! - Martigues - CĂŽte Bleue - Etang de Berre - ufc que choisir martigues cĂŽte bleue ". Créé par: Fabrice Philippe. Langue: français. Économie Argent & Placements L’association de consommateurs, qui craint que le nombre d’impayĂ©s explose en 2021 en raison de la crise, appelle l’Union europĂ©enne Ă  lĂ©gifĂ©rer sur les pratiques dĂ©lĂ©tĂšres » de ce secteur. Des pratiques scandaleuses et parfois proches du harcĂšlement. » C’est en ces termes que l’association de dĂ©fense des consommateurs UFC-Que choisir a qualifiĂ©, jeudi 28 janvier, les agissements des sociĂ©tĂ©s de recouvrement de crĂ©dits, en pleine crise Ă©conomique liĂ©e Ă  la pandĂ©mie de Covid-19. Certains Ă©tablissements de crĂ©dit, bien dĂ©cidĂ©s Ă  tirer profit de la crise, n’ont rien trouvĂ© de mieux que de ressusciter les publicitĂ©s “pousse-au-crime” pour inciter Ă  souscrire des crĂ©dits Ă  la consommation », regrette l’association, Ă©voquant des impayĂ©s atteignant dĂ©jĂ  22 milliards d’euros, tous crĂ©dits confondus en 2020 1 700 euros par mĂ©nage emprunteur ». En dĂ©cembre, elle avait dĂ©jĂ  demandĂ© Ă  l’Union europĂ©enne UE d’obliger les banques Ă  proposer plus rapidement des mesures de restructuration Ă  leurs clients. L’association craint que le nombre d’impayĂ©s explose en 2021. Alors que la dĂ©flagration des impayĂ©s en 2021 mettra plus que jamais les consommateurs aux prises avec ces sociĂ©tĂ©s », l’UFC-Que choisir exhorte les lĂ©gislateurs europĂ©ens Ă  mettre au pas les pratiques dĂ©lĂ©tĂšres du secteur ». Pressions, culpabilisation, chantage Selon elle, le plan d’action de la Commission europĂ©enne contre les consĂ©quences Ă©conomiques de l’épidĂ©mie due au coronavirus aboutit Ă  aider les banques Ă  se dĂ©barrasser des crĂ©dits impayĂ©s Ă  des tiers, principalement Ă  des sociĂ©tĂ©s de recouvrement ». Ces derniĂšres rachĂštent Ă  vil prix des crĂ©ances jugĂ©es irrĂ©couvrables par les banques et dont certaines ne peuvent mĂȘme plus ĂȘtre rĂ©clamĂ©es en justice justificatifs perdus, dettes Ă©teintes, etc. », avant de faire le forcing pour en rĂ©cupĂ©rer le paiement en totalitĂ© ». Or, l’UFC-Que choisir s’alarme de la flambĂ©e des signalements sur les mĂ©thodes dĂ©lĂ©tĂšres » de ces derniĂšres, dĂ©biteurs et leurs proches contactĂ©s quasi quotidiennement durant des mois », ou honteuses pressions », parmi lesquelles culpabilisation ou chantage Ă  la dĂ©lation aux voisins ». De son cĂŽtĂ©, la FĂ©dĂ©ration bancaire française souligne, dans une rĂ©action transmise par courriel Ă  l’Agence France-Presse AFP, que le montant total des crĂ©dits Ă  la consommation reste stable », et n’a augmentĂ© que de 0,5 % entre novembre 2019 et novembre 2020 ». Par rapport Ă  ces chiffres, le risque de crĂ©dit est maĂźtrisĂ© en France, le ratio des crĂ©ances douteuses “non-performing loans” des banques françaises est plus faible que le ratio moyen des banques europĂ©ennes 2,3 %, contre 2,8 % au troisiĂšme trimestre 2020 », estime la mĂȘme source. La mobilisation des banques ne faiblit pas, en particulier en cette pĂ©riode, pour permettre Ă  leurs clients de surmonter les difficultĂ©s consĂ©cutives Ă  la crise sanitaire », a encore dĂ©clarĂ© la FBF. Lire aussi L’UFC-Que choisir dĂ©nonce l’opacitĂ© » des complĂ©mentaires santĂ© sur le taux de redistribution aux assurĂ©s Le Monde avec AFP Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. PlusrĂ©cemment, l'affaire UFC Que Choisir de CĂŽte d'Or c. France du 30 juin 2009 a prĂ©cisĂ©ment portĂ© sur l'absence de communication aux parties de la note du rapporteur et du projet de dĂ©cision, lacune perçue comme une violation du principe de l'Ă©galitĂ© des armes. TrĂšs opportunĂ©ment pour le Conseil d'Etat, le juge europĂ©en a rendu une dĂ©cision d'irrecevabilitĂ©. PubliĂ© le 14/04/2011 Ă  1048 Originaire de San Sebastian, nĂ© en 1921 d'un pĂšre arrĂȘtĂ© par Franco, engagĂ© en 36 Ă  l'Ăąge de 15 ans, Isaac Caseres a fui une premiĂšre fois son pays par la cĂŽte Cantabrique vers les Sables-d'Olonne puis rĂ©intĂšgre l'Espagne en 1937 en dĂ©barquant du cĂŽtĂ© de Tarragone oĂč il travaille dans la rĂ©paration d'armement. Or, en 1939, il lui faut quitter la PĂ©ninsule ibĂ©rique, comme 500 000 exilĂ©s qui fuient le rĂ©gime franquiste, pour se retrouver en camp Ă  ArgelĂšs -sur-mer, Bram 11 et Septfonds 82 et se poser Ă  Fumel oĂč il travaille clandestinement Ă  l'usine avant d'y rester jusqu'en 1981 aprĂšs 42 de carriĂšre. Issac Caseres, alias Luis, 90 ans, ne cesse depuis de parler de l'histoire de son pays. Manifestations Plusieurs manifestations sont prĂ©vues en Lot-et-Garonne, dont les 28, 29 et 30 avril Ă  Agen et Villeneuve puis le 14 mai Ă  Fumel et non le 9 avril comme initialement prĂ©vu.
L’UFC-Que Choisir de CĂŽte-d’Or, forte du bilan 2020 des campagnes d’achats groupĂ©s choisirsonfioul.fr, appell 03 fĂ©vrier 2021 Ă  13:12 Le bois des Gorges du lion a retrouvĂ© sa libertĂ©

ThĂ©matiqueAide Ă  la personne, maison de retraite, taux plein, pension de rĂ©version, sociĂ©tĂ© de tĂ©lĂ©assistance, assurance dĂ©pendance, 5e risque »... Pour aborder la vieillesse en toute sĂ©rĂ©nitĂ©, nos experts vous proposent des actualitĂ©s, enquĂȘtes, conseils et tests de produits et dans Senior » Tous les contenus des dossiers SeniorActualitĂ©Proche aidant ‱ Quels sont vos avantages fiscaux ? PubliĂ© le 07/07/2022 Les personnes qui viennent en aide Ă  un membre de leur entourage handicapĂ©, malade ou dĂ©pendant bĂ©nĂ©ficient de certains droits sociaux. Pour les soutenir, l’État leur accorde aussi certains avantages ‱ L’Aspa, une pension minimum peu sollicitĂ©e PubliĂ© le 26/06/2022 Depuis quinze ans, l’allocation de solidaritĂ© aux personnes ĂągĂ©es Aspa garantit un revenu minimal aux retraitĂ©s qui ont peu ou pas cotisĂ© Ă  l’assurance vieillesse. Elle a pris la suite des diverses prestations qui composaient le minimum vieillesse créé en 1956. Un filet de sĂ©curitĂ© essentiel
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 pour tenir, l’aidant doit se mĂ©nager des temps de repos. Mais il est difficile de les trouver et de les ‱ Que penser du service Veiller sur mes parents » de La Poste ? PubliĂ© le 04/01/2022 La Poste propose Veiller sur mes parents », un service qui s’appuie sur la visite des facteurs. Lors de leur tournĂ©e, ils prennent le temps d’ ‱ On tente de suivre l’exemple du baluchonnage quĂ©bĂ©cois PubliĂ© le 04/01/2022 Originaire du QuĂ©bec et testĂ©e en France, cette solution de rĂ©pit mĂ©rite d’ĂȘtre pĂ©rennisĂ©e. Son modĂšle Ă©conomique reste toutefois Ă  ‱ Le Danemark, un modĂšle inspirant PubliĂ© le 04/01/2022 Les pays scandinaves sont citĂ©s en exemple pour leur prise en charge de la perte d’autonomie. Afin de nous faire notre propre opinion, nous sommes allĂ©s Ă  Copenhague, la capitale ‱ RĂ©duire son activitĂ© professionnelle pour aider un proche PubliĂ© le 04/01/2022 Il est parfois essentiel de pouvoir mettre entre parenthĂšses sa carriĂšre, afin de prendre soin de son parent en perte d’ ‱ Et si les Ehpad devenaient attrayants et abordables ? PubliĂ© le 04/01/2022 En France, les Ă©tablissements pour personnes ĂągĂ©es souffrent d’une trĂšs mauvaise rĂ©putation, et c’est justifiĂ©. Il faut impĂ©rativement refondre le modĂšle pour proposer des lieux de vie dignes et financiĂšrement ‱ 4 conseils pour une arrivĂ©e en douceur en maison de retraite PubliĂ© le 04/01/2022 L’entrĂ©e en Ă©tablissement, souvent considĂ©rĂ©e comme la solution de dernier recours, est peu anticipĂ©e. Or, pour que les choses se passent bien, une prĂ©paration s’impose. En voici les Ă©tapes importantes*.EnquĂȘteDĂ©pendance ‱ Le soutien des enfants, une entraide obligatoire PubliĂ© le 04/01/2022 L’aide des enfants est souvent spontanĂ©e. Dans certains cas, elle est imposĂ©e par la loi. Et si soutenir son proche ne donne droit, en principe, Ă  aucune compensation, le parent aidĂ© peut vouloir manifester sa des retraites ‱ Le calendrier 2022 PubliĂ© le 04/01/2022 À Ă©choir ou Ă  terme Ă©chu ? Selon les rĂ©gimes de retraite, cette subtilitĂ© fait toute la diffĂ©rence sur les dates effectives de versement des pensions. Voici en dĂ©tail les calendriers 2022 des principaux rĂ©gimes de ‱ Une revalorisation en demi-teinte PubliĂ© le 01/11/2021 Les pensions de retraite complĂ©mentaire Agirc-Arrco vont ĂȘtre revalorisĂ©es de 1 % Ă  partir de ce 1er novembre. C’est moins que l’ en retraite 2021 ‱ Vos indemnitĂ©s sont-elles imposables ? PubliĂ© le 14/07/2021 Le rĂ©gime fiscal des indemnitĂ©s perçues par les salariĂ©s qui partent Ă  la retraite dĂ©pend des conditions de leur dĂ©part et de leur montant. Leur fraction imposable peut bĂ©nĂ©ficier du systĂšme du quotient pour en rĂ©duire l’ Ă  l’hĂŽpital et en Ehpad ‱ Des limitations injustifiĂ©es PubliĂ© le 24/06/2021 L’encadrement, voire l’interdiction, des visites aux proches hospitalisĂ©s ou en maison de retraite subsistent, sans que des raisons sanitaires les expliquent, et font des aidants ‱ Comment bĂ©nĂ©ficier de la nouvelle allocation journaliĂšre de la Caf ? PubliĂ© le 10/06/2021 Une allocation peut ĂȘtre versĂ©e aux personnes obligĂ©es de cesser provisoirement leur activitĂ© professionnelle pour s’occuper d’un proche en perte d’autonomie ou en situation de handicap. Le point sur les dĂ©marches Ă  effectuer. DĂ©cryptageActivitĂ© physique des seniors ‱ Visez la bonne dose PubliĂ© le 25/05/2021 Les repĂšres sur l’activitĂ© physique aprĂšs 65 ans dĂ©livrĂ©s par les autoritĂ©s de santĂ© mĂ©ritent quelques explications et Ăąge ‱ Comment repĂ©rer la fragilitĂ© PubliĂ© le 25/05/2021 Entre bonne autonomie et grande dĂ©pendance, la fragilitĂ© » des personnes ĂągĂ©es est un Ă©tat intermĂ©diaire qui mĂ©rite d’ĂȘtre identifiĂ© pour Ă©viter une dĂ©gradation de carriĂšre ‱ Un accĂšs bientĂŽt plus large Ă  la retraite progressive PubliĂ© le 12/03/2021 La retraite progressive doit bĂ©nĂ©ficier aux salariĂ©s en forfait jours rĂ©duit, comme c’est le cas pour les salariĂ©s Ă  temps partiel. Tel est le sens d’une rĂ©cente dĂ©cision du Conseil constitutionnel. des retraites ‱ Le calendrier 2021 PubliĂ© le 29/01/2021 À Ă©choir ou Ă  terme Ă©chu ? Selon les rĂ©gimes de retraite, cette subtilitĂ© fait toute la diffĂ©rence sur les dates effectives de versement des pensions. Voici en dĂ©tail les calendriers 2021 des principaux rĂ©gimes de 2021 ‱ À quoi s’attendre ? PubliĂ© le 14/01/2021 RĂ©forme Ă  l’arrĂȘt, moindres revalorisations des pensions
 Les retraitĂ©s, comme les futurs retraitĂ©s, sont impactĂ©s par la crise du ‱ 5 exercices Ă  faire sur une chaise PubliĂ© le 21/12/2020 Conserver une activitĂ© physique, mĂȘme lĂ©gĂšre, permet d’éviter les chutes et de renforcer sa musculature. Si votre Ă©quilibre est vacillant, pratiquez-la depuis votre chaise. ActualitĂ©ActivitĂ© physique ‱ Pas besoin d'exercice intense pour les seniors PubliĂ© le 07/11/2020 L'exercice physique est un outil de prĂ©vention efficace. Mais quelle est la bonne dose quand on est un senior ? Faire plus, ou plus intense, n'est pas forcĂ©ment la solution, d'aprĂšs une lecteurs ‱ Aidants, comment vous portez-vous ? PubliĂ© le 26/10/2020 Aide pour les tĂąches administratives, la toilette, les courses
 À lui seul, un aidant cumule un grand nombre de tĂąches, parfois au prix de sa propre santĂ© physique et morale. Ce sombre constat, vous l’avez confirmĂ© par vos rĂ©ponses Ă  notre enquĂȘte lecteurs votre rĂŽle d’aidant a un lourd impact.
DĂ©cryptageAidants ‱ Une santĂ© sacrifiĂ©e PubliĂ© le 26/10/2020 Prendre soin d’un Ă©poux malade, d’un parent vieillissant ou d’un enfant handicapĂ© peut s’avĂ©rer trĂšs prenant, voire Ă©puisant. Selon notre enquĂȘte lecteurs, vous ĂȘtes 77 % Ă  soutenir un proche, tous les jours ou presque. Bon nombre de personnes qui s’occupent ainsi d’un membre de leur famille


Itinérairesvers Cercle Généalogique de la CÎte d'Or à Dijon en empruntant les transports en commun. Les lignes de transport suivantes ont des itinéraires qui passent prÚs de Cercle Généalogique de la CÎte d'Or Bus: 18, 33, L4, L5; Tram: T2; Comment se rendre à Cercle Généalogique de la CÎte d'Or en Bus? Cliquez sur la ligne de Bus pour connaitre les
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