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Les Témoins de Jéhovah, une religion "sous surveillance" SIPA. Mon histoire avec les Témoins de Jéhovah est longue et complexe. Quand j’avais 15 ans, en 1975, j’avais une camarade de classe avec qui je faisais le trajet pour l’école qui me parlait souvent de sa religion. J’habitais alors à Agde, et les autres copains de classe la voyaient comme une extra-terrestre et comme une personne très mystérieuse elle était Témoin de Jéhovah. Je voulais construire un monde de paix Comme tout bon petit “soldat spirituel” de cette organisation, elle faisait énormément de prosélytisme et distribuait, presque à chaque récréation, des petits tracts sur sa religion. Cette copine m’a donné envie de rejoindre le mouvement. Issue d’une famille musulmane et pratiquante, j’avais peur qu’on m’envoie en Algérie pour me marier de force. Le discours des Témoins me plaisait beaucoup j’avais envie de construire un monde de paix et de justice. Ma camarade me ramenait souvent des petits livres utopistes, c’était très “bisounours”. J’étais très jeune et je voulais que le monde soit beau et gentil, qu’on soit tous “frères”. De toute façon, c’était soit les Témoins de Jéhovah, soit la marine, mais dans tous les cas, je voulais partir de chez moi. Ils avaient tout orchestré J’ai finalement choisi les Témoins de Jéhovah j’allais souvent manger chez les parents de ma camarade, et eux-mêmes venaient souvent rendre visite à mes parents. Ils ont tenté de les convaincre que la religion musulmane était “bidon”. Mon père, arrivé en France dans les années 60 pour faire de la maçonnerie, a beaucoup discuté avec eux - mes parents étaient, malgré tout, très ouverts - et on les a souvent reçus chez nous. Ma mère nous laissait aller aux réunions parce qu’elle se disait que ça allait nous cadrer. Mais à 18 ans, je suis partie définitivement avec eux. Ils avaient tout orchestré à l’avance et avaient contacté des Témoins de Jéhovah à Savigny-sur-Orge pour me trouver une famille d’accueil. Une femme seule et divorcée s’est proposée pour m’accueillir. Quand j’ai annoncé la nouvelle à ma mère, elle m’a frappée avec un balai et a jeté toutes mes affaires par la fenêtre. Nous n’avions pas de téléphone portable à l’époque. Je suis allée à la boulangerie près de chez nous, j’ai appelé les Témoins de Jéhovah et ils sont venus me chercher. Ils m’ont dit que je ne reverrai plus ma famille. Ne plus fêter Noël, ne pas boire ou fumer Il n’est pas si compliqué d’intégrer les Témoins de Jéhovah, pourvu que l’on respecte les principes de la Bible à la lettre. Enfin, de la Bible remaniée par la "Watch Tower" de Brooklyn, qui est d'ailleurs actuellement en plein déclin à cause des nombreux procès pour pédophilie au sein des Témoins de Jéhovah. J’ai donc arrêté de fumer, je ne regardais pas n’importe quel film, je n’avais pas de rapport sexuel avant le mariage, et je n’allais pas en boîte de nuit. Je ne fêtais pas non plus Noël ou toute fête ayant un lien avec la famille. À Savigny-sur-Orge, j’ai été accueillie comme une reine. On avait raconté que j’avais quitté ma famille musulmane, et les Témoins de Jéhovah voyaient ça d’un bon oeil. Ils ont voulu m’instrumentaliser et me faire recruter d'autres familles musulmanes. Comme ils avaient peur que je recule, j’étais sans cesse entourée et tous les soirs j’allais dîner dans une famille différente. J'ai recruté plusieurs familles musulmanes Chez les Témoins de Jéhovah, on déconseille de s’investir dans un travail quelconque. Il faut faire le minimum possible pour subvenir à ses besoins et se consacrer tout le reste du temps à sa religion. On rejette totalement la société traditionnelle, et on nous explique qu'on va être détruit si on ne suit pas leurs préceptes. Alors je faisais du ménage le matin et l’après-midi du porte-à -porte. On devait tout noter de ces rencontres en porte-à -porte si on rencontrait une femme avec un bébé, la prochaine fois qu’on la verrait, on lui ramènerait des fascicules sur la famille et la maternité. Si c’était un homme malade, on orienterait nos prospectus pour se focaliser sur la maladie… J’ai ainsi réussi à recruter plusieurs familles musulmanes et je leur ai appris le français pour qu’elles puissent lire la "Bible". Je devais fonder une famille Évidemment, on n’a pas le droit d’épouser quelqu’un qui n’est pas Témoin de Jéhovah. Alors, à 20 ans, j’ai épousé un “frère” c’est le nom qu’on donne aux autres membres. Il était allemand et ne parlait pas beaucoup le français. Je ne parlais pas beaucoup l’allemand non plus. Je n’étais pas amoureuse de lui, disons que je l'aimais de façon fraternelle. On m’avait surtout dit que je devais fonder une famille et qu’il n’était pas très bien vu que je reste seule. Nous sommes partis vivre en Allemagne, à Cologne, où j’ai fait là aussi du porte-à -porte. Au bout d’un an là -bas, la France me manquait. Mon mari a quitté sa place au musée romain de Cologne par amour, et il a travaillé dans une société de commerce import-export à Savigny. Amputée sans ma famille À 24 ans, j’ai eu ma première fille, et j’ai souhaité divorcer à 26 ans. Je n’allais pas bien, sans ma famille, je me sentais amputée. J’étais aussi devenue boulimique. Mais le divorce n’est pas accepté chez Jéhovah. Il faut soit que votre conjoint soit mort, soit qu’il vous ait trompée. Ce qui n’était pas le cas. La présence de l’une de mes soeurs à Savigny-sur-Orge elle avait été mariée de force en Algérie, puis était venue me rejoindre sans faire partie des Témoins de Jéhovah m’a donné du courage de quitter cette organisation avec ma fille. J'avais compris qu'ils n'étaient pas aussi bons que ce qu'ils voulaient me faire croire, qu'il y avait là -bas aussi des clans les Témoins de Jéhovah les plus aisés ne m'avaient jamais vraiment intégrée. Au final, il y a autant de médisances à l'intérieur du mouvement qu'à l'extérieur. Ils n'ont pas tardé à m'excommunier. 8 jours pour me rétracter Des anciens sont venus me voir chez moi, et ils m'ont donné huit jours pour me rétracter. Comme je ne me suis pas rétractée, les autres membres de Jéhovah avaient pour interdiction de me parler dans la rue s’ils me croisaient. J’avais plus de 500 connaissances avec qui je ne pouvais plus être en contact. Ça a été la descente aux enfers. La présence unique de ma soeur n’a pas suffi à me consoler. Je n’avais plus de repères, j’avais quitté toute ma famille, donc je n’avais plus de liens avec ma mère, mon père, ou mon frère et mes autres soeurs. Je me suis retrouvée seule avec une enfant de deux ans. Alcool, cigarettes, boîtes de nuit une frénésie J’ai commencé à sortir en boîte de nuit, à boire de l’alcool, fumer beaucoup lors de mes sorties. J’ai rattrapé tout ce que je n’avais pas pu faire que ce soit chez mes parents ou chez les Témoins de Jéhovah, où tout est diabolisé, même la musique. C’était une sorte de frénésie. J’ai tout fait pour être acceptée par la société plus traditionnelle, par les amis de ma soeur. Tout sauf la drogue. Ça a a duré deux ans. Une deuxième fille après trois fausses couches Et puis je me suis ressaisie j’ai lu de nombreux livres de psychologie pour me déculpabiliser et comprendre que Dieu m’aimait encore, quoi que les Témoins de Jéhovah aient pu me dire. J’ai compris que Dieu pouvait écouter mes prières, je me suis réconciliée avec moi-même et avec Jésus. C’est à ce moment que j’ai épousé mon deuxième mari, un Polonais, athée, qui était plus jeune que moi. J’avais 28 ans et lui 21, et on était amoureux fous. J’ai vraiment aimé mon mari, cette fois. J’ai eu une autre fille après trois fausses couches. On a déménagé dans le Sud de la France, à Sète, pour que je puisse revoir ma famille. Ma mère s’est réconciliée avec moi, et m’a même invitée avec mon deuxième mari en Algérie, où nous avons été reçus comme des rois. Entre temps, les Témoins de Jéhovah avaient tenté de me récupérer, et de me réintégrer, sous plusieurs conditions je devais revenir et pendant un an, personne ne pouvait m’adresser la parole et je ne devais manquer aucune réunion. J’ai dit non, je trouvais le concept injuste. Une épicerie dans le Morbihan Malheureusement, mon second mariage n’a pas tenu le coup mon époux était trop immature. Je suis allée me “ressourcer” dans le Morbihan, où je ne connaissais personne, avec mes deux filles. Là -bas, j’ai repris des forces et j’ai monté une petite épicerie à mon compte en 1994. J’ai vécu seule avec mes filles dans la campagne bretonne. Ce n’était pas toujours facile, parce qu’on était isolées de tout. On en a d'ailleurs beaucoup souffert. L’hiver je ne travaillais pas, et nos déplacements étaient compliqués car on n’avait pas de voiture. On faisait beaucoup de stop. Les dettes se sont accumulées. Les Témoins de Jéhovah n'avaient pas changé Les Témoins de Jéhovah m’ont invitée au “mémorial”, une réunion qui a lieu au moment de Pâques, où ils convient tout le monde, même les membres déchus. C’était à Vannes. Nous y sommes allées en stop. Ils nous ont fait asseoir au fond parce que j’avais été exclue, et personne ne m’a adressé la parole. J’ai pu constater qu’ils n’avaient pas changé. Ça m’a énormément déçue. La maladie m'a affaiblie Quand nous avons déménagé à Nantes, où j’ai ouvert un cabinet de voyance on m’a toujours dit que j’avais un don et ma plus grande fille est allée vivre avec son père, qui avait repris contact avec elle. Elle voulait rattraper le temps perdu. Je suis restée avec ma deuxième fille, avec qui je m’entendais très bien. Nous étions clairement fusionnelles. Mais je suis tombée malade. Je souffrais de sinusites infectieuses qui me clouaient au lit. Je devais prendre jusqu’à huit médicaments par jour. J'ai accepté qu'elle prenne des cours de catéchisme avec eux Un jour, les Témoins de Jéhovah sont revenus frapper à notre porte. C’est ça qui est incroyable avec eux vous n’avez pas besoin d’aller vers eux, ils viennent à vous. Et pour peu que vous soyez dans une période difficile, ils en profitent. Moi, je me trouvais dans une grande précarité, et je ne pouvais pas m’occuper au mieux de ma fille à cause de ma maladie. Alors, quand ma fille m’a dit qu’elle aimerait connaître mieux Jésus, j’ai accepté qu’elle prenne des cours de catéchisme avec les Témoins de Jéhovah, mais chez nous pour que je garde le contrôle. On était, à l’époque, toujours très complices. Ma fille n'a plus voulu fêter Noël Mais au bout de deux ans d’études de la Bible avec les Témoins de Jéhovah, ma fille n’a plus voulu fêter Noël. L’année précédente avait pourtant été magique, puisque nous avions passé les fêtes avec mon deuxième ex-mari, ma grande fille et la plus petite, comme une famille. Entre sa crise d’adolescence et les Témoins de Jéhovah, cela a été compliqué à gérer. On a commencé à entrer en conflit parce que je ne voulais plus qu’elle s’investisse autant. Elle a voulu commencer à faire du porte-à -porte et notre relation s’est envenimée. Elle me disait que mon travail de voyance était démoniaque, elle qui adorait tirer les cartes quand elle était plus jeune. Entre ses réunions deux fois par semaines, le lycée, l’étude de la Bible, ma fille était épuisée. Et les Témoins de Jéhovah en ont profité pour lui monter la tête contre moi. Un mot sous mon bol de café À 18 ans, elle a donc décidé de partir pour les suivre. J’ai trouvé un mot sous mon bol de café un matin “Merci pour tout ce que tu as fait pour moi, je te souhaite d’être heureuse, j’ai besoin de vivre ma vie et ma religion. Tu es invitée à rejoindre le peuple de Jéhovah, plein d’amour et de compassion. M.” Dans la chambre, ma fille pleurait. Elle m’a sauté au cou et m’a dit qu’elle était désolée, mais qu’elle s’était engagée. Mon ex-mari, son père, est venu tout de suite, et nous avons décidé qu’elle le suivrait à Agen pendant les vacances d’été. Mais là -bas, elle a continué à assister à des réunions de Jéhovah, tout en communiquant avec moi par SMS, l’air de rien. Ce n’est qu’à son retour au mois d’août qu’elle m’a appelée pour me dire qu’elle ne reviendrait pas. "L'été meurtrier" C’était en 2010 et pour moi, c’est ce que j’appelle “l’été meurtrier”. Comme je suis excommuniée, ma fille n’a donc pas le droit de me parler ni de me contacter. Elle peut cependant voir son père, et passer des vacances avec lui, car lui n'a pas été répudié par les Témoins de Jéhovah. Un jour, nous nous sommes croisées dans un bus de Nantes. Elle s’est mise à pleurer, moi aussi. Mais elle m’a simplement dit qu’elle était majeure et qu'elle pouvait faire ce que bon lui semblait. La première année de son départ, j’étais perdue, choquée. J’ai pleuré tout ce que j’ai pu. J'essaie de communiquer avec elle comme avant Au bout d'un moment, j’ai décidé de médiatiser mon histoire. J’ai fait venir France 3, la presse locale, j’ai porté plainte pour abus de faiblesse… Mais ma plainte a été classée sans suite parce qu’il n’y a pas eu de trace de violence. Sur le plateau d’une émission télévisée, j’ai rencontré Dounia Bouzar, spécialiste de l’endoctrinement. Elle m’a conseillé de continuer à communiquer avec ma fille comme avant, de lui envoyer des images d’elle petite… C’est ce que je fais, mais elle ne me répond jamais. Je lui envoie aussi de nombreux articles sur les Témoins de Jéhovah, sur, par exemple, le procès qui a lieu en ce moment pour pédophilie. À chaque fois, elle considère seulement qu’il s’agit d’une propagande anti-Témoins de Jéhovah. En tout, je n’ai eu que quelques contacts très brefs avec elle. Et depuis un an, je n’ai plus aucune nouvelle. À chaque article qui paraît sur mon histoire, je reçois beaucoup d’insultes des Témoins de Jéhovah, qui me disent que ma fille a bien fait de me quitter. Cela peut toucher toutes les classes sociales Aujourd’hui, en France, ce mouvement est reconnu comme une religion à dérive sectaire. Il est donc sous surveillance de la Milivudes, et certains Témoins de Jéhovah sont sanctionnés quand il y a refus de soins, ou lors de cas de pédophilie, ce qui arrive souvent puisque le porte-à -porte se fait souvent à deux, avec un enfant et un adulte… Je suis soutenue par l’association CAFFES, dont la présidente a recueilli des milliers de plaintes de victimes des Témoins de Jéhovah. À Nantes, j’ai rencontré une autre mère qui a perdu sa fille à cause des Témoins de Jéhovah. Je l’ai orientée vers la police, vers certaines associations. Sa fille de 22 ans était gendarmette et issue d’une famille bourgeoise. Mais elle est quand même partie elle aussi. Il y a 4 mois, elle s’est mariée sans inviter personne de sa famille. Voila la preuve que cela touche tout le monde et toutes les classes sociales. Même si aujourd'hui j'ai trouvé un équilibre, que j'ai fait ma vie après les Témoins de Jéhovah, et que j'ai beaucoup d'activités peinture, animaux, et lutte contre l'endoctrinement, je souhaite que la loi interdise aux mineurs toute activité en compagnie des Témoins de Jéhovah, sauf en présence d’un parent. Et qu’il y ait, enfin, un débat politique sur les dérives de ce mouvement. Propos recueillis par Audrey Kucinskas
Depuis les langues se sont déliées, dont ces témoignages de victimes parus dans la presse. « Les Témoins de Jéhovah sont un paradis pour les pédophiles », selon les mots de Hadassah Wiersma (47 ans) qui a fait part des abus sexuels perpétrés
Publié10 octobre 2018, 1228RussieCinq Témoins de Jéhovah arrêtés pour extrémisme»La police russe dit avoir saisi chez cinq membres des Témoins de Jéhovah, deux grenades et un engin explosif. Ils ont été de brochures par des membres des Témoins de Jéhovah. image d'illustrationarchives, AFPLes forces de l'ordre russes ont annoncé mercredi avoir arrêté pour extrémisme» cinq membres des Témoins de Jéhovah, organisation religieuse interdite dans le pays depuis 2017, assurant avoir saisi chez eux deux grenades et un engin armes, ainsi qu'un grand nombre de livres à contenu extrémiste» ont été saisis lors des perquisitions effectuées au domicile de ces cinq personnes à Kirov, dans le centre de la Russie, a indiqué dans un communiqué le Comité d'enquête, organisme chargé des principales affaires criminelles dans le clandestines?Les cinq membres des Témoins de Jéhovah sont accusés d'avoir organisé des réunions clandestines à Kirov entre le 16 août 2017 et le 29 septembre 2018, malgré l'interdiction de l'organisation, selon la même source.Ils organisaient des réunions et appelaient les autres à les rejoindre», a déclaré à l'AFP une porte-parole de l'antenne locale du Comité d'enquête, Evguenia Vorojtsova. Tous les cinq sont en outre accusés d'avoir collecté plus de 500'000 roubles environ 6'500 euros auprès des Témoins de Jéhovah à Kirov, selon les ont été inculpés pour organisation et financement d'une organisation extrémiste», ajoute le millénaristeMouvement fondé en 1873 aux Etats-Unis par Charles Russel, les Témoins de Jéhovah se revendiquent du 2017, les Témoins de Jéhovah ont été interdits en Russie sur décision de la Cour suprême, sur demande du ministère de la Justice qui a estimé que ce mouvement millénariste présentait des signes d'activité extrémiste». L'organisation revendiquait alors quelque 170'000 membres en de défense des droits de l'homme Human Rights Watch HRW a dénoncé cette année une vaste campagne» de persécution religieuse» contre les Témoins de Jéhovah en Russie, en accusant les autorités d'avoir procédé à des dizaines de perquisitions, de raids, d'interrogatoires et d'autres actes de harcèlement et de persécution».La réaction des Témoins de JéhovahSuite à la publication de cet article, le porte-parole des Témoins de Jéhovah pour la Suisse romande, Georges-Philippe Mayor, précise que seule une personne parmi les cinq arrêtées est membre de leur communauté. La personne en possession de grenades et de mines n'appartient pas à la communauté des Témoins de Jéhovah», explique le communiqué qui se fonde sur des contrôles du siège mondial à Walkill aux Etats-Unis. On apprend également que ces personnes sont membres de la même famille et que les engins explosifs dateraient de la deuxième Guerre mondiale, qu'ils sont rouillés et hors d'usage. Ils auraient été collectionnés par le père de famille.AFP
Leparquet de Lorient ouvre une enquête suite à une plainte pour viol d'une femme membre des Témoins de Jéhovah. Elle accuse son père de l'avoir violée lorsqu'elle était enfant.
+5Jipéle lynx_Coeur de Loichateaudeau_Adso9 participantsPage 2 sur 2 • 1, 2 Re Des sites de rencontre pour les témoins de jehovah par le lynx Dim 14 Aoû 2011 - 1615Cher Gaston21,Bulle n'étant point présente, je crois que votre orthographe par vos doigts n'est qu'un soliloque qui va attirer des foudres burlesques. Est-ce ainsi ?Je connais quelques expressions canadiennes très cher Page 2 sur 2 • 1, 2 Sujets similairesPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Statutdes témoins de Jéhovah en France Les témoins de Jéhovah pratiquent un culte chrétien depuis plus d'un siècle, malgré l'opposition qu'ils ont pu rencontrer dans différents pays. Afin Statut des témoins de Jéhovah en France Les témoins de Jéhovah pratiquent un culte chrétien depuis plus d'un siècle, malgré l'opposition qu'ils ont pu rencontrer dans différents pays. Afin de favoriser leur libertés de culte et de conscience, ils se conforment au mieux à la législation et utilisent le cadre juridique prévu pour les religions. C'est ainsi qu'ils ont obtenu une large reconnaissance, notamment en Europe occidentale. Ils constituent désormais une collectivité de droit public en Allemagne et en Autriche. Au Royaume-Uni et au Canada, ils satisfont aux exigences d'attribution du statut d'organisme de bienfaisance. Ils sont sur le point de signer officiellement une convention avec les États italien et espagnol. Sans parler de leurs cérémonies de mariage qui emportent des effets civils dans plusieurs pays d'Europe, entre autres le Danemark et la Suède. En France, l'article 2 de la loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation des Églises et de l'État établit clairement La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte ». Il n'existe dès lors ni culte reconnu, ni secte officielle. D'où l'ambiguïté de leur situation juridique, soumise à l'interprétation par les uns et les autres de documents officiels, de décisions administratives ou d'arrêts de juridictions françaises. Tantôt qualifiés de secte officielle », tantôt présentés co= mme association cultuelle », ils rencontrent régulièrement des difficult= és dans leurs activités cultuelles et même dans leur vie privée, en raison d'intolérance à l'égard de leur religion. C'est pourquoi, les témoins de Jéhovah se sont efforcés d'engager les démarches administratives et judiciaires pour défendre leurs droits fondamentaux et faire reconnaître l'honorabilité de leur Église. Ils espèrent ai= nsi pouvoir vivre sereinement leur foi et contribuer à l'évolution des esprits en faveur d'un plus grand pluralisme spirituel. Les rapports et les listes sur les sectes S'ils subissaient de temps à autre des critiques d'associations antisectes ou de certains journalistes, c'est la publication fort médiatisée du rapport d'enquête parlementaire sur les sectes en France, au milieu des années 1990, qui a provoqué une véritable marginalisation des témoins de Jéhovah. Depuis lors, en référence = à la liste de 173 mouvements sectaires élaborée par la commission d'une trentaine de députés, il est régulièrement affirmé qu'ils seraien= t officiellement recensés comme secte » en France. Les conditions de travail peu ouvertes au contradictoire et précipitées leur ont valu nombre de reproches de la part de sociologues et historiens des religions, de juristes, ainsi que de représentants des grandes religions. Deux autres rapports parlementaires sur le même thème ont suivi respectivement en 1999 et en 2006. Pourtant, tant le gouvernement que les juridictions administratives et civiles ont établi que ces documents se révèlent simplement informatifs, sans aucune valeur juridique ni normative. Le ministre de l'Intérieur en particulier a émis cette clarification dans une circulaire adressée aux préfets en décembre 1999 Ces rapports parlementaires ne constituent qu'un élément d'information et de proposition, ils ne prétendent pas avoir valeur normative et ne sauraient fonder ni des distinctions entre les associations qualifiées de "sectaires" et celles qui ne le sont pas au regard desdits rapports ni des sanctions quelconques. » Finalement, l'utilisation de telles listes parlementaires de sectes a été écartée par le gouvernement, comme le confirme le Premier minis= tre en mai 2005 dans une circulaire L'action menée par le Gouvernement est dictée par le souci de concilier la lutte contre les agissements de certains groupes, qui exploitent la sujétion, physique ou psychologique, dans laquelle se trouvent placés leurs membres, avec le respect des libertés publiques et du principe de laïcité. L'expérience a montré qu'une démarche consistant, pour les pouvoi= rs publics, à qualifier de "secte" tel ou tel groupement et à fonder leur action sur cette seule qualification ne permettrait pas d'assurer efficacement cette conciliation et de fonder solidement en droit les initiatives prises. [] Enfin, [] le recours à des listes de groupements sera évité au profit de l'utilisation de faisceaux de critères. » De même, la circulaire du ministère de l'Intérieur du 25 février 20= 08 relative à la lutte contre les dérives sectaires explique qu'il ne s'agit pas dans l'intervention des pouvoirs publics de stigmatiser des courants de pensée », mais de s'attaquer aux faits avérés e= t pénalement répréhensibles », constitutifs d'une atteinte à l'= ordre public, aux biens ou aux personnes ». Et de se référer à la circula= ire précitée du Premier ministre, qui a clairement indiqué la néces= sité d'abandonner dans la recherche des dérives sectaires toute référence = à des listes, pour privilégier une logique de faits ayant l'avantage d'élargir le champ des investigations sans limiter celles-ci à des groupements préalablement identifiés ». De leur côté, les témoins de Jéhovah ne sont pas restés inactifs.= Tout recours légal contre de telles publications de l'Assemblée nationale demeurant impossible, ils ont demandé à pouvoir consulter le dossier fourni les Renseignements généraux à leur sujet à la commission parlementaire de 1995. En effet, c'est lui qui sert principalement aux représentants politiques de la commission à se justifier. Par soucis de transparence, le ministère de l'Intérieur n'a pas répondu favorablement, malgré leur obligation légale au titre du droit d'accè= s aux documents administratifs. Sous la contrainte du juge administratif, les autorités françaises ont communiqué ces élémen= ts qui relevaient prétendument de la sécurité publique Dévoilé lo= rs d'une conférence de presse, ce dossier a été examiné par Le Monde d= até du 20 décembre 2006 Cette "note blanche", qui leur a été communiquée après huit années de procédures, comprend uniquement un= e fiche de présentation et la liste de leurs lieux de culte. » C'est un peu léger pour expliquer toutes les discriminations que subissent depuis cette publication ces croyants pacifiques. Dans ce contexte polémique, les témoins de Jéhovah ont entrepris diverses démarches pour clarifier leur situation légale en France, notamment par rapport au statut cultuel de leurs associations, dans l'intention de se démarquer des mouvements qualifiés de sectaires = ». Le droit des cultes en France Depuis la loi du 9 décembre 1905 relative à la séparation des Églis= es et de l'État, le moyen d'organisation dédié aux religions est le statut d'association cultuelle. L'Église catholique romaine ayant refusé de se soumettre à cette nouvelle réglementation, le législat= eur a autorisé que les activités religieuses soient gérées à l'aide d= 'une simple association à but non lucratif loi du 1er juillet 1901, selon la loi du 2 janvier 1907. Néanmoins, le premier type d'association reste plus avantageux en matière de donations et d'exonération d'impôts. S'il n'existe plus de cultes reconnus depuis plus d'un siècle, ce que les médias oublient trop souvent, l'acceptation du statut d'association cultuelle par l'administration est généralement interprété comme une reconnaissance implicite. Dans une circulaire du 20 décembre 1999, le ministère de l'intérieur rappelle que toute personne peut déclarer une association cultuelle. Néanmoins, le terme cultuel » n'emporte de valeur juridique au sens de la loi de 1905 uniquement s'il obtient des autorités compétentes le droit de recevoir des libéralités et autres avantages fiscaux. À cette fin, l'organisme doit remplir trois conditions l'existence d'un culte, le caractère exclusivement cultuel de son objet et la non-contrariété à l'ordre public de son but statutaire ainsi que de ses activités effectives. La jurisprudence administrative S'il y a un mouvement qui a nourri la jurisprudence, qui a permis d'éclaircir les conditions de reconnaissance de cette qualité cultuelle, c'est bien celui des témoins de Jéhovah. Il est vrai que leurs premières démarches n'ont pas rencontré le succès attendu. En effet, un arrêt d'Assemblée du Conseil d'État a retenu que certaines activités non explicitées ne permettaient pas à l'association nationale représentant ce culte de recevoir un legs. Tandis que d'éminents juristes se sont insurgés contre cette attitude du juge suprême, les témoins de Jéhovah ne se sont pas laissés décourager= . Bien leur a valu. À nouveau sollicité, le Conseil d'État a cette fois-ci déchargé d= e la taxe d'habitation les édifices de culte appartenant à deux associations locales de cette même confession. Dans l'arrêt du 13 janvier 1993, la section du contentieux a soutenu la Cour d'appel, qui a estimé souverainement que les activités déployées étaient constitutives de l'exercice public d'un culte » et que les locaux étaient exclusivement affectés à cet exercice ». L'ensemble des Églises locales des témoins de Jéhovah ont par conséquent revendiqué l'exonération de la taxe foncière sur leurs lieux de culte, ce qui nécessite que le propriétaire forme une association cultuelle conforme à la loi de 1905. L'ensemble des tribunaux et cours administratifs ont donc été amenés à se prononce= r sur la qualité cultuelle de leurs activités religieuses. Selon L'Express du 27 janvier 2000, 23 tribunaux sur 26 et les quatre cours d'appel qui s'étaient déjà prononcés ont conclu en faveur des requérants. Dans le doute, l'un des juges a utilisé son droit d'interroger le Conseil d'État sur une question de droit nouvelle. Faute de pouvoir répondre sur le cas particulier qui lui était soumis, il a répondu dans son avis d'Assemblée du 24 octobre 1997 sur les conditions générales à satisfaire pour constituer une association cultuelle - elles doivent avoir exclusivement pour objet l'exercice d'un culte, c'est-à -dire, au sens de ces dispositions, la célébration de cérémonies organisées en vue de l'accomplissement, par des personnes réunies par une même croyance religieuse, de certains rites ou de certaines pratiques » ; - elles ne peuvent mener que des activités en relation avec cet objet telles que l'acquisition, la location, la construction, l'aménagement et l'entretien des édifices servant au culte ainsi que l'entretien et la formation des ministres et autres personnes concourant à l'exercice du culte » ; - elles ne peuvent poursuivre des activités qui pourraient porter atteinte à l'ordre public. Évidemment, les deux parties opposées étaient déterminées à all= er jusque devant la Cour suprême pour régler leur différend. Au regret d= u ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, le Conseil d'État a rendu le 23 juin 2000 une confirmation de la jurisprudence admettant majoritairement les prétentions juridiques des témoins de Jéhovah. Outre l'évidence non remise en question du caractère cultuel des activités des associations, les juges du Palais Royal ont justifié leur décision par le fait qu'il ne résultait de l'instruction, ni que ladite association ait fait l'objet de poursuites ou d'une dissolution de la part des autorités administratives et judiciaires, ni qu'elle ait incité ses membres à commettre des délits, en particulier celui de non assistance à personne en danger » et que la cour d'appel avait pu juger, à juste titre, que l'activité de l'association considérée ne menaçait pas l'ordre public. Ces deux arrêts de principe de la section du contentieux, associés à l'avis d'Assemblée de 1997, établissent désormais une nouvelle jurisprudence, qui rend caduque la solution discutable de 1985 et qui permet de considérer les associations locales et régionales pour le culte des témoins de Jéhovah comme cultuelles » au sens de la loi= du 9 décembre 1905. La pratique administrative Finalement, l'administration fiscale a dû accorder aux assemblées locales des témoins de Jéhovah l'exonération de la taxe foncière su= r leurs salles de réunions. En l'absence d'élément concret justifiant u= n quelconque trouble à l'ordre public, le ministère de l'Intérieur a fait de même en accordant systématiquement le bénéfice des dispositions prévues pour les associations cultuelles aux associations des Témoins de Jéhovah», comme l'a confirmé le chef du Bureau centr= al des cultes devant la commission d'enquête parlementaire sur les sectes et les mineurs en 2006. Aussi, dans son édition nationale du 4 février 2008, Le Parisien a-t-il signalé qu'un millier de communautés de témoins de Jéhovah, tout comme leur représentation nationale en particulier l'Association cultuelle les Témoins de Jéhovah de France depuis 2002, disposent du droit d'accepter des dons et legs, ainsi que de délivrer des reçus fiscaux ouvrant droit à déduction sur l'impôt sur le revenu. Et de conclure qu'avec 200 000 fidèles, ils deviennent ainsi la cinquième religion » de France. Dans la continuité, les ministres du culte permanents de l'Association cultuelle les Témoins de Jéhovah de France et les membres de la Communauté chrétienne des Béthélites ont finalement été affili= és à la Caisse d'assurance vieillesse, invalidité et maladie des cultes CAVIMAC par décision de son conseil d'administration du 27 janvier 2003. Ils profitent désormais de ce régime spécial de protection sociale, au même titre que huit autres religions traditionnelles, grâce à un avis positif de la Commission consultative des cultes réunie le 26 octobre 2001. Une position officiellement soutenue Évidemment, les militants antisectes s'obstinent à affirmer que les témoins de Jéhovah ne peuvent constituer des associations cultuelles reconnues, en contradiction avec la jurisprudence, les décisions administratives et tous les commentaires de revues juridiques. Selon eux, le trouble à l'ordre public aurait été ignoré, alors que les autorités compétentes n'écartent pas ce contrôle et au contraire se justifient sans problème d'un point de vue juridique. Le gouvernement de son côté maintient sans hésitation sa position. Dans l'article précité du quotidien Le Parisien, Michèle Alliot-Marie a répondu à la question du statut des Témoins de Jéhovah en France = C'est une association légale. Elle a pu poser, à un moment donné, des difficultés, notamment au regard de la liberté de soins. Le Conseil d'État a tranché au regard de la loi, c'est une association cultuelle. Mon rôle, c'est de faire appliquer la loi. » Quant à l'Élysée, il est reproché à la Miviludes, entre autres, d'avoir mené une étude comparative sur le statut des Témoins de Jéhovah à l'étranger, alors que la question de leur statut en France avait été réglée depuis leur reconnaissance comme association cultuelle par le Conseil d'État. Une ligne rouge a été franchie = », cite le journal La Croix, publié le 5 février 2008. En somme, cette évolution juridique favorable aux témoins de Jéhovah constitue une avancée remarquable qui contribue à l'intégration de cette minorité religieuse dans le paysage cultuel de France. Elle reflète probablement le résultat d'une plus grande connaissance et d'une meilleure compréhension de leur Église. Déjà en 1997, Le Mond= e notait dans l'analyse d'une décision d'un tribunal administratif Le jugement confirme une évolution vers la "normalisation" des Témoins de Jéhovah ». Dimanche 31 Janvier 2010 Davy FORGETLapersécution des Témoins de Jéhovah se poursuit sans relâche. Au cours des six derniers mois, 20 d’entre eux ont été condamnés pour avoir pratiqué leur religion et purgent leur peine de prison. En voici la liste : 06 juin 2022 : Vladimir Ermolaev, 34 ans (6 ½ ans) Alexander Putintsev, 48 ans (6 ½ ans) Igor Mamalimov, 46 ans (6 ans dans une colonie) 31