-35% Le deal Ă ne pas rater KRUPS Essential â Machine Ă cafĂ© automatique avec broyeur Ă ... 299 ⏠459 ⏠Voir le deal Morsmordre DEPARTEMENT DES MYSTERES. » Pensine. Corbeille AuteurMessageMorsmordre Democraty is always an abuse of statistics. » Sujet Faire le bien et le faire bien. Ven 28 Jan - 708 Et voilĂ , ouverture du premier sujet d'entraĂźnement des jeunes AD. Donc je laisse l'entiĂšre libertĂ© Ă Ted de monter son entraĂźnement comme elle l'entend, mais en fait pour ce premier cours il faudrait surtout de la pĂ©dagogie, des explications et tout, plus que des premiers sortilĂšges en eux-mĂȘmes. Que vous sachiez qui sont vos alliĂ©s et dans quoi vous vous ĂȘtes engagĂ©s.â- Lily L. Potter Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Sam 29 Jan - 1136 On est en mars. Il commence Ă faire beau, et en plus il fait bon. Un dĂ©but de chaleur, la fin de lâhibernation des marmottes. Eh oui, Lily se rĂ©veille ! Et câĂ©tait super rigolo de la voir se rĂ©veiller ! Bon, ce qui Ă©tait moins rigolo câĂ©tait le contrecoup de la manifestation en fait. Elle dĂ©testait de plus en plus les lieux clos, distribuait de violentes baffes Ă ceux qui osaient ne serait-ce quâĂ peine lâeffleurer, et elle Ă©tait verbalement plus violente avec ceux qui la charriaient sur sa crise dâagoraphobie. Puis de verbalement violente, elle devenait physiquement violente, et lĂ on sentait quâelle Ă©tait une gamine de Harpies, rien quâĂ la force des branlĂ©es quâelle collait Ă ceux qui lâemmerdaient. Lily se transformait en vĂ©ritable terreur 8D. Le dernier en date câĂ©tait un Serpentard qui lâembĂȘtait pour ⊠Excellente question, qui lâembĂȘtait quoi, et Lily lui avait collĂ© une dĂ©rouillĂ©e tellement sĂ©vĂšre quâelle avait envoyĂ© son camarade dâun mĂštre quatre-vingt quinze et le mĂȘme poids en muscles Ă lâinfirmerie. Donc maintenant on Ă©vitait un peu de lâemmerder, ce qui Ă©tait on ne peut plus tip top pour elle. Puis le changement se montrait aussi pendant les cours, surtout celui de mĂ©tamorphoses. Appartenant Ă ceux qui foutaient la merde pendant les cours des remplaçants, elle nâavait pas hĂ©sitĂ© Ă remettre sĂšchement Ă sa place un Ă©lĂšve qui voulait recommencer, et ce en plein cours de mĂ©tamorphoses. Personne nâembĂȘte le beau gosse lupin qui sera bientĂŽt son ⊠Euh ⊠Le mari de sa cousine Victoire. Donc son tonton ? Ouais on va dire. TONTON TED 8D. Hrm pardon XD. Enfin bref, lĂ actuellement elle Ă©tait dans sa salle commune, dans les cachots, sous le lac de Poudlard, et malgrĂ© sa claustrophobie agoraphobie aquaphobie â ouais ça fait beaucoup â elle sâen foutait totalement, aprĂšs cinq ans dâhabitude. AllĂ©luia. Bref. VautrĂ©e dans un canapĂ© Ă©meraude, elle papotait innocemment avec Meghan, genre on ne va pas se tirer dans moins de cinq minutes pour prendre part Ă un truc illĂ©gal, ce nâest pas du tout notre style voyons, et laçait ses chaussures. De jolies Doc Martens noires. Cool. En fait elle Ă©tait vĂȘtue comme un corbeau la demoiselle, ou plutĂŽt comme une mini-punk, ce qui faisait assez sensation dans sa salle commune. Et pourquoi personne ne lâavait encore abordĂ©e ? Peut-ĂȘtre parce quâun nounours dâun mĂštre quatre-vingt la tenait dans ses bras. Waw. Enfin en attendant, elle laçait ses pompes en papotant avec Meghan et en sirotant de la vodka tout en surveillant que son â beau et grand et sexy et magnifique et gruatant et nyutant â petit ami en reste Ă lâeau plate. Ou gazeuse. Enfin bref on sâen branle, Ă lâeau quoi. Se levant de son confortable canapĂ© â bon ok elle Ă©tait assise sur les jambes de Nathan â on ne la fixa pas trop longtemps parce que monsieur nounours se leva aussi en attrapant sa main. La classe moi je dis. Se hissant sur la pointe des Doc, elle posa ses lĂšvres sur celles de son Nathan â DE SON NATHAN A ELLE, espĂšce de pĂ©tasse peroxydĂ©e qui le reluque avec envie ! â et se dirigea vers la porte de la salle commune toute guillerette, couverte comme une marmotte anĂ©mique et frileuse non sans foudroyer la blondasse du regard. Ce ne fut que lorsquâelle vit celle-ci se pencher vers une de ses camarades pour murmurer dâun air mĂ©chant quâelle lĂącha sans sâen rendre compte la main de son petit ami pour se diriger vers la demoiselle et poser ses deux mains sur la table pour se pencher vers la sale blonde. Quoi, tâas un problĂšme ? » En effet, la façon dont tu reluques mon mec me dĂ©plaĂźt fortement. » Va falloir tây faire. » Je suis une Potter, pas une soumise. »Silence autour dâelles. Oui, Lily venait bien dâinsinuer que la blondasse Ă©tait une soumise. Pas du tout contente, celle-ci se leva, faisant abstraction de Nath qui sâapprochait dâun air menaçant. Tâes trop mignon mon cĆur > - qui faisait chier ceux qu'il pensait plus faible. Et bah ça c'est pas tombĂ© dans l'oreille d'un sourd. Il avait pas choisi le bon cheval... â Je me passerais du nombre de gars qui m'ont tapĂ© dessus, ça tient pas sur tes doigts, tu risques de te perdre dans le nĂ©ant de ta boite crĂąnienne. Pense pas ajouter les doigts de pied, y en a un peu plus. Ma copine, j'te jure que si tu l'approches je te tuerais avant qu'elle-mĂȘme ne prenne l'initiative de le faire. â- Si tu me touches Lou te collera. Et ouais, elle est prĂ©fĂšte. Toi t'es qu'une bouse. T'as plus que ta langue pour te dĂ©fendre, mais j'vais tellement te faire baver que tu pourras mĂȘme plus embrasser ta pĂ©tasse d' stop and go avant la rĂ©partie de notre redskin favori. Pour commencer, vous avez sĂ»rement compris que ce gars allait finir les dents par terre. Bon. Ensuite, je vous signalerais qu'il y a vraiment des cons pour oser s'attaquer directement Ă des types comme m'sieur Derek, celui que tout le monde rĂ©clame en garde du corps! D'ailleurs notre tas de muscles prĂ©fĂ©rĂ© vient de se lever subitement. Il venait aussi d'attraper le gars par le col pour le soulever du sol comme s'il n'avait Ă©tĂ© qu'un fĂ©tu de paille. De son bras non-enroulĂ© dans l'Ă©charpe of course. â Meghan Anna Prewett n'est pas une pĂ©tasse d'aristo. Si t'as que ça pour m'insulter tu peux toujours aller voir ailleurs, ça te coĂ»tera moins de dents. Ensuite, demande Ă tes parents de t'offrir des yeux en plus du cerveau que tu devrais avoir commandĂ© et du dentier dont tu vas bientĂŽt avoir besoin. Y a un petit badge collĂ© sur pull, il est pas lĂ pour faire joli. Et aux vues de comment Lou t'apprĂ©cie, on risque pas de me voir collĂ© Ă ta place. âMonsieur Pustules ne devait pas avoir grand chose Ă dire en plus. Parce qu'il se contenta de cracher sur le visage crispĂ© de colĂšre de Mister Gray. Ăa sonne pas erreur lĂ ? Y en a qui ont pas peur pour leurs vies. Le bras en Ă©charpe ne le fut soudainement plus - malgrĂ© les os encore fragiles, fuck la constitution du mĂ©tabolisme de Lycanthrope - et Derek balança son poing dans la joue du gars. Et avant que celui-ci ait pu rĂ©pliquer, il fit faire Ă son visage un aller simple sur la table oĂč ses pieds Ă©taient prĂ©cĂ©demment croisĂ©s. Puis il attrapa les cheveux du gars pour relever sa tĂȘte. Autour d'eux dans la salle commune plus personne ne parlait. Personne ne venait prendre la dĂ©fense de cet abruti. Trop peur de Derek. Et puis, il l'avait cherchĂ©. â Un ĂȘtre humain adulte normalement constituĂ© possĂšde un total de 32 dents. Tu viens de rejoindre la race des cons adultes qui n'en ont plus que 31, fĂ©licitations. Et si t'es pas sage, tu vas pouvoir inaugurer la race des cons adultes qui n'en ont plus du tout. âIl laissa retomber la tĂȘte du gars, attrapa son sac et sortit. Personne ne le suivit. Personne ne lui demanda oĂč il pouvait bien aller Ă cette heure tardive. Il allait Ă la rĂ©union de l'AD se passer un peu les nerfs. Bon Derek, promets que tu seras sage. On voudrait pas d'ennuis avec tes gentils copains. Le skinhead gravit rapidement toutes les marches et entra dans la salle sur demande sans faire de cĂ©rĂ©monie. Il avait la mine grave. Pourquoi lui cherchait-on toujours des embrouilles?! Lorsqu'il entra, il vit qu'il n'Ă©tait pas le premier arrivĂ©. Lily et Nathan Ă©taient dĂ©jĂ lĂ . Meg ne devait pas tarder, ou alors elle fouinait dans un coin et il ne l'avait pas vue. Un jeune Poufsouffle Ă©tait lĂ aussi. IdentitĂ© inconnue. Le Gryffondor salua Nathan et Lily d'un signe de tĂȘte. Il sourit aux paroles du jeune homme dont il ne connaissait pas le nom. Il lui tapota l'Ă©paule de sa main retournĂ©e dans l'Ă©charpe en riant doucement. â La vie Potter Raven crois-moi c'est pas du gĂąteau, mais c'est assez distrayant. Laisse-les faire ce qu'ils veulent, ils ne sont pas bĂȘtes et savent se raisonner... Et puis je les comprends. Y a mieux qu'un placard Ă balais. âIl se mit Ă rire doucement. Ăa allait mieux. Il ne manquait plus que SA Meg chĂ©rie d'amour et tout serait parfait, ou presque. DĂ©pĂȘche-toi beautĂ©, Derek l'a faim de toi te voir Lucy Robinson Time to save the universe again then, isn't it ? » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Dim 30 Jan - 552 Mais oĂč pouvait donc aller Lucy, toute seule ? Voyons, c'est Ă©videeeent, elle va sauver le monde ! Oui, Lucy a beauuuucoup d'espoir et quand elle part dans ses dĂ©lires Ă elle et bah elle pars vraiment trĂšs, trĂšs loin. Dans sa tĂȘte actuellement c'Ă©tait un peu genre une james bond girl, genre ultra dangereuse et tout et tout bon un peu moins sexy que les jmg la lucy, mais quand mĂȘme... qui doit pas ĂȘtre suivie sinon elle zigouile l'espion. Invincible quoi. Bon, une james bond girl perdue parce qu'elle retrouve pas se foutu couloir de merde. C'est pas sa faute non plus si elle a pas de gps intĂ©grĂ© dans le petit orteil gauche, et qu'en plus on lui a pas filĂ© de plan. Elle n'arrivera jamais vivante Ă la rĂ©union... Finalement super-Lucy a rĂ©ussi a retrouver son chemin, fallait prendre l'escalier et ensuite tourner Ă gauche et non Ă droite comme elle l'avait fait juste avant. Elle regarda la porte soigneusement cachĂ©e derriĂšre la tapisserie, priant dans toute les langues pour que ce ne soit pas un placard Ă balai ou un autre truc du genre ultra Ă©troit, ultra sans lumiĂšres, etc. Mais plutĂŽt la planque de super hĂ©ros avec tout plein de gadget partout, ou un vrai camp d'entraĂźnement oĂč tu peux Ă©clater en vrai les cobayes Ă qui t'envoie les sorts. Lucy serait elle devenue vraiment violente ? Nan, c'est toujours presque la rĂ©incarnation de Ghandi, mais la non-violence ça marche pas donc elle passe aux stades supĂ©rieurs. Et puis la magie, c'est pas vraiment violent, vus que tout le monde est Ă presque Ă©galitĂ©, pas comme avec des muscles. Elle poussa la porte, les yeux pleins de curiositĂ©s, si ça tombe elle sera mĂȘme la premiĂšre arrivĂ©e !DĂ©cetpion. DĂ©jĂ , il y a dĂ©jĂ des gens. Et puis des livres, des toooonnes de livre jusqu'au plafond, pas que Lucy soit analphabĂšte ou livrophobe. Mais c'est pas avec une bibliothĂšque bien garnie qu'on va rĂ©ussir Ă sauver le monde. Elle salua le couple d'un sourire, et dĂ©posa un bisou sonore sur la joue de son Derekounet parce qu'il a grave la classe maintenant qu'il est prĂ©fet et Lou aussi, cey ses coupaing a elle qui sont les meilleurs *-* en faisant attention Ă ses blessures de guerres. T'Ă©tais oĂč ?! J't'ai cherchĂ© partout moi tout Ă l'heure. J'ai mĂȘme faillis mourir en me perdant dans les couloirs ! »Hop, bouille faussement scandalisĂ©e avec les mains sur les hanches. Vilain Derek qui n'a pas attendus Lucy. Vi-lain. A vrai dire elle avait cherchĂ© deux minutes puis elle avait trouvĂ© quelqu'un d'autre qui acceptĂ© de la supporter genre Dante Ă tout hasard, et elle n'avait pas cherchĂ© dans la salle commune des gryffons, ni dans beaucoup d'endroits et recoins du chĂąteau d'ailleurs, la patience c'est pas son truc Ă la Blondinette. Et de toute façon elle Ă©tait totalement incapable de faire la tĂȘte Ă Derek ou de lui en vouloir pour quoi que ce soit. Et c'est pas un couloir qui allait rĂ©ussir Ă tuer Lucy, elle est in-vin-ci-bleuh je vous rappel. Lucy abandonna Derek, vagabondant entre les bibliothĂšques se demanda sĂ©rieusement Ă quoi ça pouvait servir et en pensant que celui qui avait fait apparaĂźtre tout ça il devait avoir un problĂšme psychologique, vus qu'il n'y avait mĂȘme pas de petits aiglons tout timide en train de se gaver de littĂ©rature dans la salle, c'Ă©tait un de ceux dĂ©jĂ lĂ qu'elle logiiiique Princesse. Beurk, beurk des livres poussiĂ©reux, elle Ă©tait venu lĂ pour casser du mangemort, manger des petits serpentards pas beaux. Pas pour avoir un cours d'histoire de la magie ou de littĂ©rature. DĂ©pitĂ© Lucy fis mine de s'interesser aux livres entreposĂ©s. Tiens un Andras. Stop. On repose le livre. A Babord touuuuute ! ANDRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAS ! »Qu'elle classe et qu'elle discrĂ©tion Lucy quand mĂȘme. Mais c'Ă©tait vraiment un crie du coeur, c'Ă©tait peut ĂȘtre la seule Ă ĂȘtre totalement hystĂ©rique dans la piĂšce, mais elle s'en fichait totalement. Et vazy qu'elle se jette pas qu'Ă moitiĂ© dessus et qu'elle manque de l'Ă©touffer en se pendant Ă son cou uh pourquoi tout le monde fait genre trois mĂštres de plus qu'elle.. dans un de ses super-giga cĂąlin tellement elle est trop contente de le voir. D'ailleurs, ça se voyait Ă son immense sourire puissance dix mille qu'elle Ă©tait contente de retrouver son ami Ă elle ici. Elle Ă©tait toujours contente de voir Andras, il y avait trop de bon souvenir auquels il appartenait. Andras c'Ă©tait sa compote Ă elle, celui qui l'appel pompotte, elle le bouffe. C'est trop bien que tu sois la aussi ! Pourquoi tu m'l'avait pas diiiiis ! Tant pis. Mais quand mĂȘme c'est Ă©noooorme ! »Pauvre de vous, la pile Ă©lectrique et sa voix qui part dans les aigus est en marche, rien ne l'arrĂȘte, elle a un monde Ă sauver. Et un ami Ă Ă©touffer dans ses bras avec amour Lysander Dragonneau Only two synonyms ? I'm losing my perspicacity ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Lun 31 Jan - 523 Lysander Ă©tait vautrĂ© sur un canapĂ© dans la salle commune de la tour des Serdaigles. Il avait un peu les cheveux Ă©bouriffĂ©s - et ça ne lui allait pas mal, ma foi - ainsi qu'un sourire aux lĂšvres. Oui, il souriait. D'habitude impassible, l'air toujours rĂȘveur, il arborait cette fois un sourire en coin. TrĂšs lĂ©ger. Mais un sourire. D'ailleurs, ce curieux petit sourire sucitait beaucoup de questions. On lui avait dĂ©jĂ demandĂ© au moins trois fois s'il avait rencontrĂ© un joli Bisounours dans son monde parallĂšle. Pas de Bisounours dans son monde, mais cette idĂ©e lui plaisait bien. La raison de son "bonheur" d'aujourd'hui Ă©tait autre. Aujourd'hui, c'Ă©tait le grand retour de l'AD. En digne fils de Luna Lovegood, Lysander avait Ă©tĂ©, tout petit, bercĂ© par les rĂ©cits trĂšs enthousiastes de sa mĂšre lorsqu'elle lui contait les rĂ©unions de l'ArmĂ©e de Dumbeldore. Il y avait tant de choses... La Salle sur Demande, les cours dirigĂ©s par Potter, le systĂšme des piĂšces... Bref, tout cela l'avait captivĂ©. C'Ă©tait presque devenu un mythe, tout comme le Ronflax Cornu. Mais voilĂ que grĂące Ă son grand ami en taille et en Ăąge notamment Ted Lupin, cette association de dĂ©fense revivait. Certes, cela voulait dire que les temps n'Ă©taient pas au plus haut de leur forme, mais c'Ă©tait quand mĂȘme une bonne chose, cette armĂ©e. Et aujourd'hui, c'Ă©tait la premiĂšre rĂ©union depuis bien des annĂ©es. Cooool, non ? Qui vient faire un tour dehors ? » demanda le Dragonneau. Mouarf, pas envie. Moi perso, je reste lĂ . »Bon, il avait reçu le message. Les autres prĂ©fĂ©raient rester lĂ , bien au chaud. Mais le Serdaigle se sentait l'envie de sortir un peu, de prendre l'air. Passant chercher de quoi se couvrir un peu, Lysander descendit de la tour et dĂ©boula dans le parc oĂč - comme il s'y attendait - il n'y avait pas grand monde. LĂ , il marcha un peu, le nez en l'air. Le ciel Ă©tait beau. Le silence Ă©tait apaisant. Il n'avait pas l'air d'un type qui allait participer Ă une rĂ©union illĂ©gale. Car c'est bien illĂ©gal, cette rĂ©union de l'AD. Mais bon, comme dit le dicton... Jamais deux sans trois. Dragonneau avait participĂ© Ă la fĂȘte clandestine dont il gardait un bon souvenir on se demande pourquoi XD et aussi Ă la manifestation, dernier regroupement de jeunes en date. Quand il rĂ©flĂ©chissait, il se disait qu'il Ă©tait un vilain garçon qui faisait des vilaines choses. Vilaines... Du point de vue de l'autoritĂ©. Lui Ă©tait content de montrer que justement, il n'Ă©tait pas content. Car, si le grand rĂȘveur avait la tĂȘte dans les nuages, il n'en avait pas moins les pieds sur terre, et avait Ă©galement un avis et un mot Ă dire. Ă sa beau gosse glandait dans le parc, tout seul. On aurait pu croire qu'il Ă©tait Ă la recherche de quelque chose. Du bonheur ? De lui-mĂȘme ? Non non, il cherchait juste Ă faire passer le temps, en dĂ©finitive. Dans cette atmosphĂšre de calme, il aurait bien fait un truc dingue. Lucy, t'es dispo' pour danser un petit rock dehors comme ça ? Ou mĂȘme un ballet, si tu prĂ©fĂšres. Qui chante avec moi du Nirvana ? Qui veut venir chercher Ă quoi ressemblent les nuages ? Mais non, personne. Il Ă©tait seul, seul avec sa montre qui bientĂŽt lui indiqua que c'Ă©tait l' il se prĂ©senta devant la vieille tapisserie, il n'y avait personne. Une fois qu'il eut fait apparaĂźtre la porte, le Serdaigle s'empressa d'entrer. Il aimait bien cette piĂšce. DĂ©jĂ , il y avait des bouquins. Pleins de bouquins. Studieux comme tout bon Serdaigle qui se respecte, il Ă©tait, sans ĂȘtre un rat de bibliothĂšque, quelqu'un qui apprĂ©ciait les livres, ou plutĂŽt ce qu'on trouvait dans les livres. Ăa le rendait dingue d'ailleurs, de ne pas pouvoir tous les lire. C'Ă©tait comme renoncer Ă un savoir pour en valoriser un autre. Mais bref. ll y avait donc dans cette piĂšce des livres, des canapĂ©s, et des gens en question n'Ă©taient pas nombreux. Deux Gryffondors, l'un prĂ©fet, l'autre inconnue au bataillon, ainsi qu'un Poufsouffle qu'il ne connaissait pas non plus. Et puis il y avait aussi Nathan et Lily - suis-je vraiment obligĂ©e de citer deux noms lorsque deux suffisent ? - le beau gosse et la belle gosse. Bref, du beau monde. Des gens qu'on s'attendait Ă trouer ici. Et d'autres pas. Mais bon, aprĂšs tout, ils Ă©taient ici pour apprendre ensemble pleins de belles choses, et aussi Ă mieux se connaĂźtre. Comme les alcooliques anonymes, avec le problĂšme de boissons et l'anonymat en moins. Pareil mais en diffĂ©rent quoi. Pour le moment, il Ă©tait le seul Serdaigle. 'Lut tout le monde. »Pris soudain de l'envie irrĂ©sistible d'aller voir si ces canapĂ©s Ă©taient confortables, Lysander s'Ă©croula sur l'un d'entre eux dans une position tout Ă fait normale, Ă savoir les genoux pliĂ©s sur l'accoudoir, les pieds dans le vide, allongĂ© en long sur le sofa, la tĂȘte sur le second canapĂ©. La meilleure technique pour pouvoir occuper tout seul un espace prĂ©vu pour plusieurs personnes. Qu'on Ă©tait bien lĂ -dessus. Lucy Weasley You have ten fingers ? Oh, me too ! Let's be friends ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Mar 1 FĂ©v - 505 "MiaĂŽw?"Lucy se retourna sur le flanc avec un grognement, encore perdue dans les brumes de son rĂȘve, et soupira sans s'en rendre compte, dĂ©rangĂ©e en pleine phase de sommeil paradoxal. Le sommeil paradoxal c'est sacrĂ©, bon sang! Elle se roula sous la couverture, et termina si bien son rĂȘve que son oreiller alla rejoindre, par terre, le livre lu la veille, ses vĂȘtements en vrac, sa brosse Ă cheveux, quelques menus objets scolaires, un panier, et la housse de couette."MIAAW"La jeune fille se rĂ©veilla en sursaut, d'un bond, avec une sorte de grognement inarticulĂ© censĂ© signifier, en gros, c'est bien gentil tout ça mais je dors. La Poufsouffle tendit la main vers le rĂ©veil pour voir l'heure, mais elle n'eut pas le loisir d'attraper l'objet une boule de poils blanchouillarde venait de se loger contre son menton en vibrant. Si, comme un tĂ©lĂ©phone. Lucy sourit malgrĂ© elle et caressa la fourrure de Hoshi, occupĂ©e Ă patouiller sur son humaine. Sans les griffes Hoshi. Puis le petit chat, comprenant que l'humaine n'Ă©mergeait pas, passa de l'autre cĂŽtĂ© et patouilla cette fois sur son dos. Bon Dieu Hoshi, SANS LES GRIFFES. Ronronnant Ă pleine gorge, des fois que Lucy aurait eu l'idĂ©e saugrenue de se rendormir, la boule de poils vint nicher son museau dans le cou de la jeune fille qui maudit intĂ©rieurement le jour oĂč elle avait dĂ©cidĂ© d'adopter cette bĂȘte qui la dĂ©rangeait en plein cĂąlin, en plein rĂȘve et aussi en plein sommeil. Non, pas les trois en mĂȘme temps, pas encore. Bref. Lucy attrapa sa bestiole d'un revers de main et soupira en la posant contre sa poitrine, comme une peluche, avant de se rendormir. Elle sentit, dans sa lĂ©thargie, Hoshi se hisser hors de ses bras pour sauter du lit et sourit; elle Ă©tait probablement partie embĂȘter quelqu'un d'autre..."QUOI?"Lucy glapit en repliant son genou droit. Une chose non identifiĂ©e s'Ă©tait agrippĂ©e Ă son pied; une chose qui piquait et semblait aussi humide. Une chose qui chatouillait maintenant son autre pied. La Poufsouffle lĂącha en bloc tout ce qu'elle connaissait en matiĂšre de jurons et autres scrogneugneus, mais Hoshi, qui avait appris Ă connaĂźtre Lucy, ne broncha pas et vint lui lĂ©cher la joue, en ronronnant encore. Puis se leva et lui tourna autour en patouillant. Oui boule de poils, c'est bon, gagnĂ©...Lucy se leva en bĂąillant et alla nourrir son chat, avant de l'observer en souriant. Kro meugnonne...Hoshi, une fois son repas terminĂ©, remonta sur le lit et s'installa au niveau de l'oreiller, han c'est trop bien l'oreiller, pas vrai? Lucy allait faire de mĂȘme lorsqu'elle avisa l'heure. Trop taaard, merci Hoshi! Elle s'habilla donc tranquillement, alla prendre son petit dĂ©jeuner Ă cĂŽtĂ© d'un Poufsouffle surexcitĂ© qui agitait dangereusement sa fourchette en braillant"Je suis un T-Rex!"...Certes. Il Ă©tait en train d'expliquer Ă un prĂ©fet venu aux nouvelles que c'Ă©tait un pari lorsque Lucy s'Ă©clipsa. La suite de la journĂ©e se dĂ©roula plus ou moins normalement, quelques cours, quelques devoirs, rien que du bien naturel...quelques pĂ©tasses aussi. EspĂšce en voie d'apparition, vit en meute, cri le gloussement. Synonyme, dinde. La jeune fille n'attendait en fait qu'une chose, deux petites fameuse, euh, "Association de DĂ©fense" disons, n'est ce pas, Ă©tait le fait du pĂšre de Lily, Harry Potter, Ă l'Ă©poque de sa scolaritĂ© Ă Poudlard, et face au peu d'action du MinistĂšre, face aux Mangemorts potentiels et Ă la dinde rose Inquisitrice, Ted Lupin avait dĂ©cidĂ© de la remettre en place. Bonne idĂ©e Teddy, ça nous fera des choses Ă raconter Ă nos petits-enfants...Lucy finit donc par trouver l'entrĂ©e et pousser la porte bien cachĂ©e de cette salle, et mesdames et messieurs, nous avons recueilli les premiĂšres rĂ©actions."Oh, je voyais ça plus petit. C'est grand en fait...et puis c'est beau!!"Lucy tourna plus ou moins sur place quelques instants, le nez en l'air. Ooh c'Ă©tait superbe tout ça, une salle magnifique, et des gens dedans. Des gens qu'elle connaissait pour la plupart, Ă savoir Lily Potter, sa cousine adorĂ©e chĂ©rie d'amour, celle qu'elle avait tout d'abord Ă©vitĂ©, rebutĂ©e par l'exubĂ©rance de la jeune fille, et qu'elle apprĂ©ciait fortement dĂ©sormais. Son copain Nathan Raven, le nounours de Lily, toujours aussi...nounoursien et pelucheux. Lucy ne le dĂ©visagea pas, vu les regards assassins qu'il lui lançait parfois, il aimait pas qu'on le regarde. Tant pis mon gars. Il y avait aussi Derek, miraculeusement recollĂ© aprĂšs son, euh, fracassage en rĂšgle Ă la manifestation -Sader ça adhĂšre!!- et une Gyrffondor que Lucy ne connaissait pas vraiment. Enfin dĂ©boula Andras, un joli Poufsouffle que Lucy trouvait trĂšs gentil, et qui l'amusait car il avait la manie de virer au rouge ou au rosĂ© en lui parlant...timide, mais brave gars. La Gryffondor lui sautait au cou comme une furie lorsque Lucy remarqua le dernier arrivĂ©, enfin, le dernier avant elle, dĂ©jĂ avachi dans un canapĂ© dans une pose bien peu conventionnelle, avec des cheveux Ă©bouriffĂ©s du genre "coiffĂ© avec un pĂ©tard Weasley", mais ça lui allait plutĂŽt bien. Vous avez compris qui c'Ă©tait? Nan? Pas grave, on va la refaire. Lysander Dragonneau s'Ă©tait affalĂ© dans un sofa et rĂ©ussissait l'exploit d'en occuper deux Ă la fois. Lysander Dragonneau, l'aiglon prĂ©fĂ©rĂ© de Lucy et pour cause, y en avaient pas tant que ça qui l'embrassaient dans le parc. Au passage, remercions Lily qui pourra devenir marieuse si jamais elle est au chĂŽmage, elle sait caser les gens. Lucy acheva donc sa discrĂšte entrĂ©e"Bonjour tout le monde..."Et remarqua qu'on ne la remarquait pas. Bon, en soi elle s'en foutait, alors elle alla droit vers Lysander et lui sourit"Hello...tu me laisses un peu de place?"Puis la Poufsouffle s'assit Ă l'endroit qu'il avait laissĂ© libre, ben ouais, tu ne peux pas occuper TOUT le sofa Ă toi tout seul cher aiglon, et balaya un peu la salle du regard. Oui, c'est grand. Oui, elle l'a dĂ©jĂ dit et alors? C'est vraiment s'Ă©tira. Mon dieu ce sofa, c'Ă©tait encore mieux que son oreiller. Il ne manquait que la fonction bouillotte Ă ce canapĂ© et la fonction bouillotte Ă©tait plus ou moins assurĂ©e par le Serdaigle qui larvait juste Ă sa droite. Lucy pencha la tĂȘte pour l'observer puis, amusĂ©e, lui effleura les cheveux de la main -ben ouais, il est allongĂ©, elle est assise donc elle est plus haute, CQFD- et lança avec un petit sourire"Bien installĂ©?" Dominique Weasley Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Jeu 3 FĂ©v - 1013 Domi fixa les deux Serdaigles avec une mine quelque peu surprise. Lily Ă©tait quoi ? Une trainĂ©e qui sortait avec un punk dĂ©bile aux allures dâours mal lĂ©chĂ© ? CâĂ©tait bien ça ou ⊠? Les deux aiglons semblaient en pleine crise de nerf et parlaient ensemble en piaillant tels les poulets quâils Ă©taient. Les pauvres nâavaient pas encore remarquĂ©s la prĂ©sence de la petite quatriĂšme annĂ©e qui les reluquait dâun air mauvais. Apparemment, le grand brun semblait dire que Lily avait envoyĂ© un de ses potes Ă lâinfirmerie. Domi secoua la tĂȘte, le pote en question Ă©tait un parfait chieur et sa cousine avait Ă©tĂ© dâune grande aide au peuple de Poudlard en Ă©liminant ce mec des couloirs du chĂąteau, du moins pour un certains temps. Et donc, aprĂšs avoir rendu un service public assez important, voici que miss Potter se faisait insulter. Quelle mesquinerie, je vous jure >.<. Lucy fila un coup de coude plus ou moins discret Ă Andras pour qu'il se prĂ©sente Ă son tour, un peu de soutient ne lui fera pas de mal ! Elle s'installa un peu plus confortablement dans le canapĂ©, scrutant la porte d'entrĂ©. Alleeez, vieeens, steuplaßßßt... Si Ă trois tu ramĂšne pas tes jolies fesses illico, elle te boude. Uuuuuuuun... Deuuuux... Deuuuux et demi... Allez, dĂ©pĂȘeeche, c'est pas juste qu'il n'y ait que elle sans son amoureu... Deux trois-quaaaaaarts... Eeeeet... Trois. Pfeuh. Pas juste. Mine déçu du cĂŽtĂ© de Lucy qui voulait vraiment voir rappliquer son Dante sur le champ. Peut ĂȘtre qu'il est pas au courant aprĂšs tout. Tout simplement. InvitĂ©InvitĂ© Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Sam 5 Mar - 2159 Malheureusement pour toi, Lucy, ce ne fut pas le beau cul de Dante qui vint ravir ta vue sur le seuil de la porte. Non non, ce fut celui d'une blonde, nĂ©anmoins trĂšs joli aussi celon certains point de vue, qui put s'incruster dans ton champ de vision si tu regardais par lĂ . Une Lou Ă©chevelĂ©e, d'ailleurs, Ă l'air quelque peu essoufflĂ©e. - BIP, retour en arriĂšre -Ombrage. Bouh, qu'elle est moche, vilaine, pas belle, rose et tout le toutim. RidĂ©e, bien Ă©videmment. Enfin bref, notre chĂšre et bien aimĂ©e inquisitrice. Pas foutue d'affirmer un tant soit peu d'autoritĂ©, celle lĂ . La preuve, il suffit qu'elle vire une blondasse et un prof' en se sentant toute puissante pour que BAM, tout lui explose Ă la figure. Manifestation qui s'ensuit. Et qui, comme bien des manifestations, dĂ©gĂ©nĂšre. La pauvre inquisitrice, qui voit son chĂąteau de carte s'effondrer sous ses yeux, ne fait ni une ni deux Elle appelle des brigadiers magiques. Qui cassent tous, ces crĂ©tins. Mobilier comme Ă©lĂšves. Et lĂ , dieux apparaĂźt. Non, plutĂŽt la ministre. On emporte les Ă©lĂšves cassĂ©s Ă l'infirmerie pour une rĂ©paration en ordre, et lĂ , sur un petit lit, telle blanche neige version blonde aux cheveux blonds matraquĂ©e. Ou, pour faire plus court, sĂ»r, notre chĂšre inquisitrice n'a pas gagnĂ© Ă la donne. Il n'empĂȘche que si tĂŽt rĂ©tablie, notre Lou internationale a normalement un rendez-vous en tĂȘte Ă tĂȘte avec le crapaud rose, qui, d'une humeur massacrante, n'hĂ©siterait pas Ă lui faire copier une phrase de 250 mots, comme si sa main n'Ă©tait pas dĂ©jĂ assez charcutĂ©e. Sauf que, non, c'est pas possible. Bawaii, Madame, Ă la mĂȘme heure il y a regroupement de l' ArmĂ©e de Dumbledore pour les incultes. L' reformĂ©e. L' nouvelle, dirigĂ©e par notre Ted Lupin bien aimĂ©. Et vous vous doutez bien qu'il est impensable, inimaginable, IRREALISABLE qu'elle n'y soit pas. Surtout que sa Lulu l'y attendait. Et que Lulu elle avait une patience Ă deux clous et elle allait la torturer jusqu'Ă ce que mort s'ensuive si elle ne venait pas. Et que, elle prĂ©fĂ©rait aller se pendre plutĂŽt que de rater ça. Enfin bref, c'Ă©tait pourquoi elle avait soigneusement Ă©laborĂ© tout un plan. Celon les thĂ©ories, Ă cette heure-ci prĂ©cise, l'inquisitrice-chĂ©rie-d'amouur serait dans son bureau en pleine conversation avec sa thĂ©iĂšre. Elle attendrait, sagement assise, que Lou lui arrive servit sur un plateau d'argent en marchant sur ses petites jambes pour aller lui faire une courbette et un baise-main, tant qu'on y Ă©tait, avant de s'assoir pour copier soigneusement des graffitis inutiles qui lui scrabouillaient la main - C'Ă©tait moche et ça faisait mal, en fait -. MAIS LA ! GĂ©nie Lou intervenait. En fait, il lui suffisait d'utiliser ses petites jambes, non pas pour se rendre dans le bureau d'Ombrage, mais dans la salle sur demande, en compagnie de tous ses camarades rĂ©sistants et frĂšres de coeur ! MOUAHAHAHA. Bon ok, elle aurait quelques ennuis aprĂšs. Mais pour quelques ennuis en plus, sincĂšrement.. Ca lui passait au dessus. Ding-dong, c'est l'heure. Euhh.. En fait, c'est mĂȘme plus que l'heure. Mais bon sang, c'est trop compliquĂ©, pour toi, de regarder l'heure, Lou ?! La blonde bondit du fauteuil dans lequel elle Ă©tait avachie, franchit la porte en manquant de se la prendre dans la figure, et s'engage un sprint dans les couloirs. Mais, que vois-je ? Oui, au fond du couloir, des talons roses ! Demi-tour toutes, on prend un autre chemin, peut ĂȘtre un peu plus long, mais sans menaces Ă talons dans le champ de arrivĂ©e devant la statue. Qu'est-ce qu'il faut faire dĂ©jĂ ? Ah, ouais. Penser trĂšs fort Ă ou tu dois ĂȘtre, et patati et patata, tout en marchant devant le mur comme un demeurĂ©. La lionne s'exĂ©cute et, OUF, miracle, une porte. Nous sommes sauvĂ©s. - DING, retour dans le prĂ©sent. -Se dĂ©cidant enfin Ă rentrer, notre Lou internationale lance un petit '' Salut '' Ă la cantonnade parce que la flemme de dire bonjour Ă tout le monde, avant de se diriger vers SA Lulu, en grande conversation avec Andras. Tiens, Andras fait parti de l'AD ? Ah, mais c'est sympa ça ! Elle eut juste le temps d'entendre le salut de Lucy qui ressemblait Ă une prĂ©sentation militaire. '' T'aurais put trouver mieux pour te prĂ©senter, ça fait un peu coincĂ©e, lĂ ! '' Lui dit-elle, avec un sourire moqueur, mine-de-rien. Lucy Weasley You have ten fingers ? Oh, me too ! Let's be friends ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Dim 6 Mar - 637 Lucy allait adresser la parole aux nouveaux venus, lorsque Lily s'adressa Ă elle, et la jeune fille souleva un sourcil. Un placard, mais pour quoi faire? Ah...Pour...aaah. Lucy venait de comprendre et, bien qu'elle le refusĂąt, une vilaine rougeur monta sur ses joues. Un placard, mais, Lily avait vraiment de drĂŽles d'idĂ©es, ce ne devait pas ĂȘtre bien confortable et puis, un placard c'est pas bien grand, en plus...pas pratique tout ça. Comment ça, qu'est ce qu'elle en savait? Bonne question, en fait elle n'en savait rien, elle n'avait jamais essayĂ©, elle. Hein Lily? Restons classique, un lit suffira trĂšs bien. En attendant, elle rougissait. Une Poufsouffle rouge, regardez tous car c'est rare, d'ordinaire ces bestiaux-lĂ Ă©taient plutĂŽt du genre jaunĂątre, vous savez, un peu la couleur des boutons d'or, du jus d'orange industriel ou des colorants de ces bonbons crocodiles auxquels Lucy avait voulu apprendre Ă nager quand elle Ă©tait petit. Ils s'Ă©taient dissous, les salopards. Enfin, en tous cas les Poufsouffles Ă©taient plutĂŽt du genre jaune. C'Ă©tait d'ailleurs Ă©trange, quand on y pensait...pour ĂȘtre d'une telle couleur, ils avaient des problĂšmes de foie? Logiquement, les Serpentards auraient dĂ» ĂȘtre les jaunes, vu ce qu'ils buvaient ils avaient de quoi se flanquer quelques cirrhoses. Mais bon, eux ils Ă©taient verts. Vu ce que Lily pouvait s'enfiler comme bonbons, cela ne surprenait pas non plus d'ailleurs. Et les Serdaigles. Les bleus. Ils venaient de Pandora, bwahaha. Nan, pas de Pandora Hearts, de Pandora tout court! Et les Gryffondor...rouge sang. Comme Drek le jour de la manifestation d'ailleurs...Il allait mieux Derek? Lucy lui coula un regard et constata que oui, il semblait un peu mieux que lorsque la Ministre avait attendant, Lily parlait encore. Elle parlait mĂȘme du cadeau de sa maman, mais euh, c'Ă©tait quoi ce cadeau? Et pourquoi que de sa maman, oncle Harry Ă©tait prompt Ă faire des cadeaux aussi, pour ce que Lucy en savait...ah mais ouii. Les souvenirs revinrent d'un coup Ă Lucy qui, pauvre Ăąme innocente, avait allĂšgrement refoulĂ© dans son inconscient le cadeau de Lily. Ben oui. Des prĂ©servatifs; elle avait oubliĂ© ce dĂ©tail, tiens, mais comprenait maintenant pourquoi c'Ă©tait le cadeau de la maman. Harry Ă©tait un peu...protecteur, comme pĂšre. En attendant...EUH? Elle avait bien suivi? Lily lui proposait de lui prĂȘter un...chose? Lucy rougit jusqu'Ă la racine des cheveux et jeta un somptueux regard assassin Ă sa cousine. Je te hais, j'avais pas l'intention de me transformer en tomate aujourd'hui, cousine...I HATE YOU. Et euh...Lucy regarda Lily de travers"Ben, je crois pas en avoir l'usage immĂ©diatement Lily. Mais je prends note."Petit sourire paillard. Mais elle Ă©tait quand mĂȘme ROUGE. Rhaah Lily, pourquoi trouvait-elle toujours un nouveau moyen de la faire bisquer, hein? En attendant...c'Ă©tait Lysander qui prenait la parole. Oh, il ne dormait pas alors? Hm, mais alors...ils pourraient peut-ĂȘtre tester ce canapĂ©, non? C'Ă©tait sĂ»rement sympa et...LILY SORS DE CE en attendant, Lysander demandait un cadeau Ă Lily. SATYRE. Lucy sourit, un peu embĂȘtĂ©e. Mais Ă©videmment qu'elle le lui prĂȘterait mais euh, pas tout de suite, n'est ce pas? Ce d'autant plus que son pĂšre avait l'esprit ouvert...jusqu'Ă un certain point. Et que Lily se dĂ©brouillait bien toute seule pour mettre le bazar; autant ne pas devenir sujet de ragots en plus! Ah. Un ange lui souriait, que faire? ...Ouais nan, en fait c'Ă©tait ce Serdaigle que Lucy connaissait trĂšs trĂšs mal, le dĂ©nommĂ© Lysander, l'ennemi jurĂ© du chat Hoshi. Qui lui demandait de s'approcher pour qu'il lui demande un truc. Nan mais NAN, j'ai dit plus tard, le cadeau de Lily...Ah, mais ce n'Ă©tait pas ça, il la questionnait sur le blaireau lĂ -bas. N'y voyez nulle mĂ©chancetĂ©, c'est juste que c'Ă©tait un Poufsouffle et Lucy rĂ©pondit tout touut bas"C'est Andras Singh, un Ă©lĂšve de Poufsouffle...trĂšs timide, mais gentil tout plein, plutĂŽt le genre frĂ©quentable."Petit sourire Ă Lysander. Pas jaloux hein?Et la Gryffondor proposait de se prĂ©senter. Ca faisait alcooliques anonymes? Nathan on t'appelle...non, rien du tout. Lucy, donc. LUCY? Une Lucy plus ĂągĂ©e qu'elle, en plus, baaah. Lucy Weasley allait se prĂ©senter Ă son tour quand une autre Gryffondor fit remarquer qu c'Ă©tait coincĂ©. Nan, classique, nuance. D'ailleurs, Lucy prit la parole Ă son tour"Lucy Weasley, cinquiĂšme annĂ©e, Poufsouffle. Pas de chance, Ted, tu as deux Lucy dans ton groupe..."Petit sourire. Bon alors, Lucy number one c'Ă©tait elle et l'autre serait Lucy II. Ou bien, elle c'Ă©tait Lucy et l'autre serait Lulu? Rhoh et puis, dĂ©brouillez vous trĂšs chers, elle attendait juste le dĂ©but lĂ . Dominique Weasley Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Mar 8 Mar - 654 Qui câest qui tâas fait ça, que jâaille lui exploser la gueule ? »Mon Dieu, tout de suite la violence ! Bon, visiblement, Domi aurait mieux fait de toute suite filer vers Melâ plutĂŽt que de se ramener vers Lily. DĂ©jĂ , sa cousine prenait une teinte inquiĂ©tante et ses yeux se changeaient en glace. Wachhhha, ça fait peur. Garde tes beaux yeux noisettes, la glace ne te vas pas du tout. Domi sourit, tendue, inspira, resourit, moins tendue. Au secours, Lily va pĂ©ter une durite ⊠AprĂšs s
MartinLuther King, Jr. "Si tu ne peux pas voler, cours Si tu ne peux pas courir, marche Si tu ne peux pas marcher, rampe Mais quoi qu'il en soit, Tu dois continuer Ă avancer". Facebook
Natasha Ă©prouva un soulagement intense en traversant la porte des Ă©toiles. Elle Ă©tait enfin en sĂ©curitĂ© et Madra Ă©tait en vie, câĂ©tait un sans Ă©chec ! Un sourire sâĂ©panouit sur son visage, que cela faisait du bien de rentrer Ă la maison ! Un peu plus loin, elle avisa John et lui adressa un petit signe de la main avant de se diriger vers lâinfirmerie pour les habituelles vĂ©rifications. Le debrieffing allait ĂȘtre drĂŽle, elle se demandait bien quelle tĂȘte ils allaient tirer quand elle leur raconterait quâelle avait jouĂ© un rĂŽle dans lâexĂ©cution de trois wraiths. Ă lâinfirmerie, elle fit les yeux doux au personnel soignant pour obtenir quelque chose Ă manger, ne serait-ce quâun gĂąteau, car elle se sentait au bord de lâhypoglycĂ©mie et se sentit revivre en grignotant une pĂąte de fruit. Natasha et John communiquait rĂ©guliĂšrement, puisque se voyait quand il pouvait autant en ami quâamant. La part dâamitiĂ© Ă©tait le plus important, notamment pour lâhomme qui ne dĂ©sirait pas la mettre dans la case simple et rĂ©trograde de simple plan cul ». Ainsi, il continuait Ă faire des choses ensemble en toute amitiĂ© et parfois ça dĂ©rapait. Pour le moment cela marchait bien. Et convenait au comme la belle rousse faisait partie de son cercle de proche maintenant, il Ă©tait logique quâil sâinquiĂšte pour elle. Autant savoir quâelle avait dĂ©cidĂ© de continuer ces recherches seule, puisque la planĂšte ne risquait rien, ne lâavait pas particuliĂšrement surpris⊠autant la mention ont Ă tuer trois Wraiths » un peu plus quand mĂȘme. Câest pour cela quâil Ă©tait lĂ , sur la rembarde Ă attendre le retour de lâĂ©quipe du Dr Taylor Laurence. Ă son tour il lui fit un signe de main en rĂ©ponse au sien. Il nâavait pas de mention autre de blessĂ© que la pĂ©gasienne malchanceuse qui avait servi dâappĂąt Wraith durant quelques annĂ©es de sa vie. Et John espĂ©rait que Natasha allait bien. Et qui Ă©tait le on » dont elle avait mentionnĂ© ? est-ce la pĂ©gasienne ? surement. DĂ©cidĂ©ment Natasha a le don de se faire des dossier dâĂ©valuation dâun soldat attendra un peu, le colonel, le laissa de cĂŽtĂ© pour rejoindre lâinfirmerie et attendre Ă lâentrĂ©e du hall, la rousse. Celle-ci allait bientĂŽt finir ces examens de routine. Il devait quand mĂȘme reconnaĂźtre, que Wraiths+ Natasha entraĂźnait la rĂ©action = inquiĂ©tude chez Sheppard. Et dĂ©jĂ la savoir envie avec pas de blessure apparente sur le corps, le rassurait. Il savait trop bien les dommages que pouvait faire un Wraith et les consĂ©quences aprĂšs sur la psychĂ© des humains. Si elle pouvait Ă©chappĂ©e le plus longtemps possible Ă tout ça, il lui sâadossa Ă un pilier, les bras croisĂ©s, attendant de voir sa belle amie. Quand il la vit enfin, il lui fit un rictus agrĂ©able sâapprochant, sous le regard curieux de la secrĂ©taire du pĂŽle mĂ©dical. Surement avide de potin. Mais, elle ne pouvait guĂšre entendre la voix des deux jeunes gens. Finalement, jâaurais dĂ» prendre quelques jours de congĂ© pour te tenir compagnie. Tu attires de bien drĂŽles dâamis ! » dit-il dâun ton agrĂ©able et enjouĂ©. Naturellement, les examens mĂ©dicaux ne rĂ©vĂ©lĂšrent rien, ce qui ne lâĂ©tonna guĂšre puisquâelle nâavait reçu aucune sĂ©vices physique exceptĂ© quelques Ă©corchures faites par les arbres et les buissons dans la prĂ©cipitation. Elle finit donc par ressortir de lâinfirmerie avec son sac Ă dos et son sandwich quâelle avait rĂ©cupĂ©rĂ© dedans, tout Ă©crabouillĂ©, mais elle nâavait pas le courage de courir jusquâau mess pour prendre quelque chose de meilleur et de plus consistant, surtout que les boss allaient certainement demander un debrieffing dans les plus brefs dĂ©lais et quâelle tenait Ă prendre une douche avant de se prĂ©senter Ă eux. Il lui faudrait aussi dĂ©poser ses armes Ă lâarmurerie dans la foulĂ©e. Dâailleurs, il y avait toujours ce pistolet wraith coincĂ© en travers du sac, il avait fait son petit effet Ă lâinfirmerie. Son petit doigt lui soufflait quâelle vĂźnt de donner matiĂšre Ă ragoter Ă ses collĂšgues du pĂŽle mĂ©dical pendant un bon moment. Bref, elle sortit de lâinfirmerie le sac sur le dos, las, les vĂȘtements terreux, et en machouillant nonchalamment son sandwich et afficha un air surpris en voyant John. Ce dernier vint vers elle lâair, dĂ©tendu en apparence, mais la plaisanterie quâil lui faisait sous-entendait une certaine inquiĂ©tude; dâailleurs, pourquoi serait-il ici si ce nâĂ©tait pour sâenquĂ©rir de son Ă©tat ? Elle allait pouvoir le rassurer. -Je vais bien, dit-elle en le gratifiant dâun sourire fatiguĂ©. Et jâai ramenĂ© un souvenir, ajouta t-elle en montrant le pistolet wraith qui dĂ©passait de son sac. On fait un deal si tu veux, tu me raccompagne jusquâĂ chez moi et je rĂ©ponds Ă tes questions sur le chemin. La voir mĂąchĂ©e son sandwich nonchalamment le fit rire doucement, cela lui donnait un drĂŽle dâair ! Celui dâune aventuriĂšre qui en avait vu dâautre et qui revenait dune expĂ©dition avec comme seule prioritĂ© manger sn vieux sandwich qui avait fait la elle nâavait pas lâair bien traumatisĂ©e et pour preuve elle fit mĂȘme de humour. John avisa le pistolet Wraith, il trouverait rapidement sa place Ă lâarmurerie, ils sont assez pratiques au mĂȘme titre que les zat et plus rapide surtout. Faut dire que la majoritĂ© des armes Wraiths Ă©taient du non lĂ©thale, puisquâils avaient besoin de ça pour rĂ©cupĂ©rer leur proie. Au point que les humains avaient oubliĂ© quâils avaient aussi des armes puissantes donnant la mort et magna avait Ă©tĂ© une bonne piqure de rappel. Un tir de blaster Wraith dĂ©gomme sans sommation et ne fait pas souffrir comme peuvent le faire une balle logĂ©e dans lâĂ©paule. Pour cela que les gilets MOLLE avait Ă©tĂ© trĂšs utile pour absorber les tirs de tout cas le deal le fit une nouvelle fois sourire, il aimait voire mĂȘme adorait son humour. Ce deal me va. Je veux bien ton souvenir aussi, contre une soirĂ©e film ! » Fit-lâhomme qui en profitait aussi pour la voir un peu plus ce soir. Sa mission avait Ă©tĂ© annulĂ©e Ă cause des mauvaises conditions mĂ©tĂ©orologique sur la planĂšte. Bassouiller dans lâeau torrentielle trĂšs peu pour lui. Ce nâest pas un tourna des talons, pour sortir de lâinfirmerie et se diriger vers le tĂ©lĂ©porter au bout du couloir. Tu sais pourquoi il avait des Wraiths sur Ondias ? »Natasha fit la moue et parut hĂ©siter lorsque John lui demanda de rĂ©cupĂ©rer le pistolet ! Bon ok, deal ! Mais tu me montreras comment il marche je suis curieuse. Quant Ă cette histoire de film⊠elle rĂ©flĂ©chit une minute. Elle Ă©tait claquĂ©e, la journĂ©e avait Ă©tĂ© longue et particuliĂšrement Ă©prouvante tant sur le plan physique que moral, mais elle se connaissait assez pour savoir que le stress avait tendance Ă nourrir ses insomnies. La compagnie de John lâaiderait Ă se dĂ©tendre, sa proposition Ă©tait plutĂŽt pour ce soir, on mange ensemble ? Natasha adressa un salut de la main Ă la secrĂ©taire avant de quitter la piĂšce et de se diriger vers le Wraiths poursuivaient une coureuse. Isia lâa opĂ©rĂ©e en quatriĂšme vitesse et elle a pu rentrer avec nous saine et sauve. Pas de problĂšme, je te montrerai au champ de tir. Ce nâest pas bien compliquĂ©. Et en plus, il nây a pas de recul. » Mais Ă savoir quand.. Quand elle pourra, il avait des doutes de lui montrer aujourdâhui, surtout aprĂšs son aventure. Avec plaisir ! » Comme cela, ça fait une soirĂ©e plus longue, aprĂšs il aviserait sâil doit lâĂ©courter selon le niveau de fatigue de la kinĂ©. Il ne dĂ©sirait pas lâimportuner avec sa prĂ©sence mĂȘme sâil doutait quâil la donc une runneuse ? Cela faisait longtemps, quâils en avaient pas croisĂ©e. Cela ne voulant pas dire quâils Ă©taient plus rares⊠AprĂšs normalement ce type de personnes sont discret et Ă©vite les villages sous peine de se faire tuer. Quelle horreur, chasser par un super prĂ©dateur et rejetĂ© des siens. Comme si le traumatisme ne suffisait pas. lLa jeune femme quâil avait vu sur le brancard allait peut-ĂȘtre restĂ©e avec eux comme Ronon ou Britt. Au moins, ça fait des soldats plutĂŽt fidĂšle et pas trop chiant. Dâaccord⊠Câest horrible quand mĂȘme. RejetĂ© des siens et chassĂ©, heureusement quâelle est tombĂ©e sur toi. Câest elle qui a tuĂ© les trois Wraiths ou tu en a abattu quelquâun ? »-Non, ça sâest pas vraiment passĂ© comme ça. Je te fais la version courte. Je faisais mes prĂ©lĂšvements dans la forĂȘt lorsque jâai croisĂ© un wraith. Il ne mâavait pas vu et jâen ai profitĂ© pour le canarder au zat. Sur le moment jâai cru Ă une sĂ©lection alors jâai dĂ©cidĂ© de mâĂ©loigner du village et jâai croisĂ© un Loupias, un certain âBlazeâ. On a fait un bout de chemin ensemble, jusquâĂ ce quâon tombe sur la fameuse coureuse qui est partie se cacher et quâun autre wraith dĂ©barque. On a rĂ©ussi Ă lâavoir en lui tirant dessus Ă deux, puis la coureuse nous a menacĂ© et Blaze la neutralisĂ©, il a voulu la tuer, jâai refusĂ© et il a bien voulu nous accompagner jusquâĂ la porte pour que je puisse contacter les Atlantes. Sur le chemin on est tombĂ© sur un dart et un troisiĂšme wraith, quâon a rĂ©ussi Ă Ă©liminer avec un peu plus de mal. Blaze a retirĂ© le systĂšme de localisation du dart, puis on est allĂ© sur une planĂšte inhabitĂ©e et jâai appelĂ© Atlantis. Voilà ⊠Entrant dans le tĂ©lĂ©porteur, Natasha activa le transfert vers les quartiers du arqua un sourcil quand elle mentionna lâintervention dâun certain Loupias et ce prĂ©nom qui lui disait quelque chose. Il avait dĂ» le lire dans un rapport⊠Hum plusieurs dans trois mĂȘme⊠Ătrange, il semblait ĂȘtre dans les pattes des Atlantes ou bien un pur hasard. Ă savoir si ce fut un heureux ou non. Sur les rapports câest le cas, mais la frĂ©quence Ă©tonna un peu John qui restait mĂ©fiant. Eh bah⊠ça aurait pu mal virĂ©e cette histoire avec trois WraithsâŠÂ» Elle pouvait jouer aux loto ou un jeu de hasard pour avoir eu aucune sequelles suite Ă la rencontre avec les vampires de la galaxie. Il eut un petit rictus intĂ©rieur, se disant, quâelle Ă©tait bien badasse » sa kinĂ©. [color=MediumTurquoiseJâirais vĂ©rifier dans nos dossiers, mais me semble que le nom de ton copain nâest pas inconnue Ă la citĂ©. [/color]» Il haussa les Ă©paules allant dans le tĂ©lĂ©porter qui les transfĂ©ra immĂ©diatement dans la zone rĂ©sidentielle. -Il a dĂ©jĂ rencontrĂ© Isia Taylor Laurence et Pedge Allen, rĂ©pondit la kinĂ©. John hocha la tĂȘte, il irait relire les rapports traitants de cet homme. Merci. »Le militaire suivit sa belle et se rapprocha un peu plus dâelle. ça te fait quoi dâavoir tuĂ© un Wraith ou une crĂ©ature vivante ? » Demanda tâil sans trace dâhumour, il savait que quâimporte la race ou mĂȘme la raison, la premiĂšre fois quâon met fin Ă une vie, câest assez particulier. Il se souvenait de sa premiĂšre fois et il nâavait pas dormie pendant quelques nuits, avant de prendre sur lui et la rĂ©alitĂ© de son mĂ©tier. Natasha haussa les Ă©paules, le visage neutre. CâĂ©tait une question Ă laquelle elle prĂ©fĂ©rait ne pas penser pour le moment, elle aurait tout le loisir de le faire aprĂšs le dĂ©brieffing, quand elle commencerait Ă prendre du recul par rapport aux Ă©vĂšnements. - Je suis juste contente dâĂȘtre en vie⊠éluda t-elle. Quand je pense que câest ton quotidien... CâĂ©tait une chose dâimaginer ce que pouvaient vivre les gens comme John et sâen Ă©tait une autre dâexpĂ©rimenter soit- mĂȘme une rencontre avec ces monstres. Mais son ami et amant Ă©tait la preuve que lâon pouvait se relever de ce genre dâĂ©preuve et recommencer, il ne lui manquait plus quâĂ en faire de mĂȘme, trouver le courage de digĂ©rer les choses et de reprendre ses activitĂ©s sur les autres mondes sans ĂȘtre constamment paniquĂ©e Ă lâidĂ©e de faire Ă nouveau une mauvaise rencontre. Il lui faudrait peut-ĂȘtre un peu de temps mais elle sâen savait capable, aprĂšs tout ce nâĂ©tait pas la premiĂšre fois quâelle tombait face Ă des crĂ©atures hostiles. John lui passa une main tendre dans le dos. Ă tous les coups, elle aurait quelques sĂ©ances de psy Ă faire, le protocole obligatoire aprĂšs toute premiĂšre rencontre Wraiths et mort ». Oui câest son quotidien, la guerre Ă©tait horrible et ce nâest pas pour tuer des gens quâon sâengage Ă ĂȘtre soldat, mais pour autre raison sinon on a un sĂ©rieux problĂšme. Et ĂȘtre sur cette galaxie, mettre sa vie en danger avait un autre cĂŽtĂ©. Câest exaltant quand on ne rencontre point de Wraiths mais quand câest le cas entrainĂ© ou non, il y a bien un moment ou la psychĂ© vrille un peu. Quelque chose qui se brise et soit on fait avec soit ont fait pas et on rentre sur terre. Si tu as besoin, tu nâhĂ©sites pas.» Lui dit-il doucement, alors quâils arrivaient devant la porte de sa chambre. Je te laisse ? Ou je peux te tenir compagnie ? » Il dĂ©sirait rester avec elle, pour lui tenir compagnie et changer un peu les idĂ©es avant quâelle aille faire un rapport au CODIR. Mais, il ne sâimposerai pas. DĂ©jĂ quâil avait dĂ©clarĂ© soirĂ©e film le soir mĂȘme ! Natasha rĂ©flĂ©chit un cours instant. Elle apprĂ©ciait sa sollicitude et sa prĂ©sence Ă©tait un vrai rĂ©confort mais John Ă©tait en service, Ă©tait-ce bien sĂ©rieux de le retenir plus longtemps ? Elle activa le dĂ©tecteur pour dĂ©verrouiller sa porte. Profiter de la demi-heure seule, pour Ă©vacuer la pression, craquer au besoin, pouvait lui ĂȘtre salutaire. Elle savait dâavance quâelle allait faire son possible pour rester forte tant quâelle serait accompagnĂ©e. Dâun autre cĂŽtĂ©, elle aurait bien assez de temps pour profiter de cette solitude plus Je vais prendre une douche avant de passer Ă lâarmurerie⊠tu veux venir ? John eut un rictus et vu ces prunelles, il avait pensĂ©e Ă un truc pas trĂšs chaste face Ă cette proposition. Il Ă©tait propre, mais bon, se laver une seconde fois avec elle, ne le dĂ©rangeai pas le moins du monde. Ătrange non ? Il sâen voulait presque dâavoir eu une idĂ©e coquine, alors quâelle devait ĂȘtre Ă mille lieux dâavoir une quelconque envie de ce genre aprĂšs le massacre de pire, câet quâil ne pouvait pas lui sortir ânonnon je nâai pas eu une folle idĂ©e en tĂȘteâ, ces prunelles parlaient pour lui. Et elle le connaissait que trop bien, pour ne pas avoir regarder cette lueur. Enfin quâimporte, ils verront, mais de base, il voulait rester un peu avec elle, dans une sollicitude des plus amicale, sans but prĂ©cis derriĂšre. Oui. Je te frotterai le dos »Natasha pĂ©nĂ©tra dans sa chambre et se retourna vers son compagnon, remarquant alors la lueur de dĂ©sir qui venait de naĂźtre dans ses yeux. Ils se frĂ©quentaient depuis des mois et elle commençait Ă bien cerner son ami mais elle savait aussi quâil ne ferait pas forcing tant quâelle nâamorcerait pas le premier pas. John Ă©tait ce genre dâhomme galant et respectueux que de nombreuses femmes recherchaient pour se poser dans une vie de couple stable et harmonieuse. Ce qui Ă©tait paradoxal câĂ©tait que, sâil existait une certaine stabilitĂ© dans leur relation, le mot âcoupleâ Ă©tait totalement prohibĂ© entre eux. Depuis leur premiĂšre fois, ils nâavaient jamais Ă©changĂ© Ă propos de leurs possibles autres conquĂȘtes, se frĂ©quentaient rĂ©guliĂšrement et sâĂ©taient beaucoup rapprochĂ©s lâun de lâautre, mais la question de la nature de leur relation Ă©tait une sorte de tabou quâaucun des deux nâavait jamais brisĂ©. Le sentiment de libertĂ© que lui procurait le fait dâĂȘtre officiellement cĂ©libataire plaisait Ă Natasha mais lâidĂ©e que John puisse passer du temps dans les bras dâune autre femme la dĂ©rangeait. Pour autant, lâĂ©volution de ses sentiments Ă©tait une chose Ă laquelle elle nâĂ©tait pas prĂȘte Ă faire face, cela impliquerait trop de consĂ©quences. Ils ne sâappartenaient pas lâun-lâautre, lâĂ©quilibre de leur relation reposait sur ce principe et elle nâavait pas lâintention de le briser au risque de tout son sac au sol, elle se dirigea vers la salle de bain en envoyant valser son t-shirt et son pantalon et se planta devant la glace pour Ă©tudier les quelques Ă©gratignures qui marquaient ses bras et ses jambes. Les consĂ©quences dâune chute dans les buissons et dâune marche forcĂ©e dans la forĂȘt. Rien de grave, elle nâaurait mĂȘme pas besoin de dĂ©sinfecter. La rouquine se tourna vers son compagnon et le regarda se dĂ©shabiller dâun air apprĂ©ciateur. MĂȘme si son Ă©tat dâesprit ne la poussait pas vers les mĂȘmes envies que son amant, elle savait apprĂ©cier les belles choses quand elle les voyait. PoussĂ©e par une pulsion soudaine, elle marcha droit vers lui et se jeta dans ses bras pour le serrer fort contre elle. Elle se sentait en sĂ©curitĂ© ici dans les bras de son super-soldat oĂč aucun wraith ne pouvait lâatteindre, un sentiment vraiment agrĂ©able aprĂšs les heures dâangoisse quâelle venait de entra Ă sa suite dans la chambre, retirant ces rangers Ă lâentrĂ©e, pour ne pas salir la demeure de son amie et amante. Le dĂ©corum Ă©tait encore soft, mais plus le temps passerais plus la dĂ©coration serait prĂ©sente. Cela lui rappela quâil avait pris des photos des flocons sur le campement Athosiens, avec lâappareil quâelle lui avait offert et faudrait quâil lui montre. Bon, il ne savait aps i le reportage photo allait lui plaire, mais au moins lui montre les cinq photos dont il Ă©tait le plus fier. Il nâen revenait pas de cette qualitĂ©. Par contre, le rĂ©flexe avait un cĂŽtĂ© frustrant 150 photos pour seulement une dizaine potable. Il fallait vraiment quâil arrive Ă se fixer sans vibrer ou il ne sait quoi. Car ça gĂąchait il notait ça, pour lui montrer ce soir. En tout cas, il Ă©tait content de son cadeau de NoĂ«l et lâutilisait rĂ©guliĂšrement. Il voulait sâessayer aux portraits. Autre quâHarry le chat dâHoffman, qui faisait sa diva sous lâobjectif ! Les chats ! Tous les mĂȘmes !John se prit le t-shirt de Natasha et pouffa de plus belle, avant de le dĂ©poser sur le premier meuble venu, tout en la rejoignant dans la salle dâeau pour se dĂ©vĂȘtir sous le regard agrĂ©able de la miss. Il releva le nez vers elle avec un rictus charmant, toisant sa peau dĂ©nudĂ©e enfin non couverte par ces sous-vĂȘtements simple allait sâapprocher dâelle, quand elle dĂ©cida de le prendre de court et de se jeter contre lui. Il la rĂ©ceptionna bomba un peu le torse pour pas reculer. Il la serra contre elle doucement, en lui caressant le haut du dos, sentant les Ă©gratignures de sang sĂ©chĂ© sous ces mains. Par chance, elle nâavait pas de grandes blessures, elle Ă©tait chanceuse. Il remonta une main vers ces cheveux et lâembrassa sur le front, soupirant de bien ĂȘtre, la cĂąlinant, puisqu'elle en avait le besoin et dans un sens, il nâĂ©tait pas contre bien au contraire. Il aime bien ce genre de chose, ce smarques douce et tendres. Câest un gros nounours en peluche cet homme. Il voulait lui faire une remarque comme quoi, il Ă©tait pas bon infirmier mais puisque ne savait pas soigner autrement quâen bisou magique, mais il trouvait rien de bien drĂŽle en tĂȘte donc il ne dit rien, se contentant, de la soulever par les hanche et de la mettre dans le douche. Hum⊠mademoiselle vous ne pouvez pas passer la douane avec ça ! » Dit-il en la taquinant en titillant la bretelle de son soutien-gorge. Natasha se laissa porter et rit doucement Ă la remarque de Vraiment monsieur lâagent ? Affirmatif mademoiselle! » dit-il avec un petit rictus, essayant de se contenir de rire. Levant les yeux au ciel avec un sourire, la rouquine retira ses Je passe au contrĂŽle maintenant ? Oui, les portes ne font plus bip » Et comme pour faire style, il referma la porte en imitant le robot. Il avait que lui pour faire ce genre de connerie. - Tâes trop bĂȘte ! Dit-elle, amusĂ©e. John ricana de plus belle. Elle se tourna vers le robinet pour lâallumer. Au fait, tu nâes pas censĂ© travailler en ce moment ? Je travaille lĂ . Je fais une Ă©tude trĂšs sĂ©rieuse sur les portes de douche » Oui, il devait bosser, lire des rapports mais bon, il pouvait bien faire une pause non ? AprĂšs tout, il ne fume pas et on vient pas embĂȘter les fumeurs avec leurs petites pauses qui cumulĂ©e font une grande Ă la fin de la journĂ©e. - Oooh je vois⊠une enquĂȘte capitale pour la sĂ©curitĂ© de la citĂ©, plaisanta t-elle. Elle rĂ©gla lâeau pour quâelle soit Ă une tempĂ©rature convenable Ă son gout et sâĂ©tira en savourant la chaleur qui dĂ©tendait ses muscles. Je revis ! Exactement ! » fit le soldat, la laissant rĂ©gler lâeau chaude, il nâĂ©tait pas trop du genre Ă la prendre bouillante, vu que câest un radiateur sur patte, mais sâen accommodent de temps en temps. Ah ! Tant mieux, les mort vivants câest bof quand mĂȘme ! » Il chercha du regard le gel douche de son amie, le prenant pour mettre une bonne noix sur la maix et la savonner une fois quâelle eut fini de ârevivreâ.-Je tâai dĂ©jĂ dit que tu Ă©tais bĂȘte ? Demanda t-elle avec un sourire en coin. Il y a quelques minutes, me semble que tu me lâas dit oui. » fit-il en rigolantNatasha sâempara du gel douche Ă son tour et se retourna pour laisser son dos Ă John comme promis pendant quâelle se frottait les membres. - Quoi de neuf Ă la citĂ© ? Cela faisait quelques jours quâelle Ă©tait Ă Ondias et ses contacts avec Atlantis avaient Ă©tĂ© plutĂŽt lui frotta le dos se collant doucement Ă elle pour la nettoyer. On a peut-ĂȘtre retrouvĂ© la trace de la fractions Wraith dâingĂ©nieur qui ont pris les civils Natus. » Il soupira, il avait dĂ» faire le choix dâenvoyer une Co-Pilote jeter un Ćil, puisquâun drone aurait Ă©tĂ© limitĂ© niveau maniabilitĂ© au vu du contexte. Il s'inquiĂ©tait pour son soldat, il ne savait pas si la mission Ă©tait un succĂšs ou non. Une mission suicidaire et il se sentait un peu pris en Ă©taux. Il frotta nonchalamment le dos de Natasha, se rendant compte quâil sâĂ©tait perdu dans une main moins ferme. Il secoua la tĂȘte, pour savonner son Ă©paule et lui faire un bisou discret sur le cĂŽtĂ© du crĂąne. Ressentant son trouble, Natasha se retourna doucement pour lui faire face et le prendre dans ses Ce nâest pas une bonne nouvelle ? Hum si⊠Mais pour espionner et rĂ©colter des informations sur ce vaisseaux situĂ©s dans un agglomĂ©rat d'astĂ©roĂŻdes, jâai dĂ» envoyer deux pilotes dans une mission ⊠qui pourrait ĂȘtre du suicide... » Fit-il doucement. -OhâŠNatasha resserra sa prise contre John, ne sachant quoi rĂ©pondre à ça. Elle se sentait un peu suis sĂ»re quâils vont revenir⊠restons positifs. En fin de compte, cette soirĂ©e allait faire autant de bien Ă John quâĂ hocha la tĂȘte soupirant avant de passer sa main dans le dos de la jeune femme pour continuer Ă savonner. Oui. Sinon ça me donnera une occasion d'engueuler le colonel Caldwell » Dit-il avec ironie. Alors quâil ne le fera jamais, surtout pour ce genre de Ils partent du DĂ©dale en F-302 et câest le colonel et lieutenant Ross qui ont demandĂ© lâautorisation cette mission au CODIR et Ă moi-mĂȘme pour prendre un Co-Pilote. »-Tu lâa approuvĂ©, non ? Demanda-t-elle en sâaspergeant dâeau pour commencer Ă retirer le savon sur sa peau. Oui, ce fut une blague de lâengueuler. Ce nâest pas mon grand copain » Dit-il en lui attrapa le pommeau dâeau et lâarrosant pour la Quâest-ce que tu lui reproche ? John aurait pas dĂ» faire sa blague, puisque Natasha ne savait rien de la mĂ©sentente entre le colonel du dĂ©dale et celui dâAtlantis. On ne sâaime pas. Lui ancienne Ă©cole et moi bien loin de ces modĂšles de vieux dinosaures. Et passĂ© un temps, il voulait mon poste. Mais pas grave, ma blague tombe Ă lâeau »- Le dinosaure aurait surement croquĂ© Stones tout cru le mois dernier sâil avait Ă©tĂ© Ă ta place, plaisanta t-elle en rĂ©fĂ©rence Ă lâexploration oĂč la soldate avait fait preuve dâinsubordination Ă de multiples reprises. Elle finit de se rincer et coupa lâ ne savait pas trop comment le prendre et eu un petit rictus. Je ne sais pas ce qui est mieux » dit-il doucement en rĂ©flechissant mine de rien. - Jâadmire ta patience. Elle attrapa une serviette pour John et sâenroula dans la sienne. Le colonel eu un petit sourire simple avant de prendre sa serviette et de regarder sa montre, posĂ©e sur le lavabo. Oula⊠tu vas ĂȘtre retard » - Ouais⊠je me depĂȘche. Il lui claqua un bisou sur le lĂšvre A ce soir ! Bon courage pour ton rapport. » - Faut que je passe Ă lâarmurerie pour ramener tout ce bazar, Lança t-elle en sâhabillant en vitesse. Laisse je mâen occupe » - Je sui sĂ»re que tu proposes ça pour me voler mon nouveau pistolet wraith ! Plaisanta t-elle. Ses vĂȘtements renfilĂ©s, elle fouilla rapidement dans son sac pour confier le matĂ©riel quâelle avait empruntĂ© Ă John. HĂ©hĂ© exactement. » - Pfff ! Sourit-elle. Allez, Ă tout Ă lâheure ! Elle lui fit un bisou et partie rejoindre le CODIR pour rĂ©sumer la grande aventure quâelle venait de vivre Ă ses supĂ©rieurs. Ăa allait donner !END 18/02/2018
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A 37 ans, Léonard, époux et pÚre de 4 enfants, est atteint de la maladie de Charcot Sclérose Latérale Amyotrophique qui le prive peu à peu de tous ses muscles et le rend prisonnier d'un corps qui ne répond plus. Léonard garde le sourire et connaßt la joie malgré l'épreuve, la souffrance et la mort 4 ans plus tard. Avec une grande justesse de ton, son épouse raconte l'humour indéfectible de Léonard malgré la maladie croissante. Ce livre rapporte le cheminement de toute une famille dans les difficultés, la souffrance et la mort. Il révÚle comment la joie peut demeurer présente au coeur de l'épreuve. Un témoignage bouleversant, à dévorer d'une traite ! Préface de Philippe Pozzo di Borgo.
Enfait, il faut prier sans cesse, ces choses ne pourront pas agir sur toi si tu pries réguliÚrement, à condition aussi que tu ne sois pas partisan de ces choses. Je veux dire; tu ne peux pas écouter ces clips et prier Dieu pour que les messages subliminaux de ces clips ne t'atteignent pas, à ce moment là tu es en train de te moquer de
- On les connaĂźt les quand est ce quâon arrive ? Jai envie de faire pipi » Et bien câest fini tout ça ! GrĂące Ă un mathĂ©maticien britannique qui a mis au point une Ă©quation qui vous permet dâanticiper le moment exact oĂč votre enfant va passer du cĂŽtĂ© obscur ! Il sâest basĂ© sur des rĂ©ponses de milliers de parents. Je vous passe les calculs compliquĂ©s ! Ce quâil en sort câest que les crises de colĂšre sont dues Ă lâennuie, trajet trop long et la faim Il vous conseille donc de prendre beaucoup dâencas, des Ă©crans tant pis pour les principes et de faire des jeux on compte les voitures rouges » Comme ça dâaprĂšs lui vous tenez 2h facile sans crise ! Sinon câest crise en moyenne au bout dâune demie heure ! - Est-ce qu'il vaut mieux courir ou est-ce qu'il faut marcher pour Ă©viter dâĂȘtre mouillĂ©, la science a visiblement la rĂ©ponse ! Une Ă©quipe de chercheurs sâest penchĂ© sur la question⊠Et bien dâaprĂšs eux Il faudrait marcher ! Mais ! Ils disent aussi quâil y a dâautres paramĂštres qui entrent en ligne de compte ! vent il faut courir Ă la mĂȘme allure que lui sâil souffle dans votre dos ! Ah oui tout va aussi dĂ©pendre de votre gabarit, toujours selon cette Ă©tude, si vous ĂȘtes petit et corpulent il faudra courir plus vite ! Et si vous ĂȘtes grand et Ă©lancĂ© vous pouvez marcher ! Ah oui et si la pluie tombe de gauche Ă droite et que vous avez de lâembonpoint, courez ! Et pareil, ce sera diffĂ©rent en fonction de vos vĂȘtements⊠nos vĂȘtements en coton vont ĂȘtre plus rapidement mouillĂ©s si vous courez. VoilĂ donc les chercheurs ne savent pas trop finalement ⊠marcher ou courir, telle est la question ! L'Incroyable histoire d'Alex Incroyable histoire de vacances pour une famille amĂ©ricaine ! Depuis des semaines, ils cherchaient un endroit pour partir un peu de chez eux ! Comme beaucoup dâentre nous, le papa regarde sur des sites type Airbnb ! Mais trouver la bonne location nâest pas facile ! Ils ont un petit budget et surtout⊠Ils ont 2 enfants et 2 gros chiens ! A force de fouiner, le pĂšre dĂ©couvre tout Ă coup une maison dans leurs prix ! Au calme, Ă la campagne ! Tout ce quâils voulaient ! Direction cette fameuse maisonâŠ. Sauf quâen arrivant devant, Ă©norme surprise ! Il nâavait pas bien lu les dĂ©tails ! Le pĂšre a en fait louĂ© une Tiny House ! Les micro-maisons ! Et lĂ , câĂ©tait vraiment une mini maison ! Pour loger tous les 4 et leurs 2 gros chiens, ils avaient une maison de⊠10m2 ! Ils ont dĂ» au final louer une chambre en plus dans le motel Ă cĂŽtĂ© ! Le Top 3 pas content 3/ Que personne ne nous dise qu'il n'a jamais Ă©tĂ© gĂȘnĂ© par les tempĂ©ratures ? Le soleil dĂ©jĂ ! Quand on veut du soleil mais en mĂȘme temps un peu d'ombre aussi ! On peut tourner le parasol mais pas complĂštement ? 2/ Toujours tempĂ©rature mais cette fois-ci de l'eau ! L'eau qui est bonne habituellement mais fraĂźche ce matin ! Mais une fois que tu es dedans, elle est bonne ! 1/ encore tempĂ©rature mais de la cuisson ! Cette superbe paella gĂ©ante, frappĂ©e de plein fouet par le cagnard du marchĂ© provençal ! Le riz est certes bon mais le calamar est quelque peu caoutchouteux ! L'Instant Tiffany Magnifique rencontre avec Kylian MbappĂ© Les questions tordues du Dimitri Dans quelle spĂ©cialitĂ© votre enfant mĂ©rite une mĂ©daille d'or ? RENDEZ-VOUS TOUS LES MATINS DE 6H Ă 9H DANS LE RĂVEIL CHĂRIE ET EN PODCASTS SUR ! MakHfJv.