samedi14 avril 2007, Journaux, [Saguenay] :ProgrÚs du Saguenay limitée,1981-
Nous avons demandĂ© Ă la communautĂ© BuzzFeed de partager ses souvenirs les plus mĂ©morables de rencontres avec de gros pĂ©nis. Eh bien, ils en avaient des trucs Ă dire... Voici quelques-unes des meilleures histoires. 1. La saucisse de 30 cm. ĂJe suis sortie avec un type qui en avait une de 30 cm. Dans le meilleur des cas, avoir des relations sexuelles Ă©tait quelque chose d'inconfortable, et en plus il refusait de me faire des cunnilingus. Je l'ai quittĂ© aprĂšs avoir passĂ© un an a essayer de trouver des excuses pour ne pas coucher avec lui. Le pire, c'est qu'il n'avait aucune idĂ©e d'Ă quel point sa bite Ă©tait grosse, Ă chaque fois qu'on parlait de sa taille, il ne voulait pas me croire quand je lui disais qu'il Ă©tait plus gros que la hollyskittlesb 2. Le gland consĂ©quent ĂĂâ°tant lesbienne, je n'ai pas vu beaucoup de pĂ©nis depuis que j'ai perdu ma virginitĂ© Ă 17 ans. Mais ma premiĂšre expĂ©rience avec quelqu'un du sexe opposĂ© a Ă©tĂ© un homme qui, Ă ce jour, a le plus gros pĂ©nis que j'aie jamais vu. On faisait du camping avec un grand groupe, sous tentes et Ă cheval, prĂšs de la riviĂšre Suwannee en Floride. Mon petit ami de lycĂ©e et moi sommes allĂ©s tĂÂŽt dans ma tente, et l'on s'est lancĂ©s dans une session de cĂÂąlins assez chauds. AprĂšs m'avoir demandĂ© mon accord, il a sorti un pĂ©nis extrĂÂȘmement long, dur comme un roc et trĂšs a passĂ© les 10 minutes suivantes Ă essayer de faire rentrer juste le bout. C'Ă©tait Ă©puisant et ça faisait mal, mais lui Ă©tait dĂ©terminĂ© et moi j'Ă©tais en pleine pĂ©riode "j'ai pas envie d'ĂÂȘtre lesbienne" donc je faisais preuve de beaucoup de patience, mĂÂȘme si je souffrais terriblement. Heureusement, une fois qu'il Ă©tait rentrĂ©, ça n'a pas durĂ© trĂšs longtemps. Mais parfois quand j'y repense, je me souviens de la force avec laquelle cet Ă©norme membre rentrait dans ma chair. C'est pas que cette expĂ©rience m'a dĂ©goĂ»tĂ© pour toujours des hommes ĂąâŹâĂ je pense que c'Ă©tait dĂ©jĂ rĂ©glĂ© Ă ce moment lĂ Ă ĂąâŹâ, mais j'ai clairement appris Ă apprĂ©cier le kristens13 3. Le type de la tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ© solide comme un roc ĂIl y a quelque temps, j'Ă©tais vraiment AMOUREUSE de ce type qui Ă©tait apparu dans mon Ă©mission de tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ© prĂ©fĂ©rĂ©e. J'Ă©tais fan, et j'allais sur son Instagram dĂšs que j'en avais l'occasion. Un jour, il a remarquĂ© un de mes commentaires, et m'a envoyĂ© un message. On a Ă©changĂ© nos numĂ©ros et on a commencĂ© une relation Ă distance, et un jour il m'a envoyĂ© une photo de sa bite qui m'a fait avaler mon cafĂ© de travers. Vu sa taille, je pensais qu'il aurait une bite de taille moyenne, mais il Ă©tait Ăâ°NORME. J'Ă©tais certaine qu'il allait me casser en deux. Malheureusement, on a rompu avant que je puisse aller le voir pour un weekend. J'ai ratĂ© cette ĂąâŹâĂ phoebecruz 4. Le pote aux toilettes. ĂJe prenais un verre avec mon meilleur ami, et il a invitĂ© un de ses potes. On est allĂ© aux toilettes en mĂÂȘme temps, et, pour faire court, elle Ă©tait si grosse qu'il avait besoin de la tenir Ă deux mains pour pisser. Je n'Ă©tais mĂÂȘme pas jaloux Ă ce niveau-lĂ , seulement effrayĂ©.Ă»ùâŹâĂ mcgoddamn 5. La Ăbite bĂ»cheĂ» ĂJe rencontrĂ© un mec sur Tinder, et aprĂšs l'un de nos rencarts, on a fini chez lui. HonnĂÂȘtement, j'ai voulu rĂ©sister, mais je n'ai pas pu me retenir, et nos vĂÂȘtements ont volĂ© Ă travers la piĂšce. Un truc que j'aime faire, c'est avoir la tĂÂȘte qui dĂ©passe du lit et dĂ©faire le pantalon du mec pendant qu'il est debout, avant de lui faire une fellation. Quand je lui ai retirĂ© son pantalon, sa bite m'a tapĂ© le front, et j'ai eu le souffle coupĂ© en pensant que cette chose allait finir dans ma gorge. Je ne crois pas que je sois parvenue Ă mettre plus de 3 cm de ce monstre dans ma bouche, et le sexe a Ă©tĂ© presque dĂ©sagrĂ©able. PRESQUE, car l'Ă©paisseur de cette bite-bĂ»che Ă©tait incroyable. Cela va sans dire, si un jour j'en ai le courage, je le oliviavincentk 6. Le joueur de clavier ĂQuand j'Ă©tais plus jeune, il y avait ce type qui m'a draguĂ© pendant des mois. Il n'arrĂÂȘtait pas de me dire qu'il avait une bite de la taille d'un clavier, et je n'arrĂÂȘtais pas de l'ignorer. Finalement, j'ai changĂ© d'avis. J'Ă©tais dans sa chambre, et, quand il l'a sortie, j'ai d'abord pensĂ©à "Oh mon Dieu, elle fait vraiment la taille d'un clavier pour enfants." J'Ă©tais prĂÂȘte pour le challenge mais je me suis vite rendue compte que c'Ă©tait juste trop gros pour moi. Il arrivait Ă peine Ă faire rentrer le bout sans que ça fasse mal, que je me plaigne et que ça glisse. Un jour ça a glissĂ© et j'ai juste serrĂ© les cuisses trĂšs fort et je l'ai laissĂ© baiser comme ça en faisant comme si c'Ă©tait mon vagin parce que y'avait pas moyen que ça rentre de toute faç breg4234ec519 7. La tĂÂȘte de bite avec une grosse bite ĂMon ex en avait une d'environ 30Ă cm. C'Ă©tait une grosse tĂÂȘte de bite, je suppose que c'est normal qu'il en ait eu une heinrichgabrielf 8. Le professionnel ĂJ'Ă©tais en deuxiĂšme annĂ©e de fac, et j'Ă©tais vierge. J'avais flirtĂ© avec ce mec rencontrĂ© en cours, et un soir, il m'a invitĂ©e chez lui. Bien sĂ»r, la premiĂšre fois que j'ai vu son pĂ©nis, j'ai pensĂ© qu'il Ă©tait de taille normale, parce que je n'en avais pas vu beaucoup auparavant, mais j'arrivais Ă peine Ă le mettre dans ma bouche. Quand il a essayĂ© de me pĂ©nĂ©trer, seul le bout rentrait. J'Ă©tais trĂšs gĂÂȘnĂ©e, parce que je pensais que c'Ă©tait ma faute. Mais bon, il l'a bien pris. J'ai appris par la suite qu'il tournait dans des pornos Ă cĂÂŽtĂ© pour se faire un peu d' oliviap442af5447 9. Le gars avec de grands... pieds. ĂJ'ai rencontrĂ© ce type quand je bossais dans une boutique de chaussures. Il Ă©tait gĂÂȘnĂ©e Ă cause de sa grande pointure de chaussure, et je lui ai dit en plaisantant, ĂVous savez ce qu'on dit des hommes Ă grands piedsĂ» en lui faisant un clin d'Ă
âil. Quelques temps plus tard, on commence Ă se voir, et putain, cette blague Ă©tait plus qu'adaptĂ©e. il en avait une Ăâ°NORMEĂ ! Au moins 30Ă centimĂštres. Les relations sexuelles Ă©taient... compliquĂ©es. Je me souviens qu'il m'avait dit "Les mecs ont toujours envie d'avoir une grosse bite, mais en fait, c'est vraiment chiant."Ă»ùâŹâĂ marleep3 10. Le plan cul gĂ©nial ĂJ'avais un plan cul avec un mec, et, sans dĂ©conner, sa bite Ă©tait grosse comme une cannette de Monster. Je parle en longueur et en largeur. La premiĂšre fois que je l'ai vue, j'ai honnĂÂȘtement eu une exclamation de surprise. Jusqu'Ă aujourd'hui, cela a Ă©tĂ© le meilleur coup que j'ai eu. Coucher avec lui me faisait me sentir vraiment pleine, et c'Ă©tait juste Ă la limite entre plaisir et douleur. J'ai versĂ© une larme en l'honneur de ce glorieux pĂ©nis quand il a dĂ©mĂ©nagĂ©.Ă»ùâŹâĂ vanessam4d77c73c0 11. Le crĂÂąneur sur la plage naturiste. ĂJ'ai trainĂ© pendant quelques mois sur une plage naturiste Ă HawaĂÂŻ. Un mec avait le plus gros pĂ©nis de la plage, un Ă©norme et monstrueux engin de 30 cm non circoncis. Il en Ă©tait tellement fierĂ ! Il roulait des mĂ©caniques sur la plage, tout hillaryg5 12. Le plan d'un soir magique. ĂJ'ai eu mon premier plan d'un soir Ă 17 ans. Il faisait sombre, j'ai mis la main pour le masturber, et j'ai cru que je lui avais saisi l'avant-bras. Il Ă©tait tellement gros qu'il m'a presque cassĂ© en bhogan535 13. La batte de base-ball. ĂLa bite de mon ex Ă©tait comme une batte de base-ball. SĂ©rieusement, mĂÂȘme longueur, mĂÂȘme largeur, mĂÂȘme forme. Enfin, pas sĂ©rieusement, mais AU MOINS 25 cm. Le gland Ă©tait plus gros que le reste, et c'Ă©tait incroyable quand il prenait son temps et se retirait complĂštement avant de re-rentrer. Mais, bon sang, quand il commençait Ă pilonner, je sentais mon col de l'utĂ©rus ladydanger2020 14. L'amant gros et fainĂ©ant. Ă25 cm, et aussi gros que mon poignet. Le problĂšmeĂ ? Il Ă©tait persuadĂ© que ses 25Ă cm Ă©taient tout ce qu'il fallait pour que le sexe soit agrĂ©able. Il restait allongĂ©, comme l'incarnation d'un bĂÂąillement. Mon meilleur coupĂ ? 12 centimĂštres et la fougue de quelqu'un qui ne lĂÂąchera pas l' thedistancetohere222 15. Le bon chrĂ©tien ĂJe suis allĂ© dans une petite universitĂ© chrĂ©tienne de l'Idaho aux Ăâ°tats-Unis. Je sortais avec ce garçon dont les parents Ă©taient missionnaires, et qui Ă©tait donc trĂšs religieux, mais il faisait prĂšs de 2Ă mĂštres, et son pĂ©nis Ă©tait Ă l'avenant. Comme nous Ă©tions tous deux trĂšs religieux Ă l'Ă©poque, nous n'avons pas eu de rapports sexuels avec pĂ©nĂ©tration. Les garçons n'avaient pas le droit d'aller dans la chambre des filles, et vice-versa, donc on se masturbait toujours l'un l'autre dans des placards et des salles de classe vides, ou dans le bureau de son surveillant la nuit. Je n'avais jamais vu de pĂ©nis de ma vie, donc, quand j'ai commencĂ© Ă jouer avec, je n'ai pas trop rĂ©flĂ©chi au fait qu'il faisait au moins 25 cm en Ă©rection, et que ma main n'en faisait pas le tour. J'ai simplement pensĂ© que c'Ă©tait normal. Nous n'avons pas eu de rapport sexuel avec pĂ©nĂ©tration pendant l'annĂ©e et demie oĂÂč nous sommes sortis ensemble. Parfois, je me demande comment ça se serait passĂ©, et je suis un peu soulagĂ©e du fait que la premiĂšre bite qui m'ait pĂ©nĂ©trĂ©e ne faisait pas 25Ă samanthah470d36cca 16. Le gĂ©ant du football amĂ©ricain ĂJ'avais 18 ans, et le type que je voyais Ă©tait un joueur de football amĂ©ricain de 2Ă mĂštres, et, quand on s'est retrouvĂ©s nus, il Ă©tait tellement gros que j'ai menti en lui disant que je n'avais plus de prĂ©servatifs pour Ă©viter d'essayer de faire rentrer ce gĂ©ant. Mon inexpĂ©rience a clairement contribuĂ© au fait que je n'avais pas confiance en moi. Je ne peux pas dire que j'aurais refusĂ© si je l'avais vu aujourd'huiĂ ! Il Ă©tait BĂâ° christinak4c924587c 17. Et enfin, le gros claqueur ĂAu dĂ©but de ma deuxiĂšme annĂ©e de fac, j'ai rencontrĂ© ce mec d'une autre fac qui rendait visite Ă des amis. On a fini ensemble ce soir-lĂ , et son pĂ©nis Ă©tait le plus gros que j'aie jamais vu, au moins 25Ă cm en Ă©rection. Pour faire court, je lui ai fait une fellation, son pĂ©nis Ă©tait trop grand pour tenir dans ma bouche et est ressorti, mais, en ressortant, il est remontĂ© et lui a claquĂ© le ventre dans un grand bruit. Cela m'a tellement fait rire que j'ai sans doute cassĂ© l' afin21 Les histoires ont Ă©tĂ© modifiĂ©es dans un souci de concision et de clartĂ©. BuzzFeed DailyKeep up with the latest daily buzz with the BuzzFeed Daily newsletter!
VĂ©rifiĂ© le 15 juin 2021 - Direction de l'information lĂ©gale et administrative Premier ministreQuand le dĂ©funt n'a pas fait de testament, ses biens vont Ă ses descendants titleContent, et Ă son Ă©pouxse s'il Ă©tait mariĂ©. Quand le dĂ©funt a fait un testament, il doit rĂ©server une partie de son patrimoine Ă ses descendants. Il peut attribuer la part restante librement au profit d'un hĂ©ritier ou d'un tiers. CrĂ©dits Service Public DILAPas de testamentRĂ©pondez aux questions successives et les rĂ©ponses sâafficheront automatiquementCas gĂ©nĂ©ralSi le dĂ©funt n'a pas fait de legs titleContent ou de donation, ses enfants reçoivent l'intĂ©gralitĂ© des biens restants aprĂšs la part attribuĂ©e Ă l'Ă©poux les enfants ont les mĂȘmes droits dans la succession. Le partage est effectuĂ© entre eux Ă parts Si le dĂ©funt a eu 2 enfants pendant son mariage, dont l'un avec une femme autre que son Ă©pouse, chaque enfant recevra la moitiĂ© des biens de son pĂšre, aprĂšs la part attribuĂ©e Ă l' adoptĂ©Adoption simpleL'adoptĂ© hĂ©rite des 2 familles, c'est-Ă -dire de sa famille d'origine et de sa famille ne bĂ©nĂ©ficie pas de la gratuitĂ© des droits de succession titleContent dans sa famille adoptive. Il paie les mĂȘmes droits que les personnes sans lien de parentĂ© 60 %, sauf dans certains cas enfant issu d'un premier mariage de l'Ă©poux ou partenaire de Pacs ou concubin, pupille de l'Ătat ....Adoption plĂ©niĂšreL'enfant adoptĂ© a droit Ă la succession de ses parents adoptifs. Il bĂ©nĂ©ficie de la gratuitĂ© des droits de succession cette adoption lui fait perdre ses droits sur la succession de ses parents principe, un petit-enfant n'hĂ©rite pas de ses il hĂ©rite par reprĂ©sentation, c'est-Ă -dire Ă la place de ses parents, dans les 3 cas suivants Son parent titleContent est dĂ©cĂ©dĂ©Son parent renonce Ă la succession de son propre parentSon parent est indigne de succĂ©derRĂ©pondez aux questions successives et les rĂ©ponses sâafficheront automatiquementDĂ©funt mariĂ©DĂ©funt ne laissant que des enfants issus du coupleL'Ă©poux survivant a le choix entre les 2 options suivantes Usufruit de la totalitĂ© de la successionPleine propriĂ©tĂ© du quart de la successionLes droits des descendants titleContent sont rĂ©duits d' de la succession - cas oĂč le le dĂ©funt ne laisse que des enfants issus du coupleChoix de l'Ă©poux survivantPart revenant aux enfantsUsufruit de la totalitĂ© de la successionNue-propriĂ©tĂ© de toute la successionPleine propriĂ©tĂ© du quart de la successionPleine propriĂ©tĂ© des 3/4 de la successionDĂ©funt laissant des enfants issus d'une prĂ©cĂ©dente unionSi le dĂ©funt laisse des enfants issus d'une prĂ©cĂ©dente union, l'Ă©poux survivant hĂ©rite du quart de la succession en pleine ce cas, les enfants hĂ©ritent des 3/4 de la non mariĂ©Si le dĂ©funt vivait en couple, son partenaire de Pacs ou son concubin n'ont aucun droit sur sa aux questions successives et les rĂ©ponses sâafficheront automatiquementCas gĂ©nĂ©ralLa part d'hĂ©ritage rĂ©servĂ©e aux enfants est la suivante La moitiĂ© des biens s'il y a 1 enfantLes 2/3 des biens s'il y a 2 enfantsLes 3/4 des biens s'il y a 3 enfants et plusSi le dĂ©funt a plusieurs enfants, le partage est effectuĂ© entre eux Ă parts adoptĂ©Adoption simpleL'adoptĂ© hĂ©rite des 2 familles, c'est-Ă -dire de sa famille d'origine et de sa famille ne bĂ©nĂ©ficie pas de la gratuitĂ© des droits de succession titleContent dans sa famille adoptive. Il paie les mĂȘmes droits que les personnes sans lien de parentĂ© 60 %, sauf dans certains cas enfant issu d'un premier mariage de l'Ă©poux ou partenaire de Pacs ou concubin, pupille de l'Ătat ....Adoption plĂ©niĂšreL'enfant adoptĂ© a droit Ă la succession de ses parents adoptifs. Il bĂ©nĂ©ficie de la gratuitĂ© des droits de succession cette adoption lui fait perdre ses droits sur la succession de ses parents principe, un petit-enfant n'hĂ©rite pas de ses il hĂ©rite par reprĂ©sentation, c'est-Ă -dire Ă la place de ses parents, dans les 3 cas suivants Son parent titleContent est dĂ©cĂ©dĂ©Son parent renonce Ă la succession de son propre parentSon parent est indigne de succĂ©derLa quotitĂ© disponible titleContent peut ĂȘtre attribuĂ©e librement par le dĂ©funt dans son Le dĂ©funt a un patrimoine de 200 000 ⏠et 3 enfants. Ses enfants se partageront 75 % de ce patrimoine, soit 150 000 ⏠à parts Ă©gales. Chaque enfant recevra donc 50 000 âŹ. Le dĂ©funt peut attribuer les 25 % restants, soit 50 000 ⏠aux personnes de son choix hĂ©ritiers ou tiers.Ă savoir les parents ont un droit de retour, c'est-Ă -dire le droit de reprendre les biens qu'ils avaient donnĂ©s Ă leurs enfants avant leur peut m'aider ?Trouvez les acteurs qui peuvent rĂ©pondre Ă vos questions dans votre rĂ©gionRenseignement administratif par tĂ©lĂ©phone - Allo Service PublicLe service Allo Service Public est actuellement perturbĂ©. Nous vous prions de nous en informateurs qui vous rĂ©pondent appartiennent au ministĂšre de la service gratuitService accessible aux horaires suivants Ătre rappelĂ©eNotaire Questions ? RĂ©ponses !Cette page vous a-t-elle Ă©tĂ© utile ?
10canoés, 150 lances et 3 épouses Cycle 1 de Rolf de Heer 91 minutes 2006 En des temps reculés, dans le nord de l'Australie. Le jeune Dayindi convoite l'une des trois femmes de son
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Vivre une expĂ©rience sexuelle avec ton compagnon et un autre partenaire, ça te tente ? Câest le fantasme rĂ©alisĂ© par cette lectrice de Madmoizelle lors dâun plan Ă trois avec son mari et un autre homme. PubliĂ© le 17 octobre 2019 Au printemps 2018, nous avons organisĂ© et vĂ©cu avec mon mari notre premier plan cul de couple » avec une tierce personne. Nous avons eu beaucoup de chance en rencontrant la » bonne personne pour nous et ce fut incroyablement beau, bon, sexy, respectueux et enrichissant. Ă lâorigine de cette expĂ©rience, il y avait une envie et un besoin plutĂŽt prĂ©cis de mon cĂŽtĂ© je fantasmais depuis un certain temps sur les hommes exceptionnellement membrĂ©s. Avec mon homme, nous avions dĂ©jĂ Ă©changĂ© Ă ce propos car nous parlons de tout sans tabou, et notamment de sexualitĂ©. Il avait remarquĂ© que les vidĂ©os porno que je regardais Ă cĂŽtĂ© de lui sur mon petit tĂ©lĂ©phone dans notre lit mettaient en scĂšne des hommes particuliĂšrement hors norme ! Fantasmer sur le plan Ă trois avec mon mari Tout comme moi, jâavais remarquĂ© que ses choix Ă lui allaient souvent vers des threesomes, deux filles et un mec, mais aussi deux mecs et une fille. Niveau sexe, on nâa pas vraiment de complexe ou de blocage lâun et lâautre on aime explorer et surtout Ă©couter nos dĂ©sirs. Parfois on ne fait lâamour que deux fois par mois, et puis soudainement il arrive quâon se transforme en petits lapins ! Pour nous, le plus important câest dâĂȘtre loyal, envers soi-mĂȘme et envers lâautre. Nous avons tous les deux Ă©tĂ© trompĂ©s par nos ex suite Ă des baisses de libido, et cela nous a beaucoup affectĂ©s humainement. Alors quand on sâest rencontrĂ©s, câĂ©tait pour nous la rĂšgle de base la fidĂ©litĂ© entre nous serait de se dire les choses. Un jour, il me dit Mais si tu fantasmes autant sur les grosses queues, pourquoi tu ne tâautoriserais pas un plan cul avec un gars qui en a une vraiment grosse ? » Oui, il est pas du genre possessif mon homme. Jây ai rĂ©flĂ©chi mais je ne me voyais pas vivre un truc sans lui, pour moi ça aurait Ă©tĂ© comme le tromper et dĂ©cidĂ©ment ça ne me plaisait pas comme scĂ©nario. Quand aux clubs » Ă©changistes, nous y avions mis les pieds une fois lâannĂ©e dâavant par curiositĂ© et nous Ă©tions ressortis complĂštement dĂ©goĂ»tĂ©s de cette expĂ©rience. Ambiance boĂźte de nuit, musique trop forte, alcĂŽves sombres, crades, mecs bedonnants qui te mettent la main au cul sans te demander ton avis, ça nâĂ©tait vraiment pas notre truc. On avait eu la sensation de se retrouver exposĂ©s comme de froids morceaux de viande et nous avions conclu que ça nâĂ©tait pas pour nous. Et si on faisait un plan Ă trois en couple ? Quelques jours plus tard, je lui ai proposĂ© une autre autre solution Et si on vivait cette expĂ©rience en couple ? ». On a pris le temps de parler, de se positionner, on sâest dit nos limites, nos attentes, nos besoins, nos envies, on sâest littĂ©ralement projetĂ©s dans la scĂšne, ce qui nous a permis dâexprimer quelques petites angoisses aussi. Peur de lâabandon quand tu nous tiens⊠Et puis le lendemain, il mâa montrĂ© un texte quâil avait Ă©crit afin de le mettre sur un site spĂ©cialisĂ©. Ce texte nous prĂ©sentait succinctement et proposait une rencontre oĂč la femme resterait centrale » câest comme ça quâil avait exprimĂ© ses propres limites et jâai trouvĂ© ça bien. On Ă©tait super excitĂ©s quand on a mis le texte en ligne, comme des gamins qui font un truc un peu interdit, câĂ©tait drĂŽle. CâĂ©tait une belle soirĂ©e de vendredi, nos enfants Ă©taient respectivement chez leurs autres parents, on avait tout le week-end de libre, pour nous. Et lĂ , on a commencĂ© Ă recevoir des mails, beaucoup de mails ! On Ă©tait tous les deux lovĂ©s lâun contre lâautre dans le canapĂ© et il pleuvait des mails dans notre boĂźte spĂ©cialement créée pour lâoccasion. Trouver la bonne personne pour faire un plan Ă trois avec mon mari On sâest regardĂ©s surpris et on a ouvert la premiĂšre rĂ©ponse un homme qui se disait intĂ©ressĂ© et joignait une photo Ă sa phrase. Sur le tĂ©lĂ©phone de mon mari, on a chargĂ© la photo et on sâest retrouvĂ©s nez Ă nez avec un sexe en gros plan ! Il a eu le rĂ©flexe dâĂ©loigner le tĂ©lĂ©phone de lui en tendant son bras et on a Ă©clatĂ© de rire. VoilĂ , câĂ©tait notre premiĂšre expĂ©rience de dick-pic, Ă lâĂ©poque on ne savait pas que ça existait ! En mĂȘme temps, on lâavait bien cherchĂ© car dans notre annonce une des demandes explicites Ă©tait que le troisiĂšme luron soit bien dotĂ©. Quâest-ce quâon a ri ce soir-lĂ , en voyant tous les messages improbables que lâon recevait. On sâest vite rendu compte quâon devrait mettre en place une technique pour trier les rĂ©ponses afin de choisir au mieux. DĂ©jĂ , on a commencĂ© par Ă©liminer ceux qui ne prenaient pas le temps dâĂ©crire plus de trois phrases. Puis on a rĂ©alisĂ© quâon prĂ©fĂ©rait Ă©changer avec ceux qui envoyaient des photos dâeux-mĂȘme jointes Ă celle de leur bite ou pas, finalement. On a surtout fait confiance Ă nos premiĂšres intuitions. Discuter avec quatre hommes, jusquâĂ avoir un bon feeling AprĂšs ce premier tri, on a entamĂ© une correspondance avec 4 hommes diffĂ©rents. Avec lâun, on sâest rendu compte au cours des Ă©changes quâil Ă©tait en couple et que sa femme nâĂ©tait pas au courant de ses aventures pour nous, câĂ©tait niet. Avec un autre, nous avons ressenti venant de sa part un besoin pressant qui nous dĂ©rangeait. Et quand il a commencĂ© Ă devenir vraiment trop insistant, nous avons coupĂ© court. Avec le troisiĂšme, câĂ©tait sympa mais je le trouvais un peu jeune. Il avait 25 ans, il sortait de sa premiĂšre relation longue et avait envie de se changer les idĂ©es. Jâai partagĂ© mes doutes avec mon mari mais comme le gars Ă©tait gentil, mignon et quâil Ă©tait libre dans le week-end, nous avons convenu dâun rendez-vous dans un cafĂ© en bord de mer, dans la ville oĂč il habitait. Nous avons fait une heure de route et puis 15 minutes avant le rendez-vous, nous avons reçu un sms de sa part, nous disant quâil Ă©tait dĂ©solĂ© mais que ça allait trop vite pour lui. Moi ça mâa un peu Ă©nervĂ©e sur le moment, mais au final je suis contente quâil ait annulĂ© parce que ce nâĂ©tait pas le bon. Le quatriĂšme, tu tâen doutes, Ă©tait le bon ! DĂšs le dĂ©but de nos Ă©changes par mails, on a senti quâon Ă©tait sur la mĂȘme longueur dâonde. Sa photo de profil le montrait en visite dans un musĂ©e dâart, il avait notre Ăąge et avait dĂ©jĂ eu deux expĂ©riences avec un couple pendant des vacances dâĂ©tĂ©. Ce qui nous a tout de suite rassurĂ©s. On parlait le mĂȘme langage et nous avons convenu dâune premiĂšre rencontre dans un bar de notre ville. Entre nos premiers Ă©changes et le rendez-vous, deux semaines sâĂ©taient Ă©coulĂ©es. Un premier rendez-vous pour faire connaissance avant un Ă©ventuel plan Ă trois Avec mon mec, une de nos limites Ă©tait quâon ne voulait pas vivre cette expĂ©rience chez nous, on avait envie de protĂ©ger notre maison familiale et on Ă©tait prĂȘts Ă prendre une chambre dâhĂŽtel si jamais la troisiĂšme personne partageait le mĂȘme besoin que le nĂŽtre. MĂȘme si on trouvait ça un peu froid les chambres dâhĂŽtel et que le fait de devoir payer pour vivre une expĂ©rience sexuelle me plaisait moyen⊠Quand Peter est entrĂ© dans le bar, il nous a tout de suite plu, autant Ă mon mec quâĂ moi. On a aimĂ© ce qui se dĂ©gageait de sa personne. Il Ă©tait trĂšs similaire physiquement Ă mon homme, mĂȘme taille, mince comme lui et trĂšs stressĂ© comme lui. CâĂ©tait incroyable de se retrouver dans ce cafĂ©, sans se connaĂźtre pour parler de soi et de nos sexualitĂ©s. On sâest mis Ă une table qui Ă©tait un peu Ă lâĂ©cart pour pouvoir parler librement. Peter nous a racontĂ© ses deux expĂ©riences, Ă chaque fois il sâĂ©tait retrouvĂ© embarquĂ© par un couple homme-femme et il en gardait un merveilleux souvenir. Il nous en parlait de façon trĂšs belle et tendre. Il nous a aussi fait part de son stress et sâest dit intimidĂ© dâĂȘtre lĂ , seul face Ă nous entitĂ© couple. LĂ , jâai rĂ©alisĂ© quâil avait du courage en effet et ça nous a permis Ă mon mari et moi dâĂȘtre encore plus attentif Ă lui. Ăa collait bien entre nous Une de ses premiĂšres questions a Ă©tĂ© de nous demander pourquoi nous nâavions pas cherchĂ© un couple, comme nous Ă©tions un couple. On sâest retrouvĂ©s bĂȘtes car on y avait pas pensĂ©. Rencontrer une troisiĂšme personne câest dĂ©jĂ beaucoup, non ? » a Ă©tĂ© notre rĂ©ponse. Je nous trouvais trĂšs mignons tous les trois dans ce cafĂ© et Ă©trangement je me sentais Ă lâaise. Pour lui, la nouveautĂ© Ă©tait dâĂȘtre la personne expĂ©rimentĂ©e et de se retrouver en quelque sorte comme le guide de lâaventure. Il avait envie que ce soit aussi bien pour nous que ce quâil avait vĂ©cu et se sentait investi dâune petite » responsabilitĂ©. Nous avons tout de suite rĂ©alisĂ© que ça collait bien entre nous, quâon sâattirait autant Ă©motionnellement que physiquement alors nous sommes passĂ©s Ă la vitesse supĂ©rieure. Je lui ai demandĂ© comment il imaginait les choses du cĂŽtĂ© pratique. En tant que cĂ©libataire, il nous a immĂ©diatement invitĂ© Ă venir chez lui, et mĂȘme sâil nâavait pas projetĂ© que ça irait si vite, il a dit Bah oui finalement, si on a organisĂ© cette rencontre câest pas pour faire genre et remettre Ă plus tard ». Il nous a demandĂ© de lui donner 30 minutes dâavance afin quâil prĂ©pare sa maison pour nous accueillir. PrĂ©venant, en plus. On sentait lâĂ©lectricitĂ© Quand on sâest sĂ©parĂ©s au bar, on sentait lâĂ©lectricitĂ© entre nous trois. Le moindre effleurement de peau et nos bises nous on fait rĂ©aliser Ă quel point nous Ă©tions excitĂ©s ! ArrivĂ©s chez lui, nous avons dĂ©couvert sa maison super belle, bien dĂ©corĂ©e dans le style dâun mec cĂ©libataire ayant la quarantaine, du goĂ»t et des moyens. Nous sommes montĂ©s directement sous les combles oĂč nous attendait une chambre dâamis cosy, douillette avec poutres apparentes, le lit Ă hauteur du sol, comme je les prĂ©fĂšre pour faire lâamour. Peter avait installĂ© son ordi pour mettre de la musique, et en plus il avait de trĂšs bon goĂ»ts musicaux. Il avait montĂ© son huile de massage et nous avions apportĂ© la nĂŽtre câĂ©tait la mĂȘme. Il Ă©tait vraiment aux petits soins avec nous. Son attention allait autant vers moi que vers mon homme. Quand on sâest dĂ©shabillĂ©s, mon mari mâa regardĂ©e en poussant un petit soupir de soulagement car Peter Ă©tait imberbe du torse et je savais quâil avait super peur de se retrouver face Ă un mec trĂšs poilu. Nous avons passĂ© une merveilleuse nuit dâamour. Jâai Ă©tĂ© une vraie princesse, choyĂ©e, comblĂ©e dâamour et de caresses, au centre de tout. On sâest bien amusĂ©s et on a aussi beaucoup ri de la nouveautĂ©. Parfois, on arrivait mĂȘme Ă verbaliser les choses quand lâĂ©motion Ă©tait trop forte. Quand je me suis retrouvĂ©e assise sur mes genoux entourĂ©e de deux magnifiques hommes avec de chaque cĂŽtĂ© Ă hauteur de mon visage, leurs bites entre mes mains, puis contre mes joues, câĂ©tait houaaaa, trĂšs puissant. Quand jây repense, ça mâĂ©moustille encore entre les cuisses. Mon mari a pris beaucoup de plaisir Ă regarder cet homme mâen donner Je crois que mon mari a pris beaucoup de plaisir Ă regarder cet homme mâen donner et il Ă©tait sans aucun doute le plus excitĂ© de nous trois ! Câest dâailleurs le seul Ă avoir joui cette fois-lĂ . AprĂšs que nos ardeurs se soient calmĂ©es, nous avons passĂ© encore une heure sur le lit, Ă Ă©couter de la musique, Ă parler de plein de trucs diffĂ©rents, Ă toucher nos corps tout doucement, Ă se renifler tendrement. Jâaimais particuliĂšrement sentir les diffĂ©rentes textures de peaux, de cheveux entre eux deux. La fatigue arrivant, il nous a proposĂ© de rester mais nous avions envie de nous rĂ©veiller chez nous au petit matin. On voulait prĂ©server intacte cette bulle temporelle, sans lâentacher de quotidien, avec un rĂ©veil Ă gĂ©rer thĂ© ou cafĂ© ? » Au final, il ne mâa mĂȘme pas pĂ©nĂ©trĂ©e avec sa grosse queue. Ce nâest pas grave, je lâai sentie aux creux des mes mains et elle a somptueusement rempli ma bouche, câĂ©tait largement suffisant. Pendant les deux jours qui ont suivi, jâai littĂ©ralement planĂ©, jâavais beau agir au prĂ©sent, mes pensĂ©es sâen retournaient Ă cette nuit magique, ça me faisait des petits papillons dans le corps et câĂ©tait dĂ©licieux. Pour mon homme, câĂ©tait la mĂȘme chose, quand on se croisait dans la maison, on se regardait dans les yeux avec beaucoup dâamour. On avait dĂ©sormais un beau secret Ă chĂ©rir ensemble. Nous avons envoyĂ© un message Ă Peter pour lui raconter notre Ă©tat, il nous a rĂ©pondu que lui aussi planait sur son petit nuage Ă quelques kilomĂštres de lĂ . AprĂšs le plan Ă trois avec mon mari, des questions Ă©mergent Le lundi, avec la reprise du boulot et le retour des enfants, on a dĂ» atterrir. Ă la fin de la semaine, mon souvenir sâest transformĂ© et jâai rĂ©ussi Ă analyser certaines choses. Je suis comme ça moi, jâintellectualise tout, câest une belle qualitĂ© qui sâavĂšre parfois fatigante. Je suis alors revenue vers mon mari pour lui faire part de mon cheminement cĂ©rĂ©bral. CâĂ©tait vraiment bien comme premiĂšre expĂ©rience MAIS jâavais finalement Ă©tĂ© gĂȘnĂ©e dâĂȘtre le centre de tout. La danse Ă©tait codifiĂ©e dĂšs le dĂ©part alors quâen amour je prĂ©fĂšre la danse libre. Jâai parfois eu la sensation dâĂȘtre la dĂ©positaire de caresses qui ne mâappartenaient pas. Cette image a beaucoup parlĂ© Ă mon compagnon et il a cogitĂ© sur ça quelques jours. Il a envoyĂ© un message Ă Peter pour avoir son avis et Peter lui a effectivement dit quâil sâĂ©tait beaucoup retenu afin de respecter son fameux la femme reste centrale ». Ils se sont rendu compte quâils sâĂ©taient attirĂ©s mutuellement mais quâils nâavaient pas osĂ© aller au-delĂ de la complicitĂ© visuelle. Il faut savoir que Peter est hĂ©tĂ©ro. En dehors de ces trois aventures, il a toujours Ă©tĂ© attirĂ© par les femmes et a toujours eu des relations longues avec des femmes. Mon mec aussi. Un deuxiĂšme plan Ă trois avec mon mari et encore plus de plaisir Nous avons organisĂ© une deuxiĂšme rencontre qui a surpassĂ© de loin la premiĂšre, chacun Ă©tant libre dans la danse de lâamour. On Ă©tait tous au mĂȘme niveau, Ă Ă©galitĂ©. On a encore bien ri des nouveautĂ©s et moi jâai littĂ©ralement fondu dâamour en les regardant. Avec Peter, on embrassait le corps de mon homme ensemble, chacun dâun cĂŽtĂ©, quatre mains se promenant sur lui, deux bouches sur son sexe, câĂ©tait hot. Tous le monde donnait, tous le monde recevait et on a eu droit Ă de belles explosions de rires et de plaisirs, surtout quand mon mec sâadonnant Ă une fellation sâest interrompu, surpris mais ça nâa pas de goĂ»t ! » Mon mari nâa pas remis en question son orientation sexuelle aprĂšs cette expĂ©rience. CâĂ©tait une belle parenthĂšse dans notre vie, et nous en chĂ©rissons le souvenir ensemble. Cela nous a rendus encore plus soudĂ©s en tant que couple. Ce tĂ©moignage tâa donnĂ© envie de rĂ©agir ? Rendez-vous dans les commentaires pour en parler avec bienveillance et respect. TĂ©moignez sur Madmoizelle ! Pour tĂ©moigner sur Madmoizelle, Ă©crivez-nous Ă [email protected] On a hĂąte de vous lire !FilmEn Streaming complet HD en version française. Plus fort que le silence. Trop belle pour toi. Le Pacificateur. Breaking the Waves. Smilla. Le Bazaar de l'Ă©pouvante. Reminder of your requestDownloading format TextView 1 to 8 on 8Number of pages 8Full noticeTitle Figaro journal non politiquePublisher Figaro ParisPublication date 1932-06-20Contributor Villemessant, Hippolyte de 1810-1879. Directeur de publicationContributor Jouvin, BenoĂźt 1810-1886. Directeur de publicationRelationship textType printed serialLanguage frenchFormat Nombre total de vues 164718Description 20 juin 1932Description 1932/06/20 NumĂ©ro 172.Description Collection numĂ©rique Arts de la marionnetteDescription Collection numĂ©rique Commun Patrimoine bibliothĂšque numĂ©rique du rĂ©seau des mĂ©diathĂšques de Plaine communeDescription Collection numĂ©rique La Commune de ParisRights Consultable en ligneRights Public domainIdentifier ark/12148/bpt6k297000gSource BibliothĂšque nationale de FranceProvenance BibliothĂšque nationale de FranceOnline date 15/10/2007The text displayed may contain some errors. The text of this document has been generated automatically by an optical character recognition OCR program. The estimated recognition rate for this document is 78%.Xj .A. IF» O LI T I Q TJ ES LE pEflDlfljif HICHE ET IfiG^RT M. Von Papen est un homme plein de tact. Si nous ne craignions d'en manquer, nous dirions que cet expert en explosions s'est surpassĂ© il a fait sauter ce qui restait des rĂ©parations avec plus d'Ă©lĂ©gance que, pendant la guerre, ĂŻes usines et les bateaux des Etats-Unis. Il les a fait sauter avec des paroles prononcĂ©es en français, attention dĂ©licate Ă notre Ă©gard et dont la France, douairiĂšre des nations, doit savoir grĂ© Ă ce chancelier dĂ©butant. S'il a une bonne presse chez nous c'est aussi parce que le fond de ses propos est conforme au dĂ©sir de ses interlocuteurs. Il ne nous a pas traitĂ©s d'idiots », comme autrefois les citoyens amĂ©ricains. Il nous a seulement traitĂ©s, avec courtoisie, comme si nousl'Ă©tions. _âąâą -âąâąâą Ì âąÌ' Quel est le principal rĂ©sultat des trente-deux ,.1 confĂ©rences qui se sont rĂ©unies depuis la guerre, pour la liquider, fonder la paix Ă©ternelle et assurer le bonheur de l'humanitĂ© ? C'est d'irriter et d'aggra- ver les maux qu'elles prĂ©tendaient guĂ©rir. Dans un article rĂ©cent, M. Winston Churchill exprimait cette Ă©vidence en disant que le monde ne fait que s'y gratter d'une dĂ©mangeaison et s'y mordre sur une dent sensible. Ce n'est plus exact, grĂące Ă M. Von Papen. A Lausanne, le prurit des rĂ©parations est traitĂ© par la poudre adoucissante et aux yeux du moratoire. Si vous prĂ©fĂ©rez la deuxiĂšme mĂ©ta- phore de M. Winston Churchill, celle de la dent sensible, vous reconnaĂźtrez que la France, par l'en- tremise de ses dĂ©lĂ©guĂ©s, n'a pas Ă©tĂ© particuliĂšrement mordante et que ceux-ci n'ont mĂȘme pas mangĂ© le morceau, puisqu'ils ont Ă©vitĂ© de dire les vĂ©ritĂ©s dĂ©sagrĂ©ables. Ils ont mis tous leurs soins Ă dent malade depuis que la carie lui a Ă©tĂ© inoculĂ©e, en 1924, sous la forme de la confiance en l'Allemagne. Tout le problĂšme des rĂ©parations consiste Ă l'arracher sans douleur et, autant que possible, en donnant au patient l'impression qu'il est soulagĂ©. M. Von Papen collabore Ă cette opĂ©ration en ne rĂ©pĂ©tant pas, comme ce lourdaud de BrĂŒning, que l'Allemagne ne paiera jamais parce qu'elle ne veut pas payer, et en ne, protestant ^i^^q^and M. Herriot rĂ©serve l'avenir ». Cependant, M. Von Papen parle un autre langage quand il s'adresse, devant le microphone, au peuple allemand. L'Ă©tranger, dit-il, doit avoir le sentiment que derriĂšre la dĂ©lĂ©gation allemande, il y a l'Allemagne tout entiĂšre. » II dit aussi, au sujet de la crise que traverse l'Allemagne, qu'elle ne peut s'en tirer toute seule ». Pas un mot de remerciement pour la France qui, cependant, ajoute au dĂ©ficit de son budget plus de deux milliards, et soulage le budget allemand d'autant. M. Von Papen nous signifie que cette bagatelle ne compte pas et que pour obliger le monde, c'est-Ă -dire la France, terre-neuve des nations, Ă faire davantage, il a toute l'Allemagne derriĂšre lui. Le mĂȘme jour, l'ex-chancelier BrĂŒning tient le mĂȘme langage En politique Ă©trangĂšre, nous ne connaissons qu'une seule Allemagne. » C'est le ton des gens bien Ă©levĂ©s. Les autres nous demandent la bourse ou la vie. M. Macdonald a fait appel Ă ce qu'il appelle lĂ gĂ©nĂ©rositĂ© contagieuse ». La nĂŽtre ne l'est pas en Allemagne oĂč la gĂ©nĂ©rositĂ© ne s'exerce qu'envers elle-mĂȘme. Dans un article de la Revue de Paris que nous avons dĂ©jĂ citĂ©, M. Henry BĂ©renger montre que le chiffre Ă©norme de ses recettes 14 milliards de reichsmarks permet Ă l'Allemagne de payer les rĂ©parations. D'aprĂšs les Ă©valuations de M. PoincarĂ© et de M. Eccard, le seul budget de la propa'gande allemande, c'est-Ă -dire de la prĂ©paration morale de la guerre contre nous, s'Ă©lĂšve Ă plus de 600 millions de francs, soit le montant de l'annuitĂ© dite inconditionnelle qu'elle dĂ©clare ne pouvoir nous .payer et Ă laquelle nous renonçons gracieusement. En mĂȘme temps, le Reich augmente son budget militaire et met en chantier un nouveau croiseur. L'Allemagne nous tend la main et, pour nous remercier de ce que nous y mettons, nous tend le poing. Pour elle la question des rĂ©parations est celle de sa propre reconstitution en vue de nouvelles dĂ©vastations. Le mendiant ingrat qui, Ă la faveur du rapprochement franco-allemand » a relevĂ© les plans de notre maison demande Ă ses gardiens de quoi acheter les instruments nĂ©cessaires pour la cambrioler. EN QUATRIEME PAGE HOMMAGE A CLAUDE DEBUSSY Par ROBERT BRUSSEL LES 24 HEURES DU MANS Nous publierons dans notre numĂ©ro de mercredi prochain, les arguments de fond, les conclusions particuliĂšres et enfin la conclusion gĂ©nĂ©rale de la trĂšs importante consultation juridique de MM. Achille Mestre et Albert Wahl, les jurisconsultes universellement rĂ©putĂ©s, professeurs Ă la FacultĂ© de Droit de Paris, sur la gestion industrielle, financiĂšre et fiscale des Entreprises créées et contrĂŽlĂ©es par M. François COTY, directeur de Figaro et fondateur de l'Ami du Peuple. LA CRISE MONDIALE HjrĂźĂȘ intervention du roi Albert Le roi Albert a adressĂ© Ă M. Renkin, premier ministre et chef de la dĂ©lĂ©gation belge Ă Lausanne, la lettre suivante ; Mon cher premier ministre, » Depuis que la guerre a pris fin, tous les experts que les gouvernements ont consultĂ©s ont invariablement exprimĂ© l'avis que la prospĂ©ritĂ© des peuples et leurs relations pacifiques sont subordonnĂ©es Ă une plus grande libertĂ© dans la circulation des marchandises, des capitaux et de la main-d'Ćuvre. Depuis que la crise fait sentir ses effets, les recommandations des hommes compĂ©tents sont devenues de plus en plus pressantes. » Malheureusement, ces graves avertissements n'ont pas Ă©tĂ© Ă©coutĂ©s. Chaque Etat, agissant isolĂ©ment, a mis en Ćuvre tous les moyens dont il disposait pour soustraire l'Ă©conomie nationale aux effets de la crise. Par l'accroissement incessant des droits de douane, par -des surtaxes, des prohibitions, des contingentements, par le contrĂŽle du commerce des devises, il semble que l'on se soit appliquĂ© presque partout Ă rĂ©duire les importations. II en est rĂ©sultĂ© une contraction inĂ©vitable des exportations. » Les consĂ©quences de cette politique de restrictions ont Ă©tĂ© nĂ©fastes. Elle a abouti, pour reprendre l'expression du comitĂ© financier de la SociĂ©tĂ© des nations, Ă l'Ă©tranglement du commerce international ». Depuis trois ans, la valeur des Ă©changes internationaux s'est rĂ©duite de moitiĂ© et cette rĂ©duction, on le sait, n'est due que partiellement Ă la baisse des prix. » Les Etats dont les dĂ©bouchĂ©s extĂ©rieurs se resserraient n'ont d'ailleurs point trouvĂ© de compensation sur le marchĂ© national. La capacitĂ© de consommation de celui-ci va diminuant. Pendant la mĂȘme pĂ©riode de trois ans, le nombre des chĂŽmeurs a doublĂ©. » La preuve est ainsi dĂ©finitivement faite qu'aucun pays n'est en Ă©tat, par le jeu de ses propres forces, de dĂ©tourner en sa faveur le cours de l'Ă©volution Ă©conomique. Seules les actions concertĂ©es des Etats dans le sens de la solidaritĂ© internationale pourraient porter remĂšde aux maux profonds dont souffre le monde. Il est temps que cette solidaritĂ© s'affirme autrement que par des discours. » Il me paraĂźt que la Belgique ne devrait pas hĂ©siter Ă prendre dans cet ordre d'idĂ©es les initiatives que les, circonstances paraĂźtraient commander et' Ă s'assurer Ă cette fin le concours des Etats qui, comme notre pays, seraient profondĂ©ment pĂ©nĂ©trĂ©s d'Ă« la nĂ©cessitĂ© d'un changement de politique Ă©co- ..BfiĂźnfQjic/ '.Ì Â» Je sais, mon cher premier ministre, que mes prĂ©occupations sont les vĂŽtres et celles de tout mon gouvernement. Je compte sur vous et sur vos collĂšgues pour aviser aux' mesures que rĂ©clame une situation 4ei. plus en plus angoissante. » Croye?;moi toujours, mon cher premier ministre, votre trĂšs affectionnĂ©. » Albert. » On ne saurait qu'approuver la pensĂ©e qui a dictĂ© au roi Albert cette gĂ©nĂ©reuse initiative. Toutefois, il est bien certain que son efficacitĂ© est avant tout subordonnĂ©e Ă l'adhĂ©sion de toutes les puissances qui ont eu recours au procĂ©dĂ© que le souverain dĂ©nonce. Obtiendra-t-on cette unanimitĂ© indispensable? AU MAGICIEN DES JARDINS Parmi les traditions de haut goĂ»t et de civilisation Ă©lĂ©gante que Figaro s'est toujours attachĂ© Ă dĂ©fendre, il n'en est pas de plus prĂ©cieuse que celle de l'art des jardins. Aussi attirons-nous tout particuliĂšrement l'attention sur la cĂ©rĂ©monie qui se dĂ©roulera jeudi matin, Ă onze heures trente, dans le Jardin des Iris, Ă Bagatelle. Un mĂ©daillon reproduisant les traits de Forestier sera inaugurĂ© dans cette partie du parc que le cĂ©lĂšbre maĂźtre des jardins» affectionnait tant, et il'n'est pas sans poĂ©sie d'indiquer que la manifestation, tout intime, aura lieu en pleine saison des fleurs, une demi-heure aprĂšs le concours des roses. Il y aura dĂ©jĂ deux ans le 27 octobre prochain que Forestier est mort, prĂ©maturĂ©ment, peut-on dire, tant cet homme au passĂ© riche de rĂ©alisations avait gardĂ© de spontanĂ©itĂ© dans la conception, de flamme dans le travail. Ses titres Ă©taient multiples conservateur en chef des promenades de Paris, vice-prĂ©sident de la SociĂ©tĂ© française des Urbanistes, prĂ©sident de la'Ligue urbaine son titre de commandeur du mĂ©rite civil d'Espagne il Ă©tait Ă©galement officier de la LĂ©gion d'honneur rappelait dans quelle mesure il avait su faire triompher Ă Barcelone, Ă Montjuich, la beautĂ©, la grĂące et la variĂ©tĂ© de ses crĂ©ations. L'AmĂ©rique du Sud, notamment l'Argentine et le BrĂ©sil, lui doivent des promenades oĂč se reflĂšte l'Ăąme de notre pays, avec son hĂ©ritage de noblesse et d'harmonie. Nous sommes certains que la carriĂšre de Forestier sera Ă©voquĂ©e jeudi comme il convient. Venu de Polytechnique et des Eaux et ForĂȘts, il s'Ă©tait apercu que l'esthĂ©tique des jardins Ă©tait rĂ©duite Ă des 'proportions misĂ©rables alors, courageusement, avec passion, avec un allant » dont il ne s'Ă©tait pas encore dĂ©parti au seuil de la vieillesse, il s'Ă©tait mis Ă l'oeuvre, et dans un art oĂč la subtilitĂ©, l'ingĂ©niositĂ© et la fantaisie ont pour mission de dĂ©velopper Ă l'infini de mĂ©thodiques ordonnances, il. avait atteint la perfection. Forestier fut-il, en France, utilisĂ© et compris comme il eĂ»t fallu ? Non, sans doute. SUr 'la fih-kiĂ« sa vie, cet homme qui avait Ă©tĂ© sous maintes latitudes un ambassadeur de nos enchantemehts, se laissait aller Ă regretter qu'on ne l'eĂ»t pas mieux employĂ© dans son propre pays. Quand il quitta la conservation Effective des promenades de Paris, il voulut bien rrfe livrer de 'brĂšves confidences oĂč la haute notion du mĂ©tier se confondait avec le patriotisme. ^iv Fernand David, ancien ministre de l'agriculture, f utile grand; animateur du comitĂ© du monument commĂ©moratif, d'ailleurs extrĂȘmement simple le profil de Forestier se^dĂ©tache au-dessus d'un banc oĂč la rĂȘverie assise pourra, ccĂŻĂŻhme dans la poĂ©sie cĂ©lĂšbre de ThĂ©ophile Gautier, venir s'asseoir l'amitiĂ© sera souvent sa compagne. Tous ceux qui discernent dans l'art des jardins l'extrĂȘme perfection de l'architecture monumentale se rappelleront aussi que celui qui restaura chez nous les thĂ©ories de LenĂŽtrea montrĂ©, dans son beau livre Jardins, combien un esprit et une langue lucides sont liĂ©s Ă la fois au sens du dĂ©cor, des lignes et des horizons. GaĂ«tan Sanvoisin. 1 Ă Le CongrĂšs eucharistique de Dublin Humiliations d'hier et pompes d'aujourd'hui Douze cardinaux, plus dĂ©trois cents Ă©vĂȘques sont arrivĂ©s ou attendus Ă Dublin; l'univers catholique a envoyĂ© ses dĂ©lĂ©gations d'innombrables Irlandais sont revenus des plus lointaines latitudes, pour reprendre contact avec leur capitale un quart de la population irlandaise a quittĂ© ses foyers pour assister aux fĂȘtes. Dans un rayon de plus de cent kilomĂštres aux alentours, des logements s'amĂ©nagent les navires, dans le port,.ÂŁont fonction de logis, et fonction de sanctuaires aussi on cite tel paquebot dont le grand salon abrite seize autels. Car il ne s'agit pas seulement d'accueillir des milliers de fidĂšles et des milliers de prĂȘtres, mais de trouver encore les pierres d'autel nĂ©cessaires pour les milliers d'hosties qu'au jour le jour ces prĂȘtres consacreront. Le cardinal Lauri est lĂ , comme lĂ©gat de Pie XI c'est sous sa prĂ©sidence que le CongrĂšs eu- charistique international v,se dĂ©rouler. Sydney, Chicago connurent jadis les mĂȘmes pompes c'est au tour Ă Dublin. A PhĆnix Park un nom qui rappelle beaucoup de discordes civiques se cĂ©lĂ©brera, en plein air, la messe du CongrĂšs et dans la procession qui suivra, le chef du gouvernement et le chef de l'opposition, les prĂ©sidents des assemblĂ©es parlementaires, les maires de Dublin, Cork et Limerick porteront le dais. Quelques jours de rĂšgne eucharistique mettront comme un intervalle entre les agitations d'hier et les agitations de demain, et crĂ©eront une atmosphĂšre mystique oĂč s'assourdira, pour un instant, l'Ă©cho des disputes humaines. 'l{ J'Ă©voque, il y a cent ans, dans cette mĂȘme Irlande, les visions d'humiliation, de douloureuse indigence, de sĂ©curitĂ© toujours menacĂ©e qui rĂ©voltaient l'Ăąme du jeune Charles de Montalembert. Il confiait ses impressions, en janvier 1831, Ă l'Avenir de Lamennais. Devant lui, dĂ©jĂ , une manifestation eucharistique se dĂ©ployait c'Ă©tait au fond de la campagne, au cĆur d'une Ă©paisse plantation de hĂȘtres et de sapins un pauvre prĂȘtre disait la messe dans un Ă©troit Ă©difice de chaume, avec des chandelles en guise de cierges, et la terre humide pour plancher et, tout autour de l'humble sanctuaire, des foules d'hommes Ă genoux, sous la pluie, dans la boue. Et le prĂȘtre .annonçait r que, tel jour, il irait, pour abrĂ©ger le chemin 'de' ses paroissiens, dans telle cabane, qui deviendrait, pendant ce temps-lĂ , la maison de Dieu, qu'il y distribuerait les sacrements ». La messe, si longtemps dĂ©linquante en cette terre d'Irlande, Ă©tait comme le point de ralliement, oĂč les consciences irlandaises se sentaient invincibles, parce que resserrĂ©es les unes contre les autres, au pied du mĂȘme autel. Montalembert s'agenouillait devant la foi de ces pauvres gens, le seul dĂ©bris, disait-il, qu'ils eussent dĂ©robĂ© Ă leurs conquĂ©rants » et lorsqu'il les voyait payer la dime au clergĂ© anglican, subvenir aux rĂ©parations et aux ornements des Ă©glises anglicanes, manquer de viande manquer de pain, et cependant entretenir leurs chapelles et leurs prĂȘtres, il les qualifiait de peuple sublime ». Aux antipodes, -ana avant que Montalembert n'Ă©crivĂźt ces lignes, d'autres Irlandais Ă©migrĂ©s, ceux-lĂ dĂ©robaient aux regards de la police et offraient aux regards ide rDieu le spectacle, plus pittoresque et plus Ă©mouvant encore, d'une sorte de vie catacombale, autourj d'une hostie. C'Ă©tait en Australie un intolĂ©raritigouverneur avait brusquement fait arrĂȘter, et expĂ©diĂ© Ă Londres comme prisonnier, le P. Flynn, cistercien d'Irlande, qui secrĂštement disait la messe, Ă Sydney, chez un laĂŻc du nom de Davis. DĂ©sormais, il n'y avait plus de prĂȘtre, mais l'hostie restait, que le P. Flynn n'avait pas eu la permission d'aller chercher pour la consommer et deux dans la maison qui l'abritait, cette divine >Ă©pave fut l'objet, quotidiennement, d'occultes pĂšlerinages. On parlera bientĂŽt de la Sainte Maison d'Australie » et lorsque en 1821, Ă la suite des discussions de la Chambre des communes, l'arrivĂ©e de deux prĂȘtres Ă Sydney marquera l'avĂšnement d'une Ăšre de libertĂ©s partielles, cette de l'Eucharistie sera appelĂ©e Ă uue gloire singuliĂšre lĂ oĂč la Sainte Maison » s'Ă©levait, iĂ . oĂč se blottissaient, sous un toit pareil Ă tous .les. autres, vie dĂ©vote et vie divine, on verra ç'Ă©hwer la cathĂ©drale SaintPatrick, et le siĂšcle ne s'achĂšvera pas sans que l'archevĂȘque qui, dans cejt .Ă©difice aura son siĂšge, soit honorĂ© de la pourpre romaine. Ì Ìâą;> j se dit un peu plus souvent qu'autrefois, et c'est tout. Pour aboutir Ă la mĂȘme situation aux Etats-Unis une Ă©volution considĂ©rable a dĂ» avoir lieu. En effet, la jeunesse depuis de longues annĂ©es, en Ă©tait venue non seulement Ă effacer de la politique, mais encore Ă s'en dĂ©sintĂ©resser absolument. La population dans son ensemble, il faut bien le dire, Ă mesure qu'elle croissait, parallĂšlement au dĂ©veloppement Ă©conomique des Etats-Unis avait subordonnĂ© la politique au business ». La politique n'Ă©tait qu'une des multiples faces des problĂšmes industriels ou commerciaux. Quelques ambitieux non spĂ©cialisĂ©s, n'ayant rien de mieux Ă faire, pouvaient, seuls, y consacrer leur temps de façon permanente, et les hommes d'Etat de valeur, Ă quelques exceptions prĂšs, Ă©taient des particuliers de premier plan dĂ©tournĂ©s Ă la demande gĂ©nĂ©rale ,de leurs occupations personnelles, et de leurs entreprises prospĂšres pour permettre d'Ă©tendre au reste de la nation les bĂ©nĂ©fices -de leur habile gestion des affaires. Dans ces conditions; les milieux d'Ă©tudiants amĂ©ricains, Ă©lite intellectuelle, avaient fini par abandonner complĂš-; tement la lecture de la premiĂšre partie des journaux nouvelles internationales, Ă©vĂ©nements politiques, pour lire uniquement le vaste supplĂ©ment consacrĂ© aux sports et au cinĂ©ma. Seule, l'Ă©lection prĂ©sidentielle d'importance nationale primordiale, un peu peut-ĂȘtre Ă cause de son caractĂšre sportif, suite d'Ă©liminatoires entre candidats dans chaque parti, avant le choix dĂ©cisif et le vote final, arrivait Ă prĂ©occuper sĂ©rieusement les esprits, Au moment prĂ©sent, depuis l'Ăšre des difficultĂ©s Ă©conomiques, une nouvelle attitude se remarque pour tous, y compris les jeunes, la politique est passĂ©e au premier plan. Selon que le budget sera en Ă©quilibre ou non, les dettes abolies ou non, la prohibition supprimĂ©e ou conservĂ©e, des prĂȘts consentis ou refusĂ©s aux entreprises privĂ©es, des travaux publics entrepris sur. une petite ou une vaste Ă©chelle, selon l'attitude du gouvernement vis-Ă -vis du Japon pour conserver le marchĂ© chinois aux AmĂ©ricains, selon les modalitĂ©s du rĂ©gime douanier, maintenues ou transformĂ©es, qui endigueront ou augmenteront le courant des Ă©changes avec l'Ă©tranger de façon sensible, selon le rĂ©sultat des votes au CongrĂšs et la politique personnelle du PrĂ©sident sur bien d'autres questions vitales, la reprise des affaires privĂ©es peut ĂȘtre une question de mois ou d'annĂ©es. Aussi, depuis le Prep School ou High School », oĂč l'on entre vers seize ans, jusqu'aux grandes universitĂ©s Yale/; 'Harvard, Princeton, Columbia, etc., pour les hdnimĂ«s, d'oĂč on sort Ă vingt-trois ans Bryn Mawr, Smith CollĂšge, MoUnt Holyoke, pour les jeunes d'oĂč on sort Ă vingt ans, les conversations politiques ont pris de l'importance et les dĂ©veloppements nationaux ou internationaux sont Ă©tudiĂ©s et commentĂ©s. Quel sera l'effet sur la politique amĂ©ricaine de cette nouvelle masse d'Ă©lecteurs et mĂȘme d'Ă©lectrices devenus critique et observatrice ? Sur une certaine pĂ©riode de temps, dans un avenir relativement Ă©loignĂ©, pareil phĂ©nomĂšne devrait provoquer des changements surtout dans l'orientation de la politique intĂ©rieure. La jeunesse moderne aux Etats-Unis admet difficilement les contraintes exagĂ©rĂ©es, lĂ©galement imposĂ©es aux citoyens sous l'influence de certaines Eglises rĂ©formĂ©es et des organisations laĂŻques moralisatrices Anti Saloon League et autres. Les religions, d'ailleurs, exceptĂ© la religion catholique qui compte actuellement dix millions de fidĂšles, sont en rĂ©gression constante, entraĂźnant avec elles, dans une lente dĂ©sagrĂ©gation, les principes rigides puritains, origines de la prohibition votĂ©e-en 1919, en l'absence des jeunes classes d'alors encore mobilisĂ©es, et bases de la plupart des lois bleues, blue laws », de jadis. Les gĂ©nĂ©- rations nouvelles, arrivant Ă l'Ăąge d'homme, sont fonciĂšrement nationales et admiratrices de la civi- lisation amĂ©ricaine qu'elles voudraient non seulement dĂ©gager de certaines contraintes sociales, mais allĂ©ger de certaines injustices, sans pour cela l'europĂ©aniser. Ces gĂ©nĂ©rations, aux prochaines Ă©lections, n'auront pas grande influence encore devant les forts groupements existants puissantes ligues, grosses entreprises industrielles, LĂ©gion et Associations de vĂ©tĂ©rans, etc., etc. On ne sait peut-ĂȘtre pas assez en France, Ă ce propos, Ă quel point les vĂ©tĂ©rans » ont pris une influence politique Ă©norme ces derniĂšres annĂ©es. D'aprĂšs une sĂ©rie d'articles rĂ©cemment parus, dans le New York World Telegram, voici quelle serait actuellement la situation de ces derniers. Environ treize cent mille AmĂ©ricains, dont sept cent mille vĂ©tĂ©rans vĂ©ritables, et six cent mille personnes ayant avec les vĂ©tĂ©rans des liens de parentĂ©, ou pensionnĂ©es Ă titre militaire, touchent de l'Etat des annuitĂ©s se chiffrant dans l'ensemble Ă vingt-cinq milliards de francs. L'Ă©chelle des traitements Ă©volue entre douze mille et vingt mille francs par an et par individu. Chaque vĂ©tĂ©ran, mĂȘme s'il n'a pas fait campagne, a droit Ă la gratuitĂ© des soins mĂ©dicaux ou chirurgicaux dans le vaste systĂšme moderne des hĂŽpitaux de l'Etat et un pourcentage trĂšs Ă©levĂ© des emplois gouvernementaux. Cette situation, malgrĂ© la dette vĂ©ritable, due par la nation Ă ses dĂ©fenseurs, risque, par les exagĂ©rations commises, d'ĂȘtre, pour la grande rĂ©publique, une pesante charge en pĂ©riode de crise, et c'est sous cet aspect que les jeunes AmĂ©ricains, sans faire preuve d'ingratitude, considĂšrent la question. Moins que dans les autres dĂ©mocraties, et mĂȘme les'royaumes sont des dĂ©mocraties de nos jours, mais pour une grande de la rue lien AmĂ©rique dicte les actes des gouvernements. Il est utile de noter que les caractĂ©ristiques de cet ĂȘtre symbolique international ont changĂ© ces derniĂšres annĂ©es. L'opportuniste philosophe, du temps jadis, n'est plus. Le mĂ©daillĂ©, fortifiĂ© et immunisĂ© par les Ă©preuves du feu, apparaĂźt plus rarement. L'homme de la rue » est maintenant un trĂšs jeune homme, ardent et parfois brutal, qui guette, avec curiositĂ©, l'avance du char de l'Etat sur la chaussĂ©e, avec le vague projet de s'en emparer en cas de panne. Un article rĂ©cent du Forum », de M. Wilbur Cross, est intitulĂ© Jeune homme, faites de la politique » Nul doute que la jeunesse amĂ©ricaine ne suive de plus en plus ce conseil. Le chĂŽmage aux EtatsUnis atteint non seulement la classe des jeunes ouvriers, mais, de façon gĂ©nĂ©rale, la jeunesse de toutes les classes de la sociĂ©tĂ©. La difficultĂ© Ă©prouvĂ©e Ă trouver un emploi ou une carriĂšre fait rĂ©flĂ©chir sur les causes de la crise et ses remĂšdes Ă©ventuels, De lĂ Ă la politique, il n'y a qu'un pas. Il est franchi. François de Champeaux. LES MEUTES DE GRANDE CHASSE ..w. A SENIAS Hier matin s'est ouverte Ă Senlis, sous les ombrages du cours ThorĂ©-Montaiorency, l'exposition canine internationale organisĂ©e par le Syndicat d'initiative de Senlis, sous le patronage de la SociĂ©tĂ©" canine de Beauvais. Le sous-prĂ©fet, le maire et les adjoints et les membres du jury ont Ă©tĂ© reçus par M. Demonet, prĂ©si-, dent du syndicat. Plus de 350 chiens de diverses races prennent part Ă cette exposition chiens de bergers français, belges, bouviers, terriers, fox-terriers, chiens d'arrĂȘt,- chiens d'agrĂ©ment, parmi lesquels de gentils pĂ©kinois, loups blancs, lĂ©vriers. En outre, des chiens de races pointers et setters. Une magnifique exposition de la Sporting Spaniel Association est vivement remarquĂ©e. A cette manifestation sont adjoints des tableaux et photos de chasse. Les meutes de l'Ă©quipage d'Halatte, du baron James de Rothschild, de MM. Georges Menier et Barbier-LĂ©cuyer prennent Ă©galement part Ă cette fĂȘte. Les Cours, les Ambassades, le Monde et la Ville Cours S. M. la Reine de Roumanie s'embarquera le mois prochain pour faire une croisiĂšre dans les rĂ©gions polaires. Dans les Ambassades S. Exc. le ministre de France Ă Vienne et la corn. tesse Clauzel ont donnĂ©, Ă la lĂ©gation de France, en l'honneur du prĂ©sident de la RĂ©publique d'Autriche et de Mme Miklas, un dĂ©jeuner auquel assistaient entre autres 1 hautes personnalitĂ©s M. Weidenhoffer, ministre des finances' ;ie directeur du cabinet prĂ©sidentiel et la baronne LĆventhal, M. Peter, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du ministĂšre des affaires Ă©trangĂšres, le ministre de Belgique et Mme Le'J Ghait, le ministre de Suisse et Mme Jaeger, le ministre des Etats-Unis et Mme Stockhon, le conseiller Ă la lĂ©gation d'Allemagne et la princesse Erbach-SchĆnberg, ainsi que le haut personnel de la lĂ©gation. L'AcadĂ©mie diplomatique internationale se rĂ©unira aujourd'hui lundi en sĂ©ance plĂ©niĂšre, en son hĂŽtel, avenue Hoche, -Ă seize heures trente, sous la prĂ©sidence de S. Exe, le vicomte de Fontenay, ambassadeur de France, pour entendre une importante communication de M. RenĂ© Pinon et une communication fort intĂ©ressante de M. de BrouckĂšre, dĂ©lĂ©guĂ© de la Belgique Ă la ConfĂ©rence du DĂ©sarmement. S. Exc. William Hsieh, ministre de Chine Ă Paris, inaugurera aujourd'hui lundi 20 juin, Ă seize heures, le palais d'art chinois, 48, rue de Courcelles, oĂč sont exposĂ©es des fresques bouddhistes anciennes de Chine, tout Ă fait inconnues en France, d'une valeur inestimable. 'ÌÌ Cercles Les membres de la SociĂ©tĂ© Artistique des Amateurs sont conviĂ©s le 27 juin Ă une trĂšs intĂ©ressante excursion qui comportera d'abord la visite du chĂąteau de Baville Seine-et-Oise, propriĂ©tĂ© de Mme de Saulty, et ensuite celle du chĂąteau du Marais qui appartient au duc et Ă la duchesse de Talleyrand. Le goĂ»ter aura lieu au Moulin de la Planche, sur l'Yvette. Le comitĂ© du Cercle d'Escrime Las Cases organise pour ses membres et leurs familles une soirĂ©e dansante qui aura lieu mercredi prochain 22 juin, Ă vingt et une heures, dans les salons du cercle. La rĂ©union d'avant-hier samedi, au Polo de Bagatelle, fut un trĂšs beau prĂ©lude Ă la Grande Semaine qui commença hier dimanche. Pour la premiĂšre fois, le duc Decazes avait conviĂ© Ă la finale de la Coupe Quand-MĂȘme, offerte par lui, les officiers Ă©trangers accrĂ©ditĂ©s en France. Le mattjuis de JĂąucourt, vice-prĂ©sident, et le capitaine Cottin reçurent avec le prĂ©sident, au pied du Club-housĂ© 1 Lieutenant-gĂ©nĂ©ral Du Bois, gĂ©nĂ©ral de la Fuente, capitaine Smith, reprĂ©sentant le brig. gĂ©nĂ©ral Stanley Ford; lieutenant-colonel Ungria, lieutenant-colonel Normak, commandant Ricardo Mendioroz, commandant Portela, chef d'escadrons Stoitcheff. Le match opposait l'Ă©quipe Bagatelle » MM. R. Gautier, R. de Monbrison, H. CouturiĂ©, lieutenant LevĂȘque, Ă l'Ă©quipe c Deauville » baron Schroeders, prince Mdivani, MM. A. Taurel, T. Rasson. Le match fut indĂ©cis pendant les trois premiĂšres pĂ©riodes. Chaque Ă©quipe avait marquĂ© trois buts. A la fin de la sixiĂšme pĂ©riode, l'Ă©quipe Deauville avait sept buts et demi et l'Ă©quipe Ì 'Ì Une grande kermesse 'dĂ© charitĂ© est organisĂ©e le dimanche 3 juillet, de quatorze heures Ă vingt et une heures, par le comte et lĂ 'comtesse Wladimir d'Ormesson dans lĂ© parc du chĂąteau d'Ormesson, au profit de la cantine des enfants des chĂŽmeurs des lotissements et des Ćuvres de bienfaisance de la commune. Le MĂ©decin malgrĂ© "lui sera jouĂ© par la compagnie Gaston Baty dans un 'théùtre de verdure. DĂ©filĂ© de Miss France, des reines de Paris et' Ăą'Msaoe-Lorraine. Concert en' plein air. Fanfares de cors de chasse, guignol, dancing. Vente aux enchĂšres de cent livres dĂ©dicacĂ©s par les auteurs les plus cĂ©lĂšbres. On trouve des places pour le théùtre de verdure chez la comtesse Wladimir d'Ormesson, 55, rue' de Varenne, Ă Paris. ;i Un dĂ©jeuner a Ă©tĂ© Ìoffert au Phare de France » aux personnalitĂ©s dont* ?Ăźfe, d'Ă©vo-uement aux aveugles de guerre ne cesse de se 'ThiĂźniFĂ«ster. Parmi les invitĂ©s, "M". ""JuStin. Godart, ministre de la santĂ© publique, princesse BorĂŻcompagni, Mr et Mrs Berry Wall, M. et Mme Jacques Balsan, docteur Laporte, M. AndrĂ© de FouquiĂšres, docteur du Bouchet, M. Cadiot, docteur Denicker, etc. Les Crocodiles^ ^gagnent la coupe de polo de "Figaro" Bagatelle ou la douceur de vivre. Entre le soleil d'Auteuil et la soirĂ©e de Paris, entre l'agitation du champ de courses et le retour Ă travers le Bois, Bagatelle s'offrait hier en fin de journĂ©e comme une oasis de fraĂźcheur et de calme. Et cependant un combat fameux allait se livrer sur la verte pelouse. Les deux meilleurs teams de polo se trouvaient en prĂ©sence et Crocodiles » et Diables » dĂ©jĂ s'Ă©lançaient sur leurs poulains lĂ©gers Ă la conquĂȘte de;la coupe offerte par Figaro. Les prĂšmiڄ& âąÌescarmouches du championnat junior animĂšrent soudain si'Ă©cran de verdure devant lequel toutes les Ă©lĂ©gancesdu Steeple-Chase s'Ă©taient retrouvĂ©es pour l'heure du thĂ©. Les redoutables Crocodiles », en casaque gris et rouge, menaient le jeu avec MM. R. Gautier, H. de Monbrison, H. Couturier et J. LĂ©vĂȘque back . Les Diables », aux couleurs bleu avec bande rouge, payaient d'audace et d'adresse, c'Ă©tait MM. le baron Schroeders, le prince A. Mdivani, A. Taurel et Teddy Rasson back. Les arbitres Ă©taient le colonel Collet et le lieutenant-colonel Benn. AprĂšs six pĂ©riodes d'un jeu serrĂ© et Ăąprement disputĂ©, la supĂ©rioritĂ© des Crocodiles » sur les Diables » s'affirmajar 7 Ă ,2. Mme la duchesse Decazes voulut bien remettre elle-mĂȘme Ă M. de Monjbrison et Ă ses coĂ©quipiers la coupe offerte par PigĂ ro en tĂ©moignage de l'intĂ©rĂȘt que notre maison,porte Ă ce fier jeu du polo qui unit si, heureusement le sport Ă l'Ă©lĂ©gance. S. A. A LA SQCIĂtĂ DES AMIS DE LA CATHEDRALE DE REIMS Reims, 19 juin. La SociĂ©tĂ© des Amis de la cathĂ©drale de Reims s. tenu son assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale sous la prĂ©sidence de M. Emile Charbonneaux, prĂ©sident, entourĂ© de MM. Paul Jamot, conservateur du musĂ©e du Louvre. Pol Neveux, de l'AcadĂ©mie Goncourt, membre de la commission des monuments historiques, et de nombreux membres de la SociĂ©tĂ©.. L^Ă ssembléÚ Ă adopte la crĂ©ation d'une'commission d'art religieux pour le diocĂšse de Reims sur le modĂšle de celles fonctionnant Ă Rouen, Chartres, Agen et Blois. Elle a nommĂ© comme prĂ©sident de la SociĂ©tĂ©, en remplacement de M. Gharbonneaux, dĂ©missionnaire, M. Paul Jamot, et comme vice-prĂ©sident M. Pol Neveux. Elle a exj le vĆu que, en signe de reconnaissance, de Rockefeller, grand bienfaiteur de la cathÚùEĂąle, soit donnĂ© Ă une rue de Reims, prĂšs de la bpsiĂique. Ì .-Ì Ì Ì &i-fi Ì COMMEMORATION DE WATERLOO BRUXELLES, 19 juih?.iK-&De trĂšs nombreuses sociĂ©tĂ©s wallonnes, vehĂąhtĂŻr de 'diffĂ©rentes villes du pays, ainsi que des, groupements franco-belges de Paris, Amiens, Rennes et MĂ©ziĂšres, se sont rendus aujourd'hui Ă Waterloo pour cĂ©lĂ©brer le culte des hĂ©ros français et wallons tombĂ©s cĂŽte Ă cĂŽte le 19 juin 1815. » Les sociĂ©tĂ©s qui s'Ă©taient formĂ©es en cortĂšge, se sont rendues au monument français, oĂč se trouvait massĂ©e une foule extrĂȘmement dense. AprĂšs que les drapeaux et banniĂšres eurent formĂ© le cercle autour de l'Aigle » de JĂ©rĂŽme, de nombreux discours furent prononcĂ©s exaltant la bravoure des hĂ©ros. Les orateurs remerciĂšrent les Wallons de demeurer fidĂšles Ă la civilisation française. Des fleurs furent dĂ©posĂ©es sur le monument et une partie rĂ©citative et musicale termina la cĂ©rĂ©monie. r w UN HOMMAGE AU DOCTEUR BUIZARD Hier, a Ă©tĂ© solennellement remise au docteur Charles Buizard, prĂ©sident du Syndicat des chirurgiens de Paris et de la rĂ©gion parisienne, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de la SociĂ©tĂ© des Chirurgiens de Paris, la mĂ©daille que ses collĂšgues et amis de France et de l'Ă©tranger lui ont offerte. La cĂ©rĂ©monie, Ă laquelle assistaient de nombreuses personnalitĂ©s du monde mĂ©dical, Ă©tait prĂ©sidĂ©e par M. le professeur Gosset. La remise de la mĂ©daille a Ă©tĂ© faite, au nom du comitĂ©, par M. le professeur Victor Pauchet. Parmi les discoure prpnpncĂ©s par les dĂ©lĂ©guĂ©s des diverses sociĂ©tĂ©s* s-cieMifiques, nous signalerons celui de M. le docteur Lobligeois, vice-prĂ©sident du Conseil municipal def Paris. 1 Mariages Le 15 juin dernier, en l'Ă©glise du Golfe-Juan, a Ă©tĂ© cĂ©lĂ©brĂ© en prĂ©sence d'une nombreuse assistance le mariage de Mlle Suzanne PĂąris de BollardiĂšre, fille du comte Ch. PĂąris de BollardiĂšre, colonel en retraite, officier de la LĂ©gion d'honneur, dĂ©corĂ© des croix de guerre française et belge, et de la comtesse, nĂ©e du Hamel de Milly, avec le lieutenant Claude Gazeau, du 35° R. I., fils de M. Luc Gazeau et de Madame, nĂ©e Vorambon. Le service d'honneur Ă©tait assurĂ© par Mlles Zita et Monique Paris de BollardiĂšre, Chavanne de La Touche et de Reneville, accompagnĂ©es par les, lieutenants de Guinaumont, LullĂ©-Desjardins, Paris de BollardiĂšre, M. Denis Gazeau et le comte de Verdun. Deuils 'i1; Le comte Dominique Savelll, commandant en retraite, officier de la LĂ©gion d'honneur, croix de guerre, est mort rĂ©cemment Ă Nantes. Nous apprenons la mort de M. Marcel de CoularĂȘ*Delafontaine, survenue Ă Rouen. Nous apprenons la mort de M. RenĂ© Lajiiz, dĂ©cĂ©dĂ© le 18 juin, chez ses parents, 3, rue Danton, Ă rage de vingt-huit ans. Le service religieux aura lieu dans l'intimitĂ© au domicile mortuaire demain mardi 21 juin, Ă quatorze heures et demie, suivi de l'inhumation au cimetiĂšre Montparnasse. Ni fleurs ni couronnes. De la part de M. Lantz, conseiller Ă la Cour d'Appel, chevalier de la LĂ©gion d'honneur, et Mme Lantz, nĂ©e Tanon, ses pĂšre et mĂšre de M. et Mme NoĂ«l Lantz, ses frĂšre et belle-sĆur. PETIT CARNET S Vous songez, Madame, au mariage plus ou moins prochain de votre fille. Avez-vous pensĂ© que le choix de son trousseau demande que, longtemps Ă l'avance, vous y apportiez tous vos soins. N'hĂ©sitez donc pas Ă demander Ă L. 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A l'Orangerie des Tuileries Exposition Manet. Aux Archives nationales Exposition de la France religieuse, du xvn" au xix' siĂšcle ». TjA la porte de Versailles Exposition de chiensv chats, oiseaux et poissons. Au Pavillon des Arts dĂ©coratifs Exposition de la FaĂŻence française. Au Grand Palais IsalĂŽn des artistes français. Salon de la SociĂ©tĂ© nationale des beaux-arts. Salon des artistes dĂ©corateurs. A 11 heures, au ComitĂ© France-Orient» 10, avenue d'IĂ©na AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale annuelle. A midi 30 Banquet des Ailes de France-Orient ». A 15 h. 30 La traversĂ©e de l'Afrique de l'avion Paris », par M. Philippe d'Estailleur-Chanteraine. A 15 heures, rue du 11 -Novembre, Ă Montrouge Inauguration de la nouvelle Ă©cole d'infirmiĂšres de l'Association pour le dĂ©veloppement de l'assistance aux malades anciennement Ecole de la rue Amyot. A 16 h. 30, 4 bis, avenue Hoche SĂ©ance de l'AcadĂ©mie diplomatique internationale, sous la prĂ©sidence du vicomte de Fontenay, ambassadeur de France. A 17 heures, le comitĂ© de la SociĂ©tĂ© des gens de lettres fĂȘtera le comte Joseph de Pesquidoux, laurĂ©at du prix de littĂ©rature rĂ©gionaliste. A 21 heures, 5, rue Las-Cases SĂ©ance d'ouverture de la rĂ©union gĂ©nĂ©rale annuelle de la SociĂ©tĂ© d'Ă©conomie sociale, sous la prĂ©sidence de M. Louis Murat, sĂ©nateur. LES ĂLĂGANCES AU GRAND STEEPLE La journĂ©e du Grand Steeple de 1932 restera dans les annales comme une radieuse journĂ©e de grande Ă©lĂ©gance. Ce fut le triomphe des grandes capelines ombrageant si joliment les dĂ©licats profils, triomphe aussi du blanc et du noir et des mousselines fleuries. Dans la tribune officielle avait pris place Mme Albert Lebrun, qui portait une trĂšs jolie toilette de mousseline de soie bleu lavande Ă grandes fleurs de tons pastel, capeline de paille blĂ© avec un fond marmotte de velours noir. Reconnu aussi la baronne de Gaiffier d'Hestroy, en mousseline et dentelle blonde, grande forme de paille blĂ© avec velours jaune, capucine et rouille Mme de Chlapowska, en chine noir, paille noire assez grande et garnie de satin noir la comtesse Manzoni, ensemble de dentelle fine et crĂȘpe Georgette Ă©caille blonde, forme croquĂ©e de picot pain brĂ»lĂ© Mme Philippe Roy, robe de crĂȘpe de Chine imprimĂ© de fleurs noires sur fond blanc, toquet de paille noire Mme de Gama Ochoa, ensemble blanc et chapeau de paille blanche et noire Mme Dunant, en crĂȘpe imprimĂ© blanc Ă fleurs noires, ainsi que d'autres personnalitĂ©s du monde diplomatique et politique. Dans la tribune des dames, reconnu S. A. la princesse Murat, robe de crĂȘpe de Chine tourterelle avec des dĂ©coupes, petite forme de paille pain brĂ»lĂ© entourĂ©e de plumes tourterelle; duchesse Decazes, ensemble de mousseline fleurie jaune et bluet, capeline de paille blĂ© ceinturĂ©e de petits velours de tons assortis Ă l'ensemble duchesse de Brissac, jupe noir avec une petite veste de marocain grĂšge, forme de paille grĂšge croquĂ©e duchesse de MaillĂ©, en crĂȘpe de Chine blanc Ă fleurs bleu roi, cloche de paille roi princesse d'Arenberg, robe de mousseline rose framboise Ă grandes fleurs bleu lin, forme de paille blĂ© princesse M. A, Galitzine, ensemble de crĂȘpe marocain vert VĂ©ronĂšse, paille de mĂȘme teinte marquise des Isnards, ensemble de crĂȘpe marocain Ă©caille travaillĂ©, petite forme assortie marquise d'AndignĂ©, robe de mousseline de soie et dentelle noire, toque de paille noire garni de velours roi Mme Vesnitch, en marocain noir avec grand boa d'autruche noir et rose corail, toquet drapĂ© de paille noire Mme L. de Seynes, robe de marocain grĂšge, grande forme de paille manille rouge Jacqueminot marquise de Coligny, ensemble marron et beige de crĂȘpe de Chine, avec chapeau assorti comtesse de, Durfort, en imprimĂ© noir et blanc, chapeau de mĂȘmes teintes baronne R. de Foucaucourt, en mousseline imprimĂ©e rose framboise et bluet Ă grandes fleurs, capeline de paille blanche avec fond bleu et vieux rouge Mme de LĂ©cluse TrĂ©voedal, ensemble de mousseline fleurie de plusieurs tons de bleu, avec capeline assortie baronne de Neuflize, en crĂȘpe imprimĂ© de fleurettes multicolores, grande forme de noir; comtesse d'Orsetti, en mousseline imprimĂ©e turquoise Ă fleurs, capeline de paille d'Italie garnie de petits velours turquoise i comtesse A. de Salverte, robe de marocain neige et manteau de velours noir, paille blanche ceinturĂ©e de noir baronne Snoy, en mousseline ramagĂ©e tabac et grĂšge, petite toquet drapĂ© en paille tabac. Comtesse Louis de Rohan-Chabot, en mousseline blanche Ă impressions noires, capeline de cysol noir comtesse de Villoutreys, robe de georgette bleu drapeau, toquet de mĂȘme teinte marquise de Nadaillac, ensemble' de marocain noir, petite forme de paille blanche relevĂ©e marquise de la ChapeHe-CrosviUle, robe de crĂȘpe marocain blanc Ă fleurs ponceau et noir, avec une petite cape de marocain noir, chapeau de paille blanche ceinturĂ©e de noir marquise de Triquerville, ensemble de mousseline de soie jaune mandarine, capeline de den- telle de paille mordorĂ©e Mme de Gossellin, toute en mousseline de soie bleu vitrail, forme de paille assortie; baronne Charles d'Huart, ensemble de crĂȘpe imprimĂ© noir ramagĂ© de blanc, capeline de picot noir comtesse Goethals, en tussor bleu lin et forme du mĂȘme bleu marquise de Ranst de Saint-Brisson, en mousseline de soie noire et blanche, chapeau noir Mme Achille Fould, robe de marocain bleu Madone, petit casaquin de velours bleu nuit, capeline de paille bleu foncĂ© comtesse de Viel-Castel, ensemble de crĂȘpe de Chine 'a fleurettes multicolores, trĂšs grande forme de paille jaune orange ceinturĂ©e de draperies en georgette multicolore; 'Ì- Mme François PiĂ©tri, robe de crĂȘpe de Chine noir ai » dessins blancs, grande capeline de paille blanche cein- turĂ©e de noir et de .vert baronne James de Rothschild, ensemble bleu marine et blanc, petite forme bleue comtesse Lepic, robe de mousseline blanche Ă fins dessins noirs, chapeau de lisĂ©rĂ© noir; Mme A. Thierry, nĂ©e Rothschild, ensemble pain brĂ»lĂ© et grĂšge, chapeau assorti baronne Davillier, crĂȘpe de Chine blanc Ă fleurrettes noires, capeline de lisĂ©rĂ© blanc comtesse de SĂ©gur, ensemble de mousseline de soie blanche Ă fleurs noires et vertes, grande forme de cysol ceinturĂ©e de ruban blanc et vert. Marquise Dadvisard, en mousseline de soie noire ajourĂ©e, capeline de paille noire comtesse Stanislas de Montebello, ensemble de crĂȘpe de Chine rayĂ© noir et blanc, grand boa de plumes noires et rouge incarnat, grande forme de lisĂ©rĂ© noir marquise d'Argent, robe en crĂȘpe marocain de deux tons de bleu, chapeau de paille bleu foncĂ© avec un fond marmotte de crĂȘpe bleu plus clair Mme LevĂ©e, en crĂȘpe marocain neige, long manteau de velours bleu foncĂ© et paille du ton comtesse Eliane de Bonvouloir, robe travaillĂ©e de tussor grĂšge, chapeau de paile brillante mordorĂ©e vicomtesse de La Tour, en crĂȘpe de Chine noir Ă dessins blancs, chapeau de lisĂ©rĂ© noir Mme H. Fritsch-Estrangin, ensemble de crĂȘpe romain neige, long vĂȘtement de velours noir, grande forme de lisĂ©rĂ© noir garnie d'un nĆud de peau d'ange blanche vicomtesse G. de Buysieulx, en crĂȘpe de Chine imprimĂ© de fleurs noires sur fond blanc, capeline de paille noire comtesse H. de Monti de RĂ©zĂ©, ensemble de mousseline vert jade Ă fleurs blanches, grande forme de paille vert jade marquise de Broc, en crĂȘpe de Chine vert fleuri et grande capeline blanche comtesse A. de Bertier de Sauvigny, robe de crĂȘpe boutonnĂ©e neige Ă petits mancherons courts, trĂšs grande forme de paille comtesse de Porquier de Lagarrigue, robe de mousseline de soie Ă grandes fleurs, capeline de paille; bleue Ă rubans assortis comtesse de RougĂ©, en crĂpe. de Chine imprimĂ© bleu vitrail, petite forme relevĂ©e par un petit bouquet dĂ© Peurs vicomtesse de La Mettrie. ensemble bleu Ă pois 'Ìâą'Ì Le tournoi hippique de Lyon CharbonniĂšres Le concours de Lyon-CharbonniĂšres a Ă©tĂ©, cette annĂ©e, plus brillant que jamais. De remarquables sauteurs, fort bien montĂ©s, se sont disputĂ© de belles Ă©preuves devant une assistance considĂ©rable. Voici les principaux gagnants des plus importantes compĂ©titions Prix de la FĂ©dĂ©ration premiĂšre sĂ©rie. 1. Libeccio, Ă M. Costa 2. Moscou, montĂ© par M. Gudin de Vallerin 3. Favori, montĂ© par M. Tourne. Prix du Riding-Club. 1. ElĂ©gant, Ă M. Plautier, montĂ© par M. TournĂ©; 2. Amon, aux mĂȘmes 3. XĂ©lia, Ă M. Gigou. Prix de ta Tour de Salvagny. 1. Castor, au âąlieutenant SĂ©riot 2. Danoy, au capitaine Paqueron 3. TĂ©lĂ©maque, au sous-lieutenant Baggio 4. Daenis, au mĂȘme 5. Vole au Vent, au commandant Sans 6. Dandie, au lieutenant Debayeux 7. Sans Peur, au commandant Sans. Prix de CharbonniĂšres. 1. Tartarine, au comte d'Auber de Peyrelongue 2. Apparition, Ă M. Gudin de Vallerin 3. Sweep, au comte d'Auber de Peyrelongue 4. Marisa, Ă M. Gudin de Vallerin 5. Diplomate, Ă M. Sereys 6. Trouvaille, au baron Empain, montĂ© par le vicomte de Jonghe 7. Vol au Vent, au vicomte de Salignac-FĂ©nelon, montĂ© par le comte de Castries 8. Baladine, Ă Mme Hasselbach 9. GalatĂ©e, Ă Mme Gauthier de Bayon JO. Ami Fritz, Ă M. Zels, montĂ© par M. Gaudefroy. Prix des Habits Rouges. 1. Moscou, Ă MM. lialay et Boucaud, montĂ© par M. Gudin de Vallerin 2. XXX, Ă M. Gillet, montĂ© par M. Ladoux 3. Capricieuse, Ă Mme Alcay, montĂ©e par M. Thomas. Prix de Lyon puissance. 1, ex aequo Mlle de la Pichoiserie, au comte d'Auber de Peyrelongue, et Tenace, au comte de Castries 3. ex sequo BlĂ©gant, Ă M. TournĂ©, et Moulin sous Touvent, Ă M. S. Balay Tartarine, au comte de Peyrelongue; Marisa, Apparition et BohĂ©mien, Ă M. Gudin de Vallerin. Prix du Lyonnais. 1. Moulin sous Touvent, Ă M. Balay 2. XĂ©lia, Ă M. Guigou 3. ElĂ©gant, Ă M. TournĂ©. Prix de la FĂ©dĂ©ration 2* sĂ©rie. 1. Nebita, Ă M. Costa; 2. ex aequo Croissanville, Ă M. Thomas, montĂ© par le comte d'Auber de Peyrelongue, et Alerte, Ă M. Balay 4. Mlle de la Pichoiserie, au comte d'Auber de Peyrelongue; 5. Ustie, Ă Mme Gautier de Bayon 6. Albano, au comte de Castries 7. V estale III, Ă M. Sereys 8. Moulin sous Touuent, Ă M. Balay; 9. CĂ©rĂšs F, Ă M, de la Chauvelais 10. Bravo, au comte de Castries; H. Apparition,, Ă M. Gudin de VallĂ©rin 12. Baladine, Ă Mme Haspelbach.. Ì Ì '"âąâąÌ Prix MarĂ©chal-Lyautey parcours de chasse. 1. Varron, au capitaine Mehu 2. Algue, au capitaine de Salins 3. Risque Tout au lieutenant de partillat 4. La Berloque, au mĂȘme 5. Halte LĂ , au commandant Sans 6. Rossignol, au lieutenant Boureau 7. Tapageur, au mĂȘme. Prix des VĂ©tĂ©rans. 1. CĂ©rĂšs V, montĂ© par M. Audras 2. Korrigane, Ă M. de Kertanguy 3. Sweep, Ă M. Ravier 4. Ultimatum, Ă M. Simon. Grand Prix du Casino. 1. Mlle de la Pichoiserie, au comte d'Auber de Peyrelongue 2. Croissanville, Ă M. Thomas, montĂ© par le comte de Peyrelongue 3. Baladine, Ă Mme Hasselbach 4. Moulin sous Touvent, Ă M. Balay 5. Bravo, Ă M. Clave, montĂ© par le comte de Castries 6. NĂ©bita, Ă M. Costa 7. Grande Dadiche, au vicomte de Salins 8. BohĂ©mien, Ă M. Gudin de Vallerin 9. Tenace, au comte de Castries 10. Vestale, Ă M. Sereys. Prix de France. 1. Rafale, au capitaine de Salins 2. Castor, au lieutenant SĂ©riat 3. Vadrouille, au lieutenant Debayeux 4. Syndic, au lieutenant SĂ©riot 5. Royal, au lieutenant de Bartillat 6. Tapageur, au lieutenant Boureau 7. NĂ©ron, au capitaine Briolle 8. TĂ©lĂ©maque, au souslieutenant Baggio. Prix Sainte-Luce amazones. -1, 2 et 3, Vestale, 'Alerte et Albano, montĂ©s par Mme Hasselbach 4. CĂ©rĂšs, Mlle Grasset. Reyor. UN DISCOURS DE M. LEON BLUM M. LĂ©on Blum a prononcĂ© Ă la Seyne-sur-Mer un discours au banquet donnĂ© en l'honneur de M. Renaudel. Il a expliquĂ© que l'action rĂ©volutionnaire n'empĂȘchait pas de provoquer des rĂ©formes dans le cadre capitaliste. Voici celles que la S. F. I. 0. rĂ©clame Ă©nergiquement j. Les assurances-chĂŽmage, la semaine de quarante heures, la rĂ©alisation d'un grand programme de travaux Ă base dĂ©partementale et locale, M. Blum s'oppose donc Ă©nergiquement Ă toute rĂ©duction des salaires publics qui entraĂźnerait une rĂ©duction des salaires privĂ©s et aggraverait le malaise. Puis M. LĂ©on Blum a critiquĂ© les thĂ©ories de M. Caillaux. Quelle chaleur Fumons des "SPUD" la fumĂ©e fraĂźche Ìr, "E "V" XJ E 3D E3 >;X-i -A. ÂŁ=> FL B S S B La ConfĂ©rence de Lausanne I C'est le sujet du jour tous les journaux le com- mentent abondamment. Dans L'AMI DU PEUPLE du soir, M. Martin-Mamy revient sur le sens profond de la DĂ©claration et en montre les dangers InsĂ©rer une cause nationale dans le mĂ©canisme de vingt ou trente intĂ©rĂȘts internationaux, comme le fait le briandisme depuis douze ans, c'est la condamner inĂ©luctablement Ă ĂȘtre broyĂ©e. Faire une politique altruiste, c'est s'interdire Ă©videmment de rĂ©clamer son argent et c'est, de plus, s'engager Ă en donner. Et ce qui est vrai pour l'argent l'est Ă©galement pour les territoires et pour la sĂ©curitĂ©. La folle politique extĂ©rieure faite par la France depuis douze ans a abouti dans le domaine français Ă ce rĂ©sultat que les sorties d'argent, quand il s'agit de l'Allemagne, sont catastrophiques, mais que les sorties d'argent, quand il s'agit de la France, cessent d'ĂȘtre catastrophiques J pour devenir normales. Un jour viendra oĂč il nous sera 3 dĂ©montrĂ©, avec la mĂȘme dĂ©sinvolture, que pour assurer la paix du monde et la joie de l'univers, la France a le devoir de rendre l'Alsace-Lorraine Ă l'Allemagne. Avec Eupen et MalmĂ©dy par-dessus le marchĂ©. Le JOURNAL DES DEBATS intitule son article f Le calendrier des dĂ©faillances » et dĂ©clare qu'il n'aperçoit rien prĂ©sentement dans les faits qui soit de nature Ă satisfaire les Français Pour sauver les apparences, on arfflonce que les intĂ©rĂȘts français font partie des intĂ©rĂȘts gĂ©nĂ©raux, et que le problĂšme des rĂ©parations est liĂ© au problĂšme universel. Nous cherchons en vain un sens Ă ces mots, et nous r.'en trouvons aucun. Nous avons toujours vu depuis sept ans et plus les questions touchant directement la France sacrifiĂ©es sous prĂ©texte de bien traiter une question gĂ©nĂ©rale. Le systĂšme a commencĂ© de fonctionner Ă Locarno, duperie oĂč l'entente franco-britannique a Ă©tĂ© ruinĂ©e par un accord plus large. AprĂšs quoi, M. Briand, s'apercevant de son Ă©chec, a imaginĂ© l'union europĂ©enne, qui a causĂ© son effondrement Ă GenĂšve. Nous en sommes au rĂšglement universel, en attendant l'harmonie planĂ©taire. LĂ -dessus, la rĂ©clame internationaliste dĂ©clare que tout est merveilleux elle encourage la Bourse Ă monter pendant trois jours. Mais si on regarde plus modestement la terre, on s'aperçoit que l'Allemagne, ne se gĂȘnant plus, envoie un bateau de guerre Ă Dantzig et que les rĂ©pĂ©rations se meurent. L'optimisme en ces circonstances est une extravagance. Et l'indiffĂ©rence de la nation ou sa facilitĂ© Ă accepter sans rĂ©flexion toutes les illusions est un signe pĂ©nible de l'abaissement de l'esprit public. Le TEMPS fait entendre un tout autre son Ce qui doit retenir l'attention aujourd'hui, c'est l'impression produite dans tous les pays intĂ©ressĂ©s par la dĂ©cision intervenue Ă Lausanne et qui, tout en rĂ©servant l'avenir en laissant entiĂšre la question des rĂ©parations dans le cadre des accords existants, ouvre la voie, comme nous l'avons dit hier, Ă un rĂšglement gĂ©nĂ©ral dont les rĂ©parations et les dettes ne sont que des facteurs au mĂȘme titre que les problĂšmes financiers, Ă©conomiques et politiques. DERNIER^ HEURE Les nationaux-socialistes n'auront pas la majoritĂ© absolue Ă la diĂšte de Hesse BERLIN, 19 juin. Des Ă©lections ont eu lieu en Hesse aujourd'hui. Il s'agissait de renouveleer la DiĂšte qui, elĂče le 15 novembre dernier, avait Ă©tĂ© dissoute paf une dĂ©cision de la cour suprĂȘme de Hesse, en "date du 9 mai, annulant la derniĂšre opĂ©ration Ă©lectorale, sur la plainte du parti de l'Ă©conomie nationale. Voici les rĂ©sultats provisoires du scrutin d'aujourd'hui sur voix Ă©mises au 15 novembre 1931, on avait dĂ©pouillĂ© voix. Ont obtenu Socialistes contre au 15 novembre 1931? Ìâąâą* -âą'ÌÌ ÌÌ'Ì Ì âąÌ Centre contre Communistes contre Nationalistes' contre Parti national socialiste contre Coalition des partis bourgeois modĂ©rĂ©s contre D'aprĂšs ces rĂ©sultats, la composition de la nouvelle DiĂšte sera la suivante Socialistes 17 mandats gains 2. » Centre 10 mandats situation inchangĂ©e. Opposition communiste 1 mandat perte 1. Communistes 7 mandats pertes 3. Nationalistes 1 mandat situation inchangĂ©e. Nationaux-socialistes 32 mandats gains 5. Coalition bourgeoise mod. 2 mandats pertes 3. La DiĂšte de Hesse, comportant un total de 70 dĂ©putĂ©s, les nationaux-socialistes n'obtiennent pas la majoritĂ© absolue. L'appoint du dĂ©putĂ© nationaliste ne leur suffit pas non plus pour atteindre ce rĂ©- sultat. L'avance de 20 0/0 rĂ©alisĂ©e par les racistes Ă©tait attendue elle est mĂȘme infĂ©rieure aux prĂ©visions. Les nationaux-socialistes paraissent avoir Ă©puise leurs rĂ©serves Ă©lectorales. Par contre, le succĂšs remportĂ© par les socialistes et la grave dĂ©faite des communistes constituent la caractĂ©ristique de ce scrutin. Le centre a Ă©tĂ© lĂ©gĂšrement atteint, mais sa situation n'a pas Ă©tĂ© modifiĂ©e. La prĂ©sentation d'une liste commune n'a pas rĂ©ussi Ă arrĂȘter l'effritement-des partis bourgeois modĂ©rĂ©s, quvperdent pipi' de ĂŻa.'inoitßé de leurs mandats. La rĂ©apparition des uniformĂ«t provoque des bagarres sur plusieurs points de l'Allemagne Berlin, 19 juin. La rĂ©apparition des uniformes des organisations militaires racistes a provoquĂ© de sĂ©rieux dĂ©sordres en RhĂ©nanie. A Cologne notamment, la police a dĂ» occuper, aujourd hui, la Maison Brune. D'aprĂšs un communiquĂ© de la prĂ©fecture de police, de nombreux membres des troupes d'assaut et du Stahlhelm en uniforme circulaient dans les rues dĂšs ce matin, cherchant Ă former des rassemblements, malgrĂ© l'interdiction de la police. Les agents qui intervinrent pour disperser les rassemblements furent reçus Ă coups de pierre. Ils durent Ă plusieurs reprises faire usage de leurs armes Ă feu. La situation devint plus grave cet aprĂšs-midi, devant le siĂšge central des troupes d'assaut. Des fenĂȘtres de la Braunes Haus », des chaises, des banquettes, des meubles de bureau furent lancĂ©s contre la police. Les autoritĂ©s se virent finalement contraintes d occuper l'immeuble et 'de tirer contre les manifestants. Plusieurs personnes ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©es. De sĂ©rieux incidents Ă©clatĂšrent Ă©galement dans la Wuppertal, entre Ă©lĂ©ments de droite et de gauche. A Barmen, deux nationaux-socialistes en uniformes furent arrĂȘtĂ©s alors qu'ils fouillaient les passants pour les dĂ©sarmer. A Elberfeld,tojis les perturbateurs de l'ordre public furerit»arĂŻ>ĂȘtĂ©s. .mmi Dans le courant de la nuit, Ă Hagen, en Westphalie, les adversaires politiques se battirent Ă coups' de'caftne, de baĂŻonnette et de couteau. Des coups de feu furent Ă©galement tirĂ©s. Les blesses se -ebiffreht?de trente Ă quarante, dont cinq griĂšvement atteints. Munich fut aussi le théùtre de dĂ©sordres provoquĂ©e par les racistes. En plusieurs points de la ville, Os1" se montrĂšrent en uniforme et tentĂšrent de former des cortĂšges, malgrĂ© l'interdiction formelle du gouvernement bavarois. La police procĂ©da Ă environ six cents arrestations. Les uniformes racistes ont Ă©tĂ© saisis. LA TURQUIE ET LE CONTROLE SUR LES DETROITS Moscou, 19 juin. Dans les milieux gouvernementaux soviĂ©tiques on dĂ©clare que des conversations sont actuellement en cours avec la Turquie au sujet du rĂ©gime des DĂ©troits. On affirme Ă Moscou que si la Turquie demandait son admission au sein de la SociĂ©tĂ© des Nations, elle exigerait immĂ©diatement la cessation du contrĂŽle international sur la navigation dans le Bosphore et les Dardanelles. Dans l'ensemble, l'impression produite est rĂ©confortante. La dĂ©cision de rĂ©server les payements dus au titre des rĂ©parations et des dettes jusqu'Ă ce que la confĂ©rence ait abouti Ă une solution ferme a le mĂ©rite de la franchise et de la clartĂ©. Elle ne laisse place Ă aucune Ă©quivoque par la nettetĂ© de ses termes, elle ne saurait crĂ©er aucun malentendu au point de dĂ©part. Il ne s'agit pas d'autre chose que d'une mesure provisoire devant permettre de gagner le temps nĂ©cessaire Ă la bonne prĂ©paration d'une solution d'ensemble. Ce qui est capital, c'est que cette mesure non seulement rĂ©serve toutes les possibilitĂ©s, mais qu'elle a pour effet de crĂ©er l'atmosphĂšre la plus favorable au dĂ©veloppement des nĂ©gociations internationales, car elle n'a pu ĂȘtre prise et dĂ©finie dans la formule la plus prudente que parce que les gouvernements intĂ©ressĂ©s sont vĂ©ritablement animĂ©s d'une sincĂšre volontĂ© d'accord. Sans cette volontĂ© d'accord, il n'eĂ»t pas Ă©tĂ© possible d'Ă©laborer, dĂšs le deuxiĂšme jour de la confĂ©rence, la dĂ©claration des Cinq. Du moment que cette volontĂ© d'accord existe, et qu'elle s'est dĂ©jĂ traduite dans un premier acte, on est en droit d'espĂ©rer que la tĂąche constructive si dĂ©licate et si complexe qui va ĂȘtre abordĂ©e maintenant Ă Lausanne pourra ĂȘtre menĂ©e Ă bonne fln si chacun s'en tient franchement aux nĂ©cessitĂ©s que commandent les rĂ©alitĂ©s de l'heure. Dans le MATIN, M. StĂ©phane Lauzanne envisage les compensations et les garanties puisque, enfin, les crĂ©anciers viennent de creuser la tombe oĂč ils se proposent d'enfouir leur crĂ©ance ». Il prĂ©voit des arrangements financier, Ă©conomique, politique et il conclut M. von Papen n'ignore rien des demandes prĂ©cises auxquelles il va avoir Ă faire face. Dure semaine, aurait-il dit aujourd'hui, que celle qui va stcuvrir, lundi. Il faudra terriblement marchander. Ce n'est d'ailleurs pas une perspective qui semble l'effrayer, car il sait qu'en matiĂšre de marchandage l'Allemagne est maĂźtresse experte. Et puis, Ă©tant une sorte de dictateur, il donne l'impression d'ĂȘtre moins asservi que ses prĂ©dĂ©cesseurs aux remous de la- presse et de son Parlement. Enrtout'cas, la France, elle, n'a pas marchandĂ© lorsque^ comme entrĂ©e de-jeu Ă la confĂ©rence, elle a signĂ© un papier qtii prolonge, sans date fixe d'expiration, le, anoratoire' ides paiements. La France n'est pas rĂ©gie par des dĂ©crets-lois et n'est point sous la botte de bataillons d'assaut Ă la solde de magnats ou d'aventuriers. Son opinion publique est libre et cette opinion ne ratifiera jamais un arrangement final oĂč,, ayant tout sacrifiĂ©, elle n'aurait en Ă©change rien obtenu. M. Gignoux, dans la JOURNEE INDUSTRIELLE, est peu satisfait II apparaĂźt clairement qu'en Ă©change des rĂ©parations on voudrait obtenir un renforcement de la sĂ©curitĂ© politique et Ă©conomique. C'est d'ailleurs une position fort sensĂ©e dĂšs l'instant qu'on admet mais alors il faut le dire qu'il n'y a plus de rĂ©parations. Qui croit sĂ©rieusement qu'une telle entreprise pourra ĂȘtre menĂ©e Ă bien dans la cohue de Liiusanne, oĂč dĂ©jĂ on voit dans la coulisse se multiplier les tractations parl ticuliĂšres .? UNE CONFĂRENCE A TOKIO AU SUJET DES RELATIONS AMERICANO-JAPONAISES A une confĂ©rence de la Table Ronde qui vient d'ĂȘtre tenue Ă Tokio, la question des relations amĂ©ricano-japonaises fut discutĂ©e, ainsi que l'Ă©ventualitĂ© d'une guerre entre les Etats-Unis et le Japon. Cette confĂ©rence tirait son importance de la qualitĂ© de ses membres. Y assistaient le capitaine de vaisseau Sekine de l'Ă©tat-major gĂ©nĂ©ral de la marine, professeur a l'Ecole supĂ©rieure de la marine; le colonel Furujo Tanchide, chef du bureau des renseignements au ministĂšre de la guerre M. Uehara Elsujiro, vice-prĂ©sident de la Chambre dĂšs dĂ©putĂ©s le lieutenant-colonel Adachi Kenzo, de l'Association de l'aviation impĂ©riale le lieutenant de vaisseau Hayakawa Seiji le docteur Oyama Aijiro, ex-consul gĂ©nĂ©ral du Japon Ă San-Francisco le docteur Maeda Minoru, attachĂ© Ă la rĂ©daction du Tokyo Asahi M. Nara Shizuma, directeur de,la revue Gendai, etc. Fait Ă retenir, tous les membres de cette confĂ©rence ont eu, Ă un titre quelconque, affaire avec les Etats-Unis. Ainsi, le capitaine de vaisseau Sekine, que d'aucuns affirment qu'il sera bientĂŽt l'un des chefs de l'Ă©tat-major gĂ©nĂ©ral de la marine, a Ă©tĂ© pendant de longues annĂ©es attachĂ© naval Ă Washington. Il a la rĂ©putation de connaĂźtre les dessous de la marine amĂ©ricaine. Ses dĂ©clarations valent donc d'ĂȘtre retenues, tant par la compĂ©tence de son auteur qu'en raisonne la situation qu'il occupe. ,1, La marine des EtatSrUnis est bien Ă©quipĂ©e, a-t-il dit, elle est Ă©galement bien entraĂźnĂ©e. Par bien Ă©quipĂ©e, je veux dire .qu'elle possĂšde des armements redoutables. Il nfl-jĂźui sera pas cependant facile d'attaquer le Japon la distance qui sĂ©pare les deux pays est environ de six mille milles. La distance est un facteur de. premier ordre dans les opĂ©rations navales plus elle est grande et moins efficace est Ic pouvoir d'attaque. Le Japon se tiendra. sur la dĂ©fensive, et Ă moins que nos adversaires s'approchent de nos cĂŽtes, aucun combat n'est Ă prĂ©voir, du moins dans les premiers mois. Pourvu, Ăču'elte nĂ© s'Ă©loigne pas du Japon, la iĂŻiarine impe- riĂ lelaponaĂŻsc 'est suffisamment forte pour lutter avec celle des Etats-Unis et cette lutte serait Ă son avantage si la marine des Etats-Unis n'a point l'appui d'antres marines. Les AmĂ©ricains le savent, c'est pourquoi ils n'ont pas recours Ă des mesures provocatrices. Si l'action japonaise en Chine peut amener des profits matĂ©riels pour le Jappn, c'est pour des raisons de justice que le Japon ^st intervenu. Son but est d'asseoir la paix en ExtrĂȘme-Orient, c'est Ă©galement de promouvoir la prospĂ©ritĂ© et le progrĂšs chez les peuples asiatiques., Dai^s ces circonstances, une intervention dĂ©placĂ©e peutsamener la guerre. Cette guerre, le Japon pourrait ĂȘtre amenĂ© Ă la faire, s'il se croyait attaquĂ©. Une guerre avec les devrait ĂȘtre terminĂ©e le plus vite possible. L'opinion gĂ©nĂ©rale, fondĂ©e sur les enseignements de la derniĂšre guerre europĂ©enne, croit qu'elle 'durerait longtemps. Il ne faut pas oublier que se battre Ă une grande distance serait un dĂ©savantage si la Bucarest, 19 juin. AprĂšs avoir, eu une longue entrevue.'avec M. Vaida Voivode, prĂ©sident du Conseil, M. Titulesco est parti pour Lausanne par le Simplon Express. L'ambassadeur de Roumanie Ă Londres, qui va reprĂ©senter son pays Ă la confĂ©rence des rĂ©parations, a Ă©tĂ© saluĂ© sur le quai de la gare par M. Dumitresco, secrĂ©taire du roi, et par plusieurs personnalitĂ©s politiques. LES ETATS-UNIS ET LA CONFERENCE DE LAUSANNE Washington, 19 juin. Les milieux officiels suivent attentivement les Ă©vĂ©nements de Lausanne et estiment que l'Europe fait un vĂ©ritable effort en vue de rĂ©soudre le problĂšme des rĂ©parations. Toutefois, en attendant les informations que selon toute vraisemblance les ambassadeurs Ă©trangers remettront Ă M. Stimson, l'administration s'abstient de tout commentaire officiel. On n'attache pas. foi Ă l'annonce suivant laquelle les puissances europĂ©ennes organiseraient un front commun dirigĂ© contre les Etat-Unis. D'autre part, selon certains bruits qui circulent ici, il se pourrait que la ConfĂ©rence Ă©conomique mondiale ait lieu Ă Washington. >Ì En ce qui concerne la crise Ă©conomique, le gĂ©nĂ©ral Dawes, qui vient de se dĂ©mettre de ses fonctions de PrĂ©sident de la corporation de reconstruction financiĂšre a dĂ©clarĂ© qu'Ă son avis , c'est-Ă -dire de n'ĂȘtre pas contrainte de payer quand elle ne recevra plus rien ? Oui, rĂ©pond l'AMI DU PEUPLE, qui pose la question sur son vĂ©ritable terrain. Et notre confrĂšre rappelle la sĂ©ance du 20 juillet 1929 Ă la Chambre, oĂč furent ratifiĂ©s les accords Mellon-BĂ©renger et Churchill-Caillaux sur les dettes interalliĂ©es L'AssemblĂ©e Ă©tait visiblement hostile Ă cette ratification, qui ne fut votĂ©e Ă grand'peine qu'avec une rĂ©serve expresse qui, elle, fut adoptĂ©e Ă l'unanimitĂ©, sans scrutin, Ă mains levĂ©es. 'Ì II est bon de rappeler ce texte qui, s'il ne lie pas nos crĂ©anciers, engage'notre gouvernement qui ne saurait passer outre sans forfaiture. Le voici ConsidĂ©rant que la France, sons peine de troubler gravement son Ă©conomie nationale, ne pourra trouver les moyens nĂ©cessaires Ă l'exĂ©cution des accords des 29 avril et 12 juillet 1926 que dans l'accomplissement rĂ©gulier des obligations de l'Allemagne 1 .1 » DĂ©clare que les charges imposĂ©es au pays du fait desdits accords doivent ĂȘtre couvertes exclusivement par les sommes que l'Allemagne aura Ă payer Ă la France en dehors de celles destinĂ©es aux rĂ©parations.» » L'Allemagne doit, dĂšs le 1" juillet prochain, Ă l'expiration du Moratoire Hoover, reprendre ses paiements. 'La DĂ©claration de Lausanne l'en dispense. Mais, en dĂ©cembre prochain, lorsque ce sera notre tour de reprendre les nĂŽtres vis-Ă -vis des Etats-Unis, que ferons-nous? '? Nous n'aurons rien reçu de notre -dĂ©biteur, ni la fraction inconditionnelles ni l'autre. Les charges Ă nous imposĂ©es par les accords de Londres et de Washington ne seront pas couvertes. Elles ne seront couvertes ni exclusivement ni partiellement par les versements de l'Allemagne. Le devoir de notre gouvernement, conclut justement l'Ami du Peuple, sera donc tout tracĂ© il devra laisser la caisse hermĂ©tiquement close. La naĂŻvetĂ© doit avoir des bornes. » IntĂ©rim. IntĂ©rim» LES GRANDES ĂPREUVES D'AUTOMOBILES Le Grand Prix du Mans est gagnĂ© par l'Ă©quipe Sommer-Ăhinetti LE Mans Circuit dĂ© la Sarthe, 19 juin. Oc notre envoyĂ© spĂ©cial. Le grand prix d'endurance des 24 heures, disputĂ© au Mans sur ce fameux circuit permanent de la Sarthe oĂč l'A. C. de l'Ouest orgavisa tant de belles manifestations .automobiles, s'est terminĂ© non pas comme on aurait pu le prĂ©voir, mais, et cela malheureusement pour le cote sportif, Ì* comme il Ă©tait permis de l'envisager, Ă©tant donnĂ© qu'en adoptant un nouveau parcours, on entrait. a peu dans le domaine de l'inconnu. Pour cette annĂ©e, le lot international offrait une qualitĂ© digne âąÌÌâąÌde cette belle compĂ©tition avec six nations repreÌ sentĂ©es, La France avec dix voitures, l'Italie'avec sept voitures, l'Angleterre avec sept voitures Ă©galement, l'Allemagne et l'AmĂ©rique. Au total, vingtsix voitures Ă©taient au dĂ©part, parmi lesquelles on avait plaisir Ă trouver, dans les vĂ©hicules capables de battre le record de la distance, une Ă©quipe re-, doutable de voitures italiennes Alfa-Romeo, deux voitures françaises Bugatti, une voiture allemande Mercedes et une voiture amĂ©ricaine Stutz de qui' on attendait avec intĂ©rĂȘt les premiĂšres manifestations. Ceux qui avaient roulĂ© sur le nouveau parcours de 13 kms. 490 au tour s'accordaient pour reconnaitre que, facilitant la tĂąche des conducteurs, on devait s'attendre Ă une meilleure performance de fait, il suffirait des premiers tours pour se rendre compte que la marche ait rapide, puisue, successivement, le record du tour passait de f31 kilomĂštres Ă 143 kms. 278 de moyenne horaire, alors que, sur l'ancien circuit, on en Ă©tait Ă -kilomĂštres environ dans la mĂȘme Ă©preuve. Mais il a suffĂŻ de quelques heures pour transformer du tout au tout la physionomie de la lutte. On escomptait un duel farouche entre les voitures françaises pilotĂ©es par l'Ă©quipe Chiron et Bouriat et le comte Czadkowskl-Friedrich contre la coalition redoutable italienne dans laquelle on trouvait les champions MinoĂŻa, vainqueur du championnat interna- tional de vitesse lord Howe, vainqueur des a,nejle. En 1615. Charles Estjeijne Ă©crivait 11 n'est pas besoin que le fermier sache ni lire ni Ă©crire ou qu'il face par auMif1 faire rĂ©gistre de sa dĂ©pense. » Un sĂ©nateiiE'jdĂ© ?notre troisiĂšme RĂ©publique proclamait IjĂŻjfte. faut pas que les cultivateurs vendent chef sous' prĂ©texte de se baser sur leurs prix de revßérity*c%r, ayant peu de besoins, ils estimeraient gagner suffisamment et ne produiraient rien, » Enfin un ministre des finances qui fut cependant ministre de l'agriculture estimait qu'il ne serait pas prudent d'exiger des cultivateurs Ta tenue d'une comptabilitĂ©. Ces citations, apportĂ©es Ban M. Henri Girard dans son magnifique discours d'ouverture, dĂ©montrent qu'Ă toutes les Ă©poques les pouvoirs publics se sont efforcĂ©s de maintenir en tutelle Va paysannerie en la dĂ©tournant de la comptabilitĂ©. L'inscription des recettes et des. dĂ©penses, l'Ă©tablissement de prix de revient constituent en effet des documents trop dangereux Ă produire, qui eussent dĂ©montrĂ© et qui dĂ©montreraien;tt''Ă©h'core" que le paysan travaille souvent Ă perte. L'industrie et la collectivitĂ© citadine ont profitĂ© derfflorç»}jgn,oranee ce point de vue qui masquait, -Ă mi-rmjĂȘme la valeur de sa production. Cependant tine1 profession qui veut tenir sa place dans la vie natĂźdtiĂ ie doit se montrer capable d'exprimer sesĂŻrĂ©aiitĂ©s comptables, faute de quoi dans l'Ă©quilibre. des forces qui composent une nation, elle se trouve, asservie aux autres. Dans notre Ă©tat fiscal, la comptabilitĂ© constitue le seul moyen de dĂ©fense contre les impĂŽts qui ne doivent frapper que dĂ©s bĂ©nĂ©fices existants, et demain, quand il faudra Ă©omprimer nos prix de revient, comme nous Ifa fait prĂ©voir Ă Evreux le ministre de l'agriculture, j\i. Abel Gardey, c'est Ă elle que nous aurons recours pour montrer tout ce qui s'incorpore d'impĂŽts, de charges sociales, de taxes, de prix de transport dans la valeur intrinsĂšque de la production agricole. On verra ajors l'injustice des reproches qui nous sont adressĂ©s de la part des citadins quant Ă la chertĂ© de l'existence. La dĂ©composition et l'analyse des prix, la sĂ©paration des Ă©lĂ©ments qui les composent peuvent seuls faire ressortir. les causes de leur Ă©lĂ©vation. EnvisagĂ©e sous l'angle professionnel, la comptabilitĂ© permet au paysan, de reconnaĂźtre les cultures lucratives de celles qui ne lui rapportent pas et elle deyi,eji,t ainsi indispensable, pour tirer parti de son travail acharnĂ© qui, sans eUe, ne saurait ĂȘtre rĂ©munĂ©rateur. L'office de comptabilitĂ© par sa forme syndicale permet au petit cultivateur, avec un minimum de connaissances et pour un prix modique, d'avoir une comptabilitĂ© aussi bien tenue qu'une grande exploitation. VoilĂ qui crĂ©e envers M. Henri Girard, propagateur de l'idĂ©e et fondateur de l'office central, une nouvelle dette de reconnaissance .de la part du monde agricole. Yci ;>v- Raymond de PassflW. p,.5, L,e ComitĂ© de l'art des jardins de. la SociĂ©tĂ© nationale d/horlicuĂźture de France, dont le prĂ©sident est notre confrĂšre M. Albert MaumenĂ©, directeur de Vie Ă la campagne, entreprend un voyage d'Ă©tudes en Angleterre prĂ©parĂ© par les dirigeants Ă la SociĂ©tĂ© royale d'horticulture de Londres.. Au cours de ce dĂ©placement, qui aura lieu du 18 au 26 juin, cette iflĂšlĂ©gation sera reçue par la SociĂ©tĂ© royale d'hoĂŻtĂŻculture de Londres, par les grands propriĂ©taire»' amateurs de jardins, dont le duc de Marlbortiugh,dĂ ns sa belle rĂ©sidence de Bleinheim. RappelOĂźis, ĂŻ'fcet effet, que les cours et les parterres ont Ă©tĂ©1 'dessinĂ©s par un des maĂźtres de l'architecture des^jĂąrdins français. Ils constituent une synthĂšse 'd'une rĂ©alisation qui s'apparente avec la splendide ordonnance de Vaux-leVicoiiite, une des Ćuvres les plus marquantes de Le NĂŽtre, 'l'iu'J, .iburnaj pa^lĂ© par T. 8. F. " ;W*~ Z^ -jtfe& AgrĂźouiteups' de FP8no*Ăźj- Emission delĂ Tour Eiffel 1,444 m. et de TEcole supĂ©rieure des P. T. T. 447 m., tous les jours sauf le dimanche, de 13 h. 30 Ă 13 h. 45. Lundi 20 juin Evasion et rĂšglements des sinistres en matiĂšre 4'^ss^rance grĂȘle. Mardi 21 juin L*iternure des choux fonrragers. Le goĂ»t des Ćufs. Ì-Ì»'> -Ì' âą Mercredi 22 juin ''ÂŁ>Ă$ snr la prĂ©vention des accidents. ,,n ;l Jeudi 23 juin i-esjeharsnçons. De l'Ăąg» du reproducteur bovin. i>. -if.; Vendredi 24 juin f Combattez le inildiou Ă l'aĂźde du sulfate de cuivre. l! Samedi 25 juin Les anciens combattants et tes assurances sociales. J Lundi 27 juin J}e TenguĂȘte en matiĂšre accidents du travail. ORGANISATION ET PROPAGATION DE LA LECTURE PUBLIQUE Cinq confĂ©rences pratiques seront organisĂ©es les 20, 21, 22, 23 et 24 juin 1932, Ă la BibliothĂšne Forney, 12, rue Titon Paris, XI" mĂ©tro ChalignyFaidberhe, de 18 heures Ă 19 h. 30. Elles sont rĂ©servĂ©es' en principe, aux bibliothĂ©caires publics et privĂ©s, aux Ă©lĂšves et anciens Ă©lĂšves des Ă©coles de service, sppial, aux personnes voulant crĂ©er des bibliothĂšques, populaires pour enfants, adultes, citĂ©s ouvriĂšres, 'offices d'informations, etc. 1" confĂ©rence Vue d'ensemble sur les bibliothĂšques publiques scientifiques, populaires, pour adultes, pour enfants, etc. La BibliothĂšque pour tous local, mobilier, fournitures diverses. 2S confĂ©rence La lecture et le choix des livres bibliographie pratique ouvrages de rĂ©fĂ©rences grandes collections. 3" confĂ©rence Achat des livres; entrĂ©e des livres et des pĂ©riodiques classification pratique. Ì 4e confĂ©rence Catalpgue fiches d'auteur, de titre, de sujet, de dĂ©pouillement inventaire. 5e confĂ©rence PrĂ©paration matĂ©rielle des livres reliure, cotation, estampillage. PrĂȘt sur place et Ă domicile. *!s Les confĂ©rences seront complĂ©tĂ©es par des visites d' Inoderjjes, L'HCQ^M-^G-E .A. DEBUSSY Comment les musiciens ont cĂ©lĂ©brĂ© le Musicien de l'Ile-de-France Une fois encore, dans le temple qu'il y a vingt ans, Gabriel Astruc lui consacra, la Musique a fait passer sur nous son souffle vivifiant. Il Ă©tait bon, il Ă©tait juste que cet hommage Ă Claude Debussy lui fĂ»t rendu dans ce Théùtre des Champs-ElysĂ©es qu'il considĂ©rait comme sa maison, le seul endroit oĂč l'on aimait sincĂšrement la musique ainsi qu'il l'Ă©crivait d'Arcaçhon, un an avant sa mort, Ă celui qui l'avait fondĂ©. 1 Il Ă©tait juste aussi que le monument de Jean et JoĂ«l Martel, de conception, de style si nettement debussystes, Ă©levĂąt son architecture simple iet significative dans un dĂ©cor naturel de verdure, Ă la mĂ©moire du musicien qui disait Ă Jacques Durand Les arbres sont de bons amis, voyez-vous ». La veille, nous avions eu rue de Valois, dans les salons des Beaux-Arts, sĂ©ance de musique de chambre. Conjuguant leurs talents, Ninon Vallin, Alfred Cortot, Jacques Thibaud, Robert Krettly et ses collaborateurs, Ă travers les Chansons de Bwtis, la Sonate pour piano et violon et lĂ© quatuor, avaient rĂ©vĂ©lĂ©, dans une atmosphĂšre de tendre recueillement, le cĆur mĂȘme de Claude Debussy et son plus intime secret. Le lendemain, avait lieu, dans l'Ă©tincelante lumiĂšre de ce printemps finissant, et en prĂ©sence du Chef de l'Etat, des ministres, des ambassadeurs, des hauts mandataires de la Ville de Paris et des corps constituĂ©s, l'inauguration officielle du monument. Il y eut lĂ musique et discours » l'une et les autres de prĂ©cieuse qualitĂ©. Par une rencontre heureuse, ce grand poĂšte des sons qui fuyait d'un zĂšle Ă©gal la grandiloquence et la convention, trouva pour le cĂ©lĂ©brer quelques orateurs capables de le comprendre et dignes de magnifier son Ćuvre. Apres la harangue de M. François Latour, prĂ©sident du Conseil municipal, Ă la gloire de Claude Debussy, musicien de l'Ile-de-France », aprĂšs celle de M. Joubert, prĂ©sident d'honneur de la SociĂ©tĂ© des auteurs, compositeurs, Ă©diteurs de musique, oit passa, lĂ©gĂšre, l'ombre mĂ©lancolique de Paul Vidal, le bon compagnon de Rome, M. RenĂ© Peter, viceprĂ©sident de la SociĂ©tĂ©- des auteurs dramatiques, l'ami des jeunes annĂ©es, Ă©veilla de leur sommeil d'anciens et chers souvenirs et, par quelques images frappantes auxquelles une Ă©motion sincĂšre donnait la couleur et l'accent de la vie, fixa la physionomie morale et artistique du musieien de Pelleas. Puis, M. Paul LĂ©on, prĂ©sident du ComitĂ©, dans un langage digne du pays de Pascal et de Racine par sa concision, sa riche substance, son relief de mĂ©daille, dĂ©finit les caractĂšres essentiels du gĂ©nie de Claude Debussy et montra par quels liens il se rattache au mouvement artistique et poĂ©tique de son temps. Le sous-secrĂ©taire d'Etat aux beaux-arts, M. Jean Mistler, prit ensuite la parole et s'empara d'emblĂ©e, non seulement de l'esprit mais du cĆur de ses auditeurs, tant son discours, fondĂ© sur une connaissance approfondie de toute musique et, particuliĂšrement, de celle du maĂźtre des FĂȘtes galantes, contenait, coulĂ© dans une belle forme, d'ardente conviction, de lyrisme et de fraĂźche poĂ©sie. Ce fut alors le tour de la musique de cĂ©lĂ©brer le musicien des Jardins de France » Et c'est Ă quoi s'employĂšrent avec un Ă©gal succĂšs, Mlle Gauley, la musique de la Garde et son remarquable chef, M. Pierre Dupont, l'Association chorale de Paris, la chorale Amicitia, la chorale des profes- seurs et instituteurs de la Ville de Paris et leur directeur M. Roger Ducasse, dans un programme qui comprenait les Trois Chansons de Charles d'OrlĂ©ans et le Finale de Saint-SĂ©bastien. Le soir, au Théùtre des Champs-ElysĂ©es, c'est la Musique encore qui chanta la gloire de Claude de France. Il y eut dans cette plĂ©nitude d'Ă©motion et de joie un long instant d'Ă©blouissement. Ce ne fut ni durant le temps oĂč Philippe Gaubert Ă©voqua avec une entiĂšre maĂźtrise la Cour des Lys de l'extase des archers d'EmĂšse, et l'amour enivrĂ© des jeunes martyrs Marc et Marcellien ni au moment oĂč Gabriel PiernĂ©, dont le retour au pupitre fut saluĂ© d'affectueuses acclamations, guidait d'une baguette dĂ©licate et sĂ»re le troupeau nostalgique des Nuages, les foules diaprĂ©es de FĂȘtes et le cortĂšge ondoyant des SirĂšnes; ni pendant que le quatriĂšme acte de PeilĂ©as nous revenait du passe par la volontĂ© et les talents unis de Mary Garden, de VieuiHe, de Dufranne, bons compagnons des premiĂšres luttes de Roger Bourdin et de Inghelbrecht, Ă qui Debussy dut, dans ce mĂȘme théùtre, quelques-unes de ses plus entiĂšres satisfactions musicales; ni alors que la T. S. F., par un geste symbolique, nous apportait lApre^miai d'un Faune, dirigĂ© Ă BĂąle par FĂ©lix Weingartner. Ce fut quand Toscanini conduisit La Mer. Il Ă©tait lĂ , homme parmi les Ă©lĂ©ments et peut-ĂȘtre l'un d'entre eux peut-ĂȘtre aussi le plus dĂ©cidĂ© Ă s ajanguir sous la caresse du soleil, Ă s'Ă©mouvoir Ă l'appel du vent, Ă se rĂ©volter dans la tempĂȘte dĂ©chaĂźnĂ©e. Sa main gauche dont l'indĂ©pendance et la personnalitĂ© sont connues semblait modeler une invisible glaise; sa main droite Ă©tait bien l'antenne oui joignait son cĆur Ă celui de chacun de ses musiciens, le mot est d'un jeune compositeur LA PECHE EST OUVERTE C'Ă©tait hier l'ouverture de la pĂȘche dans la rĂ©gion parisienne. Ouverture sans fracas, pour ne pas effaroucher les poissons ceux-ci sont devenus mĂ©fiants avec le temps ils savent associer, dans leur petit esprit, l'idĂ©e de bruit et l'idĂ©e de friture. De grand matin, les pĂȘcheurs sont partis de Paris, avec leur femme, leurs enfants, et leur pittoresque matĂ©riel. Les trains les amenĂšrent sur les bords de la Seine, de la Marne, de l'Oise et d'autres riviĂšres. Et voilĂ nos pĂȘcheurs Ă pied d'oeuvre. Ils cherchent le coin poissonneux du cours d eau, avec autant de soin qu'un prospecteur cherche le terrain aurifĂšre. L'emplacement choisi, l'offensive se prĂ©pare. Le pĂȘcheur accroche un ver rouge Ă l'hameçon qui termine sa ligne, tandis que sa famille sort des paniers les seaux de fer blanc destinĂ©s Ă recevoir les problĂ©matiques captures. A pas feutrĂ©s, il s'approche de l'onde, Ă©tend le bras l'appĂąt est immergĂ©. Au bout de quelques minutes, la flotte de la ligne s'enfonce et disparaĂźt dans l'onde. Le pĂȘcheur ferre, pour prendre le poisson. Il ramĂšne un superbe brochet. La maniĂšre forte a rĂ©ussi. Certain pĂȘcheur de Cocherel procĂ©da diffĂ©remment. Etant allĂ© porter ses pas sur les bords du lac de GenĂšve, il crut, par un discours, attirer Ă lui toute la gent aquatique. Il lui dit, entre autres belles paroles Un vivier vous attend, plus clair que fin cristal. Il eut beau prĂȘcher. Ses paroles miellĂ©es s'envolĂšrent aux vents, et il ne prit aucun poisson. La Fontaine l'avait prĂ©vu, il y a bien longtemps. Le bon pĂȘcheur doit ĂȘtre rĂ©aliste. S'il ne l'est pas, le plus lourdaud des citoyens de l'onde le dupera toujours. H. C. UN GRAND MEETING DE LA FEDERATION CATHOLIQUE PU PUY-DE-DOME 'n .'d .ÂĄ'1 Clermont-Ferrand, 19 juin.â Cet aprĂšs-midi, la FĂ©dĂ©ration catholique du Puy-de-DĂŽme a tenu un important meeting dans les cours du pensionnat Godefroy-de-Bouillon. Dix-huit mille hommes y ont pris part. M. Pajot, ancien bĂątonnier, prĂ©sident de l'Union diocĂ©saine, a dĂ©noncĂ© les mĂ©faits du laĂŻcisme. M. Henriot, dĂ©putĂ© de la Gironde, a fait le procĂšs de l'Ă©cole unique, Ă laquelle conduit la gratuitĂ© gĂ©nĂ©ralisĂ©e de l'enseignement secondaire. Le gĂ©nĂ©ral de Castelnau, prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration nationale, a exposĂ© le programme religieux et civique de cette derniĂšre et demandĂ© aux unions diocĂ©saines de remplir tout leur rĂŽle de coordination des forces catholiques. Mgr Marnas, Ă©vĂȘque de Clermont, a remerciĂ© les orateurs et l'assistance a votĂ© un ordre du jour demandant que soit assurĂ©e Ă la famille française la place prĂ©pondĂ©rante qui lui revient dans la italien ses yeux, si noirs sous l'aurĂ©ole des cheveux blancs, attiraient, retenaient, captaient et distribuaient, selon les besoins du gĂ©nie, tout ce que leur Ăąme contenait d'intelligence, de poĂ©sie, d'amour. Sans trahir un instant la pensĂ©e du maitre français, il la recrĂ©ait, dans ce sens qu il lui rendait la vie de l'art si semblable Ă la vie des ĂȘtres par ce qu'elle comporte de sensibilitĂ©, de nuances, de mouvement. Minutes d'ensorcellement oĂč la musique, rendue Ă sa fonction, Ă sa destinĂ©e, suogĂšre, Ă©voque, Ă©meut, transporte et nous arrache Ă la terre. Les qualitĂ©s, fussent-elles prestigieuses, d'une Ă©blouissante technique, sont d'un bien faible poids si on les compare Ă celles, imprĂ©cises, intransmissibles, mystĂ©rieuses comme la poĂ©sie ou l'amour, qui font la grandeur d'un tel artiste. t Par quels prodiges de tels concours ont-ils Ă©tĂ© obtenus et cet orchestre rĂ©uni oĂč avaient pris place, et parfois au dernier rang, quelques-uns des meilleurs musiciens de Paris? Comment le chĆur de soixante-quatorze villes musiciennes de France et de l'Ă©tranger a-t-il Ă©tĂ© formĂ© pour apporter a la mĂ©moire de Claude Debussy son offrande et son hommage? Par la volontĂ© d'un seul homme Gabriel Astruc, dont M. Paul LĂ©on a si justement dit, dans son discours Paris lui devait dĂ©jĂ sa plus belle scĂšne lyrique. Il lui doit ce monument. Sans lui, rien n'eĂ»t Ă©tĂ© conçu, exĂ©cutĂ©, achevĂ©. > âąK Quelques annĂ©es ont suffi pour que Claude Debussy s'imposĂąt au monde. Quelques annĂ©es durant lesquelles le public, sans qu'il s'en doutĂąt, est passĂ© de l'hostilitĂ© Ă l'idolĂątrie. JI fallait qu'il portĂąt en lui de singuliĂšres vertus pour dĂ©sarmer en si peu de temps la raillerie, conquĂ©rir l'univers et donner aux nĂ©gateurs d'hier l'illusion qu'ils pĂ©nĂ©traient enfin son gĂ©nie! A l'Ă©tranger, il a apportĂ©, sinon une loi, du moins une parole nouvelle. Il y a donnĂ© le goĂ»t de la mesure, le goĂ»t de certaines libertĂ©s aussi et d une poĂ©sie plus naturelle. On peut dire qu'il a marquĂ© ainsi de son influence la production de quelques-uns des maĂźtres Ă©trangers les plus rĂ©putĂ©s de ce temps. En France, il a fait entendre une voix française. Comme l'a dit Pierre Lalo, il a abattu non pas Wagner, qui est immortel, mais le wagnensme », Personnel, plus peut-ĂȘtre "que tout autre musicien, ayant montrĂ© dĂšs l'adolescence de prodigieux dons d'originalitĂ©, son influence n'eĂ»t dĂ» s'exercer d'une façon utile que sur l'orientation gĂ©nĂ©rale de la musique et dans un sens bien plutĂŽt poĂ©tique que proprement technique. Les musiciens d'avant-hier, quelques-uns du moins, se sont bornĂ©s Ă tenter de l'imiter. Ceux d'hier Ă le nier, Ceux de demain, libĂ©rĂ©s de son charme, profiteront mieux sans doute de l'exemple qu'il leur a laissĂ©. Quant Ă ses Ćuvres, certaines d'entre elles auraient besoin d'ĂȘtre Ă nouveau travaillĂ©es, dĂ©gagĂ©es surtout de fausses traditions dont en peu de temps elles se sont alourdies. D'autres sont Ă peu prĂšs ignorĂ©es. MĂȘme parmi celles q'on joue le plus, on dĂ©couvre toujours quelque beautĂ© nouvelle. Dans une certaine mesure, Debussy est peut-ĂȘtre encore un musicien mĂ©connu. Lui-mĂȘme est bien loin d'avoir liyrĂ© son secret. On a cru longtemps que tout chez lui Ă©tait artifice, alors que tout, au contraire, y est naturel. On s'est montrĂ© surpris que cet ĂȘtre raffinĂ©, un peu ironique et souvent distant, choisit pour motifs d'inspiration des sujets qui supposent un Ă©tat de simplicitĂ©, de candeur, de naĂŻvetĂ© presque, qui Ă©tait sans doute le sien lorsqu'il se livrait Ă son dĂ©mon intĂ©rieur sujets, en tout cas, qui s'accordaient avec l'amour profond et non dissimulĂ© qu'il n'a cessĂ© d'Ă©prouver pour les paysages de la mer ou de la forĂȘt, On retrouve aujourd'hui dans ces Ćuvres de forme si neuve ce qui les rattache au passĂ©. Sous leurs traits se dĂ©couvre quelque chose du visage d'un ancĂȘtre que Debussy eĂ»t tendrement aime. Ainsi, sous le signe du gĂ©nie, se renoue une vraie Le soir de cette apothĂ©ose, aprĂšs que les instruments eurent regagnĂ© leurs gaines, leurs housses, leurs boites et que timbres et sons eurent rejoint l'impondĂ©rable Ă©ther, quelques-uns de ceux pour qui Debussy fut l'enivrement de leur jeunesse, se retrouvĂšrent prĂšs du monument qui lui est consacrĂ©. La nuit Ă©tait tiĂšde et claire. Des poissons d'or glissaient parmi les reflets de l'eau pu la lumiĂšre mettait des tons de nacre. Il y avait dans l'air de la douceur et de la majestĂ©. Et soudain, il nous apparut que cette pathĂ©tique sobriĂ©tĂ© ç Ă©tait le style mĂȘme de Claude Debussy Qui sonne frais comme les feuilles Neuves sous l'averse nouvelle Dans un verger d'Ile-de-France OĂč des amandiers sans amande Illujwnent l'herbe alentour. Un style" faĂč le discours est concis et la pensĂ©e riche de substance oĂč l'on ne dit rien qui ne vaille la peine d'ĂȘtre dit oĂč l'on suggĂšre plus qu'on n'insiste oĂč le trait n'est jamais appuyĂ© et le contour toujours pur. Robert Brussel. L'ACTUALITE POLITIQUE ET LE ROLE DES FEMMES La discussion au SĂ©nat sur le suffrage des femmes ayant Ă©tĂ© fixĂ©e au 23 juin, les groupements fĂ©ministes multiplient leurs manifestations. Parmi celles-ci, il faut signaler tout particuliĂšrement la rĂ©union organisĂ©e samedi, au musĂ©e social, par l'Union nationale pour le vote des femmes, union que prĂ©side avec tant d'activitĂ© intelligente la duchesse de La Rochefoucauld, Mme Mariel Jean-Brunhes-Delamarre passa d'abord en revue, Ă l'aide de cartes et graphiques saisissants, les Etats du monde qui ont reconnu aux femmes le droit de vote; puis elle attira l'attention sur la situation faite en France Ă la femme, malgrĂ© le rĂŽle Ă©minent que celle-ci remplit dans son pays par son travail et son dĂ©vouement. La duchesse de La Rochefoucauld prit alors la parole. En un exposĂ© intitulĂ© AprĂšs les Ă©lections » et remarquablement clair, malgrĂ© la complexitĂ© du sujet, elle expliqua la situation politique de la France et les problĂšmes trĂšs graves qui se posent aux confĂ©rences du dĂ©sarmement, des rĂ©parations, etc. Cette Ă©tude tout Ă fait objective et approfondie intĂ©ressa vivement l'assistance trĂšs nombreuse, qui fit un vrai succĂšs Ă cette rĂ©union fĂ©minine. Ă2Ă©i otĂź 1&* '.J* Le prĂ©sident de la RĂ©publique inaugurera aujourd'hui, Ă 15 heures, rue du 11-Novembre, Ă Montrouge Seine, une Ă©cole d'infirmiĂšres qui vient d'y ĂȘtre Ă©difiĂ©e d'aprĂšs les donnĂ©es les plus modernes. L'ambassadeur des Etats-Unis, M. Justin Godart, ministre de la SantĂ© publique, et de nombreuses personnalitĂ©s assisteront Ă cette inauguration. L'Ă©cole qui va ĂȘtre inaugurĂ©e est un des Ă©tablissements créés par l'Association pour le dĂ©veloppement de l'assistance aux malades, dont le prĂ©sident du conseil d'administration est le docteur Rist. NOUVELLES DIVERSES Les agents victimes de la circulation Le brigadier Rickli, qui fut l'autre jour victime d'un accident de la circulation Cours la Reine, est dĂ©cĂ©dĂ© hier dimanche au dĂ©but de l'aprĂšs-midi. D'autre part, les obsĂšques de son camarade Pierre Gros, qui fut tuĂ© dans le mĂȘme accident, auront lieu demain matin mardi 21 courant Ă 9 heures Ă l'Ă©glise Saint-HonorĂ© d'Eylau. On se rĂ©unira au domicile, 41, avenue de la Grande-ArmĂ©e. L'inhumation aura lieu au cimetiĂšre de Maisons-Laffitte. Toute Fernande de changement d adresse doit ĂȘtre accompagnĂ©e de la somme de un ir&n-ĂŻ cinquante en timbres-poste pour couvrir une paxrtie des frais de renouvellement de la bande. LETTRES, THĂĂTRE, SCIENCES ET ARTS LES PREMIERES AU STUDIO DE PARIS de romans, de nouvelles d'un tour galant, ço- ] mique, amusant ou Ăąpre, et toujours irrespectueux vis-Ă -vis des conventions et des habitudes de la sociĂ©tĂ©. Le Miroir des PĂ©cIzeresses, Les Caprices de Nouche, Les Enfants sages, pour ne citer que quelques titres, l'apparentent parfois au Toulet de '-Mon amie Nane. Puis il retourne Ă sa natale Aquitaine, avec Le PĂšlerin de Gascogne, La Petite Faunesse, etc., etc. Mais, mieux que ces romans, savoureux, de qualitĂ©s inĂ©gales et diverses, j'apprĂ©cie ses Ćuvres d'observateur, poĂšte et philosophe de la nature. En 1920, il publie le premier volume de ce Bestiaire sentimental, qui le range aux cĂŽtĂ©s du Maeterlinck de La Vie des Abeilles, et Ă la suite de Ferdinand Fabre. Sa Vie de Grillon, sa Chauve-Souris. eurent un succĂšs trĂšs vaste et trĂšs mĂ©ritĂ© Emile et les autres histoires de chats, suivie de Muti, chat de Paris lui valut le prix Femina-Vie Heureuse, et je crois bien que c'est dans le volume intitulĂ© Les Portebonheur que nous est contĂ©e, avec tant de charme, l'existence d'un lĂ©zard. Six ou sept volumes de vers, une trentaine de romans et livres de nature, collaboration frĂ©quente aux journaux et aux i revues, chroniques, nouvelles, etc., c'est un'beau bilan. De plus, Derennes, humaniste Ă©fiiĂ it, Ă©tudia Ă fond les dialectes du Midi il Ă©crivait aussi de trĂšs beaux vers en langue d'oc. Une de ses plus ferventes admirations fut Mistral, avec lequel il entretint une longue correspondance. Pour ceux qui dĂ©sireraient connaĂźtre plus Ă fond l'oeuvre de Charles Derennes, j'indique briĂšvement que ses Ă©diteurs furent trĂšs divers OJlendorfJf, Bernouard, Garnier, Albin Michel et Ferenczi, le Mercure de France, les Portiques, l'Edition, BaudiniĂšre, etc., etc. Une rĂ©cente anthologie, des PoĂštes français contemporains, chez,, DelĂągrave, contient quelques citations tmpi brĂšves de ses poĂšmes, et une bibliographie extrĂȘmement bien faite Ă laquelle je ^ĂŻens de me reporter pour indiquer les daJeĂ ĂźtĂT les prĂ©cisions auxquelles ma mĂ©moire est rebelle. J'ai connu trop peu Charles Derennes, mais je me souviens de son intelligence, de son humour, de sa faconde juvĂ©nile et gasconne et de la sĂ©duction de son esprit erudit et poĂ©tique, C'est son cĂŽtĂ© de blague Ă©rudite que l'on retrouve dans Les Fanfarons, piĂšce renouvelĂ©e de TĂ©rence, qu'il rima en sa prime jeunesse. On y trouve l'aisance d'un rimeur dĂ©jĂ trĂšs habile, une certaine joie de la farce, une gaietĂ© d'atelier, du mouvement, de l'entrain, un sens parodique de lettrĂ© jeune et joyeux. Mais ce n'est t pas lĂ qu'il faut juger Derennes, poĂšte. Il faut applaudir le touchant hommage que lui ont rendu ses amis en faisant jouer ces deux piĂšces mais, en sortant de l'Atelier, il faut relire les grands septains dĂ©PersĂ©phone to, cprttiptible çhĂ ir'&se ans ailes du tonge*. Ces premiers essais théùtraux ne font pas hommes, sa passion dp justice l'entratne Ă des violences immĂ©ritĂ©es. ProfondĂ©ment honnĂȘte et sincĂšre, comme il le regretterait s'il pouvait savoir qu'il se trompe Il a au cĆur une grande force d'amour et parfois l'iniquitĂ© le contraint de haĂŻr. Mais son Ćuvre et sa vie prouvent qu'il prĂ©fĂšre aimer. En terminant, M. ĂŻiéçointe analyse l'Ćuvre si vaste Loin de s'attarder Ă ccusBçcĂšs dont soudain son existence s'illumine, avçç, quelle heureuse ferveur il travaille, comme s'il aYaU^lep pressentiment d'un avenir trop court pour exprimer tout ce qu'il porte en lui 1 DĂšs l'annĂ©e suivante il .nous fait lire La Revanche du Corbeau, son chef-4'oeuvre. jpuis se succĂšdent Miraut, chien de chasse, oĂč il me,nire. d'une maniĂšre poignante It profond lien de tendresse entre le chasseur, si rude qu'il soit, et le compagnon de ses exploits cynĂ©gĂ©tiques, La Guerre des Boutons et tant de nouvelles, d'Ă©tudes, de pages qui composeront les deux volumes publiĂ©s aprĂšs sa mort. On sent en outre qu'il est homme Ă dĂ©crire le? batailles de la forĂȘt parisienne lorsqu'il les connattra aussi bien que celles de la .forĂȘt franc-comtoise. Mais bientĂŽt il en voir^autres, plus terribles, auxquelles ril participe d'une'Ăąfne forte mais que, hĂ©las 1 il ne pourra conter 1 Des voix Ă©loquentes vous diront sa rĂ©signation et sa bravoure, l'Ă©nergie confiante, et sĂ»re de ne pas renier son idĂ©al, avec laquelle ce pacifique fit la guerre, 'Ì Fils de paysans, sachant la peine des hommes pour bĂątir et maintenir un foyer, pour y faire vivre les enfants et les vieillards qu*Ăźi abrite, Louis Pergaud n'a pu admettre ces dĂ©possçgsipns violentes, l'incendie des rĂ©coltes et des chaumiĂšres, les torches et la fusillade Ă travers les villages, Son ^ijie de campagnard s'est rĂ©voltĂ©e. Plus encore peut-ĂȘtre son Ăąme d'idĂ©aliste, Ă©pris de justice. MalgrĂ© son horreur de la guerre, il s'est rĂ©signĂ© Ă la subir et il l'a fftitehĂ©roĂŻquement. Il a sacrifiĂ© sa vie pour dĂ©fendre et sauver ce qu'il aimait le plus la terre des ancĂȘtres, Jes demeures rustiques, la libertĂ© et tout ce que la gĂ©nĂ©reuse pensĂ©e de France, reprĂ©sente pour le bonheur des hommes. Au nom de la ville de Besançon, le maire, M. Siffert, aprĂšs avoir remerciĂ© les membres du comitĂ©, s'est plu Ă souligner que les annĂ©es que Pergaud avait passĂ©es dans cette ville avaient Ă©tĂ© parmi les plus fĂ©condes, Puis M, Alengry, recteur de l'UniversitĂ©, a soulignĂ© ce que l'auteur de De Goupil Ă Margot devait Ă ses maitres. Au nom de la SociĂ©tĂ© des Gens de lettres, M. AndrĂ© Dumas a pris ensuite la parole, Ă©tablissant un parallĂšle entre Pergaud et Courbet Ils subirent tous deux Ă peu prĂšs la mĂȘme Ă©volution. Courbet, ayant dĂ©butĂ© par des tableaux allĂ©goriques, ne comprit bien qu'Ă Paris tout le parti qu'il pouvait tirer des gens, des bĂȘtes, des pierres mĂȘme de son pays natal. Pergaud, dont les premiers poĂšmes Ă©voquaient des citĂ©s lĂ©gendaires et des infantes hiĂ©ratiques, prit bientĂŽt en dĂ©goĂ»t le carton du dĂ©cor, comme Samain l'avait fait lui-mĂȘme, et c'est parmi les dossiers prosaĂŻques de l'HĂŽtel de Ville et de la Compagnie des Eaux qu'il sentit toute la beautĂ© de sa forĂȘt lointaine, dĂ©daignĂ©e des snobs et des touristes, dont il avait uq instant mĂ©connu les vertus poĂ©tiques. Puis M. Roland DorgelĂšs s'est fait l'interprĂšte de l'AcadĂ©mie Goncourt. AprĂšs avoir Ă©voquĂ© l'ombre Ă©mouvante du jeune Franc-Comtois », l'auteur des Croix de Bois l'a suivi Ă la guerre. Trois mois de marches et de contre-marches, a poursuivi M. Roland DorgelĂšs, de^ patrouilles hasardeuses, d'attaques mal prĂ©parĂ©es, et,! le 8 avril, Ă Mareheville, blessĂ© au pied, Ă ee qu'on, dit,sans doute pris au collet dans le barbelĂ© des tranchĂ©es allemandes, il est restĂ© captif, la chair mordue, .raidi de dĂ©sespoir, comme la Fusçline de son livre, 1^ petite fouine au jabot blanc. encore pressentir ces strophes oĂč les, ailes du songe », allĂ©gĂ©es et conscientes de leur rythme haut et pur, montent aux vraies lumiĂšres. Amusons-nous des vers des Fanfarons, de leur gaietĂ©, de leur adresse, mais gardons-nous d'y chercher le motif d'une apprĂ©ciation le vrai talent de Derennes est ailleurs et est celui d'un trĂšs beau et grand poĂšte. La troupe des Ă©lĂšves dĂ© M. Jean d'Yd, jeune et gaie, a jouĂ© fort agrĂ©ablement Les Fanfarons. Si ces jeunes acteurs articulaient plus nettement, je serais tout Ă fait contente. Mme Berthe d'Yd est d'une grande beautĂ© et joue fort bien le rĂŽle de ThaĂŻs Mlle Denise Yver est fort comique et amusante dans le rĂŽle d'un jeune dĂ©bauchĂ©, et le rĂ©cit croustillant qu'elle nous fait, en son ivresse, du banquet des philosophes Mlle Maud Slover est une savoureuse affranchie M. Pierre Provins est excellent en ParmĂ©non, l'esclave qui se mĂȘle de tout ce qui ne le regarde pas, etc., etc., je ne peux citer tous les nombreux interprĂštes. L'intrigue est comique, et tout cela fut enlevĂ© fort plaisamment et juvĂ©nilement. Les Fanfarons Ă©taient prĂ©cĂ©dĂ©s du GoĂ»ter de la Reine, petit acte gracieux, aux morceaux brillants Ă la Rostand premiĂšre maniĂšre, Ă la Banville, et un rien parodique de ce genre. Le choix qui fut fait par les auteurs, comme hĂ©roĂŻne ingĂ©nue de leur piĂšce, d'une jeune pĂątissiĂšre aux amours contrariĂ©es, et enfin mariĂ©e, par Marie-Antoinette, la, reine de Trianon, venue goĂ»ter en lĂ versaillaise pĂątisserie, son galant, pauvre et charmant gentilhomme, indique suffisamment que les auteurs avaient voulu se divertir de ce qu'il y a de sucrĂ© », en mĂȘme temps que d'allĂ©chant, en certaines rimes, bonbonneries et tartes Ă la crĂšme. Ce vouloir d'aimable ironie n'a pas Ă©tĂ© dĂ©gagĂ© par les interprĂštes, et ils ont pris trop au sĂ©rieux toutes les douceurs. Nous les avons, quand mĂȘme, applaudis de bon cĆur et sans mal au cĆur, ces sucreries Ă©tant d'excellente qualitĂ© et prĂ©sentĂ©es trĂšs galamment. Mlle Jenny Cardy a une trĂšs jolie voix et on a Ă©tĂ© charmĂ© par son chant de c C'est mon ami, rendez-le-moi. », air qui fut composĂ© par la reine Marie-Antoinette M. Lemontier est fort bon en maĂźtre Cloche, le pĂątissier MM. Navarre et FĂ©rat, Mlles Richel, Lacroix et Perrat complĂštent l'ensemble et portaient de jolis costumes. Le collaborateur de Derennes pour ce GoĂ»ter de la Reine est M. AndrĂ© Doderet, l'auteur des belles traductions de G. d'Annunzio et de poĂ©tiques et ironiques romans bien connus et trĂšs apprĂ©ciĂ©s. j'allais dire trĂšs goĂ»tĂ©s, pen-, sant encore aux Ă©clairs et aux baba^ de Monsieur Cloche. De La Nuit sans Ă©toiles au Voyage aux Rles de la SociĂ©tĂ©, les dons sĂź particuliers de M. A. Doderet n'ont cessĂ© de grandir et de' nous plaire. *r Ì' Ì *>âą> GĂ©rard d'HbuvilIe. Son sort de braconnier des lettres Ă©tait de tomber ainsi, dans w piĂšge d'acier, regardant son moignon sanglant, et sa fiĂšvre suprĂȘme l'a peut-ĂȘtre emportĂ© vers le soleil, en une ascension Ă©perdue, comme Fuçcline, agonisante, dans les serres de l'oiseau. M, Louis Raveton, qui fut son camarade sur le front, a tenu Ă saluer l'ancien combattant du 166e d'infanterie, au nom de tous les survivants. AprĂšs un discours de M. Failliot, remplaçant M. François Latour, M, de Monzie a pris la parole Ă son tour Je n'ai pas connu Louis Pergaud du temps qu'il entrait dans la renommĂ©e et que j'entrais au forum, a dit le ministre de l'Education nationale. Je ne sais de lui que ce que m'ont enseignĂ© ses oeuvres, les biographies passionnĂ©es de ses camarades d'Ă©cole ou de jeunesse et le tĂ©moignage oral de quelques Ă©crivains que les hasards d'une certaine bohĂšme avaient associĂ©s aux Ă©preuves de sa tĂątonnante fortune. Je reconstitue, nĂ©anmoins, sans trop de peine d'imagination un personnage exceptionnel qui fut sien. Il avait, dit^on, le visage d'un bon chien de chasse, un teint couleur de p^jn bis* et, dans sa dĂ©marche, dans son parler, cette gaucherie distinguĂ©e par quoi se caractĂ©rise l'Ă©lite des paysans de France. M, de Monzie, aprĂšs avoir montrĂ© que notre littĂ©rature n'Ă©tait pas riche en histoire d'animaux, La Fontaine suffirait pourtant Ă rĂ©pondre Ă ce reproche, âąâ a conclu en ces termes Nous n'avions pas eu jusque-lĂ une seule rĂ©plique française de Karazine ou de William Busch, de Kipling ou de Maeterlinck. Le roman du LiĂšvre de Francis Jammes, un livre de Gourmont cet encyclopĂ©diste douloureux sur la parentĂ© psychologique des hommes et des animaux, les sept dialogues de bĂȘtes » de Colette qui n'Ă©taient encore que badinages de plume du grand Ă©crivain, constituaient Ă peu prĂšs toute notre bibliothĂšque de zoologie littĂ©raire avec ces histoires naturelles de Jules Renard trop narquoises, trop spirituelles, trop stylisĂ©es pour nous initier Ă la connaissance intime des pintades et des cygnes. L'originalitĂ© de Pergaud tient Ă sa connaissance directe de l'animal, au ton de cordialitĂ© rustaude avec lequel il conte la vie d'un chacun, Ă l'ardeur qu'il met en plaidant la cause de l'anguille, de la belette et du putois. Il a Ă©tĂ© vraiment le redresseur des torts que, d'Ăąge en Ăąge, notre ignorance impute aux serpents et aux pies. La revanche du corbeau, calomniĂ© dans nos propos, c'est lui qui l'a rĂ©alisĂ©e. Nul encore ne s'Ă©tait avisĂ© de la bravoure du liĂšvre et de l'honneur familial des cigognes. Au banquet qui a suivi la cĂ©rĂ©monie, M. Paul Vimereu a lu un Ă©raouvant sonnet que nous soin." mes heureux de 'reproduire ici âąâ ÌÌÌ'Ì LES GARDIENS Ì41 âąâąÌÌâąÌ Ì' , quelles vibrations riĂ©meuUil point ? Si la brune aux yeux bleus que chanta Sainte-Beuve Eut quelques-uns des dons que l'on admire en vous, Comment nous Ă©tonner qu'il redoutĂąt l'Ă©preuve ? Ăź Les contemporains de FrĂ©dĂ©ric Plessis n'ont point rendu sans doute une justice suffisante Ă l'oeuvre de ce pur poĂšte, Ă sa beautĂ©, Ă sa fiertĂ©, Ă son influence. Dernier survivant des Parnassiens authentiques de ceux qui formĂšrent le bataillon sacrĂ© de 1869 il travaille encore en silence, Ă quatre-vingts ans passĂ©s, On connaĂźt mal l'histoire de la gĂ©nĂ©ration dont il maintient l'idĂ©al on commence pourtant de s'occuper d'elle. La semaine demiĂšre, Louis MĂ©nard aussi grec que Plessis fut romain inspirait en Sorbonne une thĂšse remarquĂ©e dont nous reparlerons. Autant, certes, que le paĂŻen mystique, FrĂ©dĂ©ric Plessis, chrĂ©tien et latin, est de ceux qui peuvent avoir confiance aux revanches d'un trĂšs proche avenir. Maurice Levaillant. ⊠ÌÌ⊠âąs* Etain, la ville natale de Georges Druilhet, n honorĂ© aujourd'hui la mĂ©moire du poĂšte de 4" temps des lilas, des Haltes sereines et des Cendres d'or. MM. Jules Perrin, pour la SociĂ©tĂ© des Gens de lettres Ernest PrĂ©vost, pour la SociĂ©tĂ© des PoĂštes français, et AndrĂ© iFoulon de Vaulx, pour les Amis de François CoppĂ©e » Druilhet consacra un ouvrage au poĂšte des Humbles, ont remis Ă la petite ville meusienne le mĂ©daillon du poĂšte. 5* En prĂ©sence de nombreux Ă©crivains lorrains, une plaque commĂ©morative a Ă©tĂ© apposĂ©e, ce matin, place des Vieux-Moulins, 5, Ă Ăpinal, sur la maison natale de RenĂ© Perrout 1868-1920, auteur des Inmges d'Epinal, romancier et historien. V "V\ i. Th? COMPAGNIE ANGLAISE, 6, av. Victor,Emmanuel-HĂ. Son salon renommĂ© pour ses thĂ©s et ses biscĂŽttes Verkade's. Ì Ì,. 29, avenue Mac-Mahon ThĂ©s 15 francs Le meilleur orchestre PENY GĂąteaux, les meilleurs de tout Paris. Livraison Ă domicile. ThĂ©s et lunchs. 3 et 16, place de la Madeleine. TĂ©lĂ©phone Anjou 06-75. RAGUENEAU 202, rue Saint-HonorĂ©, Palais-Royal. 1 ThĂ© orchestre 4 Ă 7 LOUIS SHERRY, rond-point d. ChampsElysĂ©es. 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LE JOUR Tous les sports t Piscine olympique, çolariurn, 4 Golf au Mont-Agel, TennU^au^Country Club ~ĂŽ~TE ~'A'~t sE~cH Feuilleton de FIGARO du 20 juin 1932 .âą 36 GIMARRON ROMAN âą4 '? Ì CHAPITRE Wl > ""âąÌâąÌÌâąâąÌÌâą -ÌÌ Ì ;*ÌÂŁ-"Ì Ìâą Suite Ce tĂ»t" Ăź'Ăš'xcĂŻsrrnatĂŻĂŽri pudique tftine femme qui avait oubliĂ© le joli charme des privautĂ©s. Ces cinq annĂ©es avaient eu pour effet d'accentuer sa rĂ©serve, l'avaient rendue de plus en plus forte et moins humaine, avaient ralenti le fonctionnement de ses rouages Ă©motifs. Un homme dans la maison, un mĂąle dominateur qui l'entourait de ses bras, touchait ses cheveux, sa gorge, de ses doigts pressants. Elle Ă©tait presque gĂȘnĂ©e. En outre, cet homme l'avait nĂ©gligĂ©e, abandonnĂ©e, laissant ses enfants-s'arranger comme ils pourraient. Elle se dĂ©gagea avec un haussement d'Ă©paules, la colĂšre l'envahit il n'Ă©tait plus qu'un Ă©tranger. Ne me touchez pas. On ne revient pas comme ça, aprĂšs des annĂ©es et des annĂ©es. Un par un, puis par groupes et enfin en foule, les voisins et les gens de la ville commençaient Ă arriver les W'yat, Lonie Hegner, Cass Peery, Mott Bixler, Ike Hawes, Grat Gotch, Doc. Nisbett, les politiciens du lieu, les commerçants, leurs femmes. Ils venaient par curiositĂ©, tout en en voulant sĂ©rieusement Ă cet Ă©trange, Ă ce dĂ©concertant personnage qui Ă©tait parti avec insouciance, laissant femme et enfants se tirer d'affaire tout seuls, et Spectacles 'ÂŁ ÌÌÌÌÌÌÌÌÌÌÌÌÌÌ PremiĂšre reprĂ©sentation OPERA COMIQUE Gut. 05-76 Boris Godounov. En soirĂ©e OPERA Louvre 07-05, Ă heures Lohengrin Mme Germaine Lubin, M. J. de TrĂ©vl, Mlle Marcelle Mabieu; MM. Marcel Journet, EndrĂšze, Cambon Mmes MabĂ©, Hamy, Lalande, Orclv Ì M Ph. Gaubert. Ì Trin..20-44, a 8 h. 45 Fanny, ae-HL Marcel 'Eagnal VARIETES Gut. 09-92, clĂŽture ann. ALBERT-I" Lab, 21-49, âą. rclSche. AMBASSADEURS .JEiys. ĂŻfcW. a &âą 45 II Ă©tait une fois.. -i AMBIGU Nord .3ÂŁ.t31, cJOtjure annuelle. 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Dandelot j 1 20 Gala. de danses 1. jL MKITINA I Location ouverte pour tous les concerts J Ăź ci-dessus aux salles respectives, chez i Durand et chez l'organisateur "H~nviioiniioiiariorioriariario, CE SOIR A 9 HEURES MAISOPf PLBYEIi, SALLE CHOPIN Unique rĂ©cital de piano JOSE VAN ROSENSTOK Billets i la Salle r k~ CinĂ©mas AGRICULTEURS; S, rue d'AthĂšnes, i S h. et 9 h. D* Jekyll et M' Hyde Samettis, dimanches, deux matinĂ©es distinctes 2 h. 30 et 5 h. ARTISTIC-CINEAÂŁÂŁ6'1, rne de Douai, Mat., 14 Il. 30; sĂ«fr/20'?ĂŻi. 40 Le Fils de l'autre. BONAPARTE, place,. Salnt-Sulplce, 3 h. et 9 b. D' JekylK ft Mf Hyde. Samedis, dimanches, deux matinĂ©es' distinctes 2 h. 30 et 5 heures. AUBERT-PALACE, JJS ^jll. 30 a 2 heures Mon ami Tim. LES CAPUCINES, L'AthlĂšte Inoomplet. 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De longs et magnifiques jours d'Ă©tĂ© en mai et en juin, avec vingt heures de soleil et quatre de crĂ©puscule. » OĂč rejoins-tu, Yancey ? A San Antonio. LĂ©onard Wood est par lĂ -bas le colonel Wood maintenant avec le jeune Roosevelt, le lieutenant-colonel. Il a entraĂźnĂ© ses hommes. La plupart d'entre eux sont nĂ©s Ă cheval et ont le winche&ter^en main depuis qu'ils sont sevrĂ©s. Davis du Sud-Ouest lança du milieu'de la foule En ce cas, tu nous quitteras bientĂŽt, hein ? Dans une semaine environ ? Une semaine ? rĂ©pĂ©ta Yancey avec un coup d'oeil Ă Sabra. Je retourne Ă San Antonio demain. Le rĂ©giment part pour Tampa le lendemain. Il ne l'en avait pas encore prĂ©venue, pourtant elle ne dit pas un mot, ne manifesta rien. Pendant cinq ans elle avait bravĂ© tous ces gens avec sa fiertĂ©, son Ă©nergie, elle n'allait pas leur donner la satisfaction de faiblir. Cinq ans. un jour. San Antonio. Tampa. Cuba. lĂ©s Philippines. la guerre. Elle ne laissa rien, paraĂźtre. Lentement la foule commençait Ă se disperser les hommes avaient leurs affaires, les femmes leur mĂ©nage. Certaines mĂŽjtpienj leur bras sous celui de leur mari d'un geste oĂčĂ l y avait une cruautĂ© peut-ĂȘtre pas absolument inconsciente, car il s' d'un bref regard Ă Sabra. t Uniforme de Franc Cavalier, sac d'or, voix Champs-ElysĂ©es Mat., 14 h. Ă 10 h.; soir., 21 h. 15 ChanghaT-expresa Marline Dletrlch. COLISEE, L'Enfant du Mlracla Blanche Montel. Mat., 14 h. 30 a 19 heures; soir., 21 heures. EDOUARD-VII 1/». rue Edouard VII. Permanent de 2 h. 30 a 7 heures. SoirĂ©e, 9 h. 30 Disorderly conduct. ELYSEE-GAUMONT rue Quentln-Bauchart. Mat., 15 h.; soir., 21 h. Raspoutine. ERMITAGE Champs ElysĂ©es i Miche. Mat. Ă 14 h.; soir., Ă 20 h. 45. FOLIES-DRAMATIQUES, perm. midi a 24 heures C'est le printemps. GAUMONT-PALACE, Une nuit au paradis, de 14 heures a 19 h. 30; soirĂ©e, Ă 21 heures. GAUMONT-THEATRE, de 10 h. a 14 h. 30 Ma tante d'Honfleur. IMPERIAL-PATHE, Paris-MĂ©diterranĂ©e, ds 14 h. 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Allons, Yancey, cria Strap Buckner, filons au Soleil du Sud Ouest pour prendre un verre. Nous avons Ă boire Ă rudement de choses, pas vrai, les gas ? Viens avec nous, vieux frĂšre il faut que nous buvions pour fĂȘter ton retour, et ton dĂ©part. Ils entraĂźnĂšrent avec eux la haute silhouette en uniforme kaki. Il se retourna pour faire en agitant son chapeau un signe d'adieu Ă Sabra. De retour dans une minute, mon chou. lis Ă©taient partis. ;it, le tout Sabra se tourna vers ses enfants, et rougit. le tout vivement avec une agitation inaccoutumĂ©e. Sa physionomie reprit son expression de calme ^rĂ©solution. f ;;Ì La moitiĂ© de la matinĂ©e est dĂ©jĂ passĂ©e, mais je veux que vous alliez quand mĂȘme Ă l'Ă©cole. Non, non, pas de ça vous n'avez aucun besoin de rester ici. Il faut que le journal paraisse. Jesse ne sera plus bon Ă rien de toute la journĂ©e, c'est facile Ă voir. Je vais Ă©crire un mot Ă vos professeurs. Et maintenant courez vite. Elle n'allait pas laisser s'anĂ©antir le travail de plusieurs mois parce que cet homme, cet Ă©tranger avait trouvĂ© bon de faire pour un jour incursion dans sa vie. Osage et toute la contrĂ©e de l'Oklahoma semblaient maintenant s'arrĂȘter et respirer Ă fond, et ils faisaient bien. Devant eux s'Ă©tendaient, sans qu'ils s'en doutassent, des annĂ©es d'agitation et de lutte telles que les prĂ©cĂ©dentes paraĂźtraient mornes en comparaison. Yancey Ă©tait revenu de la guerre Hispa no-AmĂ©ricaine avec une rĂ©putation de hĂ©ros. D'autres habitants d'Osage avaient Ă©tĂ© aux Philippines, un y Ă©tait mĂȘme mort dysenterie et ptomaĂŻnes provenant de mauvaises conserves de bĆuf. Mais Yancey Ă©tait le Franc-Cavalier de la ville. Il avait chargĂ© avec Roosevelt sur la colline San-Juan. HIOZAHT-PATHE 51. rue d'AuteuU. MatlnĂ©e, 14 Ă. JO; olrĂ©e, 20 h. 45 Ooup» de roulis. OLYMPIA-CINEMA Permanent de 9 ho S 0 », 1 h. 30 Barranoo, avec Tramel. OMNIA-PATHE Permanent de 14 lu a 1 h. 30 La Folle des Hommes. 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Quant Ă la commission de discipline, elle a Ă©tĂ© composĂ©e de MM. Bernstein, LĂ©veillĂ©, Dutreuil, MĂ©nard, de LuzĂ©, TerrĂ©-Tronchon, de Joannis. train spĂ©cial Ă destination de Villandraut, oĂč le camping fut installĂ©, et mercredi matin, Ă 7 h. 30, le dĂ©part avait lieu de Cazeneuve. Les canoĂ©s sont arrivĂ©s Ă la Garonne le jeudi Ă midi et sont allĂ©s camper Ă Cadillac. Vendredi repos. Samedi Cadillac, Esconac. Dimanche, derniĂšre Ă©tape" Escpnac, , et arrivĂ©e devant la Foire de Bordeaux Ă 15 heures, pendant les rĂ©gates Ă voile. Fds fAClfi R Al?-Restau>nnt> 10' raB- de âą E=LmI\ ae l'Armorique. M. Ă px pt 6t. b. 45 000 C. Adj. Et, Robert Dnuchez, not.; 37, quai TournellĂ©,^ le 8 juil, 1932, Ă 14 h. 30. S'adr. aud. not. Ji. s~iiL ~"9 .a.. âąÌ 'âÌÌÌÌ j PLAINE MONTE \U superbe Immeuble, 731 mq. Belle façade sur avenue, 3 corps bĂątiments, petites locations. Rapport Prix, frais compris. De CAVAIGNAC, 82. Bd JlmisHmnnn. 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Quatuors de Haydn et de Brahms. Stuttgarf-Mnhlacker, 21 h. 30 Schillings, Berlioz, Beethoven. MUSIQUE LEGERE. Paris Pi T. T. > 20 h. 35 Rip, de Planquette. Londres rĂ©gional, 20 h. Vaudeville. StuttgĂ rt-MĂ»hĂŻacker, 23 h. 10 Concert. OPERA. Langenberg, 20 h. 30 Le CrĂ©puscul e des dieux, de Wagner 3 acte. THEATRE. Radio-Patis, 20 h. Dialogues de Jules Renard. DANCING. Vienne, 22 h. Varsovie, > 22 h. Barcelone, 22 b. 20. Londres rĂ©gional, 22 li, 35. TRCUVILLE=S.=MER '^JJSSL.. 20 p., confort, parc mq. Garages, bel. peintures, jolis meubles, tapis, tentures, tableaux, etc. Chalet normand pr gardien. Valeur 2 millions. Tout meublĂ© fr. FacilitĂ©s. FOUCHET, 123, rue Paris, Havre. A MlfcVĂŻĂźP230 kms ParisCKftt. mole louer nlCYlvCTt cft, rĂ©cept. 7 ch. m,, 3 d., 5 Parc 5 ha. bordĂ© p. riv. pois. Sais. ChĂąteaux de Franee, 3, rue du Cirque. TĂ©lĂ©ph. Ely». 71-99. MAGNIFIQUE PROPRIĂTĂ Ă Ecoucn Route de Chantilly. mq. Belle villa. Vastes communs. Beau parc. 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